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L’actrice était l’invitée de Frédéric Lopez ce 22 juin dans l’émission «Un dimanche à la campagne». Et au milieu de son témoignage de vie, elle est revenue sur l’absence d’enfant dans son quotidien et sa solution pour y pallier.
Passer la publicité Passer la publicitéUn désir de maternité insatisfait. L’actrice Julie Ferrier était l’invitée de Frédéric Lopez ce dimanche pour une parenthèse à la campagne. Aux côtés de l’animateur Gérard Holtz et de l’écrivain David Foenkinos, elle s’est livrée sur son enfance, l’absence de son père, sa carrière de danseuse mais également son burn-out. Bien loin de la langue de bois, la femme âgée de 53 ans a également répondu avec la franchise qui la caractérise aux questionnements du journaliste autour de son envie de maternité.
«Je suis toujours admirative des gens, comme Meryl Streep, qui arrivent à avoir des parcours comme les nôtres où on donne tout - qui sont des métiers de sacrifices - et qui arrivent parallèlement à avoir des enfants et une vie de famille», a-t-elle amorcé avant de reconnaître à regret : «Moi j’en avais envie et je n’ai pas réussi.» Et de poursuivre : «Ça, c’est quand même le petit point noir au parcours de madame Ferrier. C’est quand même que, à 53 ans, je n’ai pas de vie de famille. C’est un peu triste quoi.»
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Julie Ferrier a ensuite détaillé les raisons de cette absence d’enfant dans sa vie. «Surtout, c’était un parcours de longue haleine et de souffrance terrible qui était en parallèle de ce parcours artistique merveilleux. C’est que j’ai fait huit fausses couches», a-t-elle partagé avec émotion. La question de l’adoption a longtemps été un sujet, mais Julie Ferrier a justifié son choix de ne pas y recourir. «C’est très compliqué quand tu arrives à avoir des grossesses mais que juste, l’enfant ne s’accroche pas et que tu le perds, d’envisager d’adopter. Ce n’est pas comme quand on t’annonce que tu es stérile», a-t-elle déploré.
Pourtant, résolument positive, l’actrice est parvenue a trouver une sorte de sens à ce destin. «Il y a quelque chose de merveilleux quand même là-dedans, c’est que j’ai un autre projet de vie pour mes soixante ans. J’ai un amour pour Mayotte, que j’ai découvert il y a vingt ans. J’ai un oncle qui est pédiatre là-bas. [...] Il y a 6000 enfants à la rue et j’ai découvert le métier de famille d’accueil», a-t-elle expliqué en mentionnant : «C’est la première fois que je le dis.»