Le PSG, Patrick Bruel  a d’abord essayé de le faire perdre. Il avait quinze ans, faisait partie d’une équipe de Malakoff et se souvient encore de la raclée infligée par les juniors adverses, comme il l’a récemment raconté dans Le Parisien . Sans rancune. Le chanteur a nourri par la suite une longue passion pour ce club qu’il rêve de voir triompher des hommes de l’Inter Milan, samedi soir, en finale de Ligue des champions . Une rencontre au sommet, commentée en direct sur Le Figaro.fr.

L’artiste de 66 ans, que l’on verra bientôt dans un thriller sur TF1, s’est mis au piano pour l’occasion. Il a « cassé la voix » afin de marquer son soutien à l’équipe de Luis Enrique. « Tous ensemble on chantera, cet amour qu’on a pour toi, qui ne cessera jamais. Après tant d’années, de galères et de combats (…) Pour toi Paris-SG, on va se casser la voix », chantonne-t-il en s’inspirant de son tube sorti en 1989.

« Ce soir on va la soulever », jure-t-il à la fin de sa vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, en faisant référence à la « coupe aux grandes oreilles ». Cette récompense qu’une seule équipe française, l’Olympique de Marseille, a remportée dans l’histoire de la compétition. C’était en 1993. En 2020, le PSG avait été battu en finale par le Bayern de Munich.

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« Voir le PSG en finale de la Ligue des champions, c’est une grande émotion pour tous ceux qui sont là depuis le début, qui ont assisté à des moments beaucoup plus difficiles, à des après-midi pluvieux et perdants au Parc, tout ce que ça comporte de supporter un club avec des hauts et des bas », témoignait dans Le Parisien Patrick Bruel, qui vante notamment les qualités de Khvicha Kvaratskhelia et Vitinha. Pour paraphraser un autre de ses tubes, il rêve de les voir sur les marches du podium, place des grands hommes.