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Actant une véritable rupture avec la politique menée par son prédécesseur, le social-démocrate Olaf Scholz, Friedrich Merz a affirmé que les alliés occidentaux n'allaient plus fixer de limitation sur la portée des armes livrées à l'Ukraine. Cette annonce du chancelier allemand est-elle surprenante, dans le contexte actuel du conflit ? Quelle est la position de la France ? Entretien avec l'analyste géopolitique, Louis Duclos.
En Allemagne, la rupture est désormais actée. Alors que le social-démocrate Olaf Scholz surfait, depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, sur une politique de prudence vis-à-vis de Moscou, le fraîchement élu chancelier, Friedrich Merz, s’est sensiblement démarqué des positions de son prédécesseur. À commencer par la stratégie de livraisons d’armes à Kiev.
« Il n'y a plus de limites de portée pour les armes qui ont été livrées à l'Ukraine. Ni par les Britanniques, ni par les Français, ni par nous. Ni par les Américains », a-t-il ainsi annoncé, ce lundi 26 avril, lors d'un entretien à la télévision publique WDR à Berlin. « Cela signifie que l'Ukraine peut désormais se défendre, par exemple en attaquant des positions militaires en Russie », a-t-il ajouté.