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VIDÉO - Il y a dix ans, sur le plateau du «Supplément» sur Canal+, la journaliste avait affirmé catégoriquement ne pas avoir pour ambition de présenter un journal télévisé.
Passer la publicité Passer la publicitéÀ l’annonce de l’arrivée de Léa Salamé au journal de 20 heures de France 2, une vidéo a ressurgi sur les réseaux sociaux. Il y a dix ans, invitée de Maïtena Biraben dans «Le Supplément» sur Canal+, la journaliste, alors chroniqueuse dans «On n’est pas couché», avait clairement expliqué qu’elle ne souhaitait prendre les commandes d’un journal télévisé.
À la question de l’animatrice si elle se voyait succéder à Claire Chazal au 20 heures de TF1, la journaliste avait répondu : «Pas du tout ! Alors regardez-moi bien, pas du tout. Le 20 heures ne me fait absolument rêver, il ne m’a jamais fait rêver et je pense que je serais un mauvais choix». «Une Française Libanaise à la tête du journal de TF1, ça serait...», avait ajouté la présentatrice. «Ça serait trop», avait considéré Léa Salamé. «Ça serait trop quoi ?», avait insisté Maïtena Biraben. «Ça serait trop rien du tout, je ne suis pas la bonne personne», avait conclu la journaliste.
Samedi, Maïtena Biraben était l’invitée d’Aurélie Casse dans «C l’hebdo» sur France 5. La journaliste a profité de sa venue pour la faire réagir sur cette archive qui prend un sens particulier aujourd’hui. «Je trouve ça génial de pouvoir changer d’avis, a-t-elle d’abord souligné. Je trouve que c’est une super idée, je trouve ça punk. Je trouve ça super, en fait, que Léa ait choisi de le faire», a ajouté Maïtena Biraben. Cette dernière a ensuite estimé que «c’est un choix d’ego, de puissance». «Et je trouve ça super, qu’une fille fasse ça. Merci Léa de faire ça, bravo, je trouve ça formidable ! », a-t-elle conclu.
Dans les colonnes de La Tribune dimanche, Léa Salamé a réaffirmé ses propos.«Je n’ai jamais eu l’obsession du 20 heures, je ne vais pas vous mentir. Mais ma rencontre il y a quelques jours avec Delphine Ernotte (présidente de France Télévisions, NDRL) a été décisive. Elle a eu des arguments très forts et en a appelé à ma responsabilité en cette période chaotique. Dans ce monde fracturé, marqué par les guerres et les souffrances, elle s’est dit qu’il y avait dans mon parcours de vie et de femme quelque chose qui me permettrait de raconter peut-être l’actualité différemment. Elle m’a convaincue d’y aller même si j’étais réticente au début. Elle m’a aussi donné la garantie que je pourrais continuer à présenter “Quelle époque !” C’est notre “bébé” avec le producteur Régis Lamanna-Rodat. J’aime tellement faire cette émission depuis trois ans», a-t-elle déclaré.