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Le s’aviez-vous ? : Donald, petit-fils d’immigré, proxénète et déserteur, du nom de Drumpft/Trumpf, change son nom de famille par « COMMODITÉ »
Publié le 6.7.2025 à 08h46 – Par Chloé Fontaine – Temps de lecture 10 mn
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Trump : Le Passé Explosif d’une Dynastie – Proxénétisme, Désertion et un Nom Réinventé sous la Pression
Le saviez-vous ? Le nom « Trump » vient de « Trumpf », modifié au XVIIᵉ siècle pour des raisons inconnues. Le vrai nom de famille ancestral de Donald Trump était Drumpf (ou Drumpft/Trumpf), un patronyme allemand datant du XVIᵉ siècle, notamment porté par un certain Hanns Drumpf enregistré en 1608 à Kallstadt (en.wikipedia.org).
Les descendants auraient progressivement modifié le nom en Trump (ou Trumpf) (en.wikipedia.org). Des recherches dans les archives de Kallstadt montrent une diversité d’orthographes : Drumb, Trum, Trumpff, etc..
Le grand-père de Donald, Friedrich (ou Frederick) Trump, né en 1869 en Bavière, a émigré aux États-Unis en 1885. Il apparaissait déjà comme Trumpf dans les documents d’immigration. Il n’a donc pas changé Drumpf en Trump à ce moment : le nom avait déjà évolué bien avant. Sa naturalisation en 1892 a fixé la version anglophone en Trump (ibtimes.com).
Résumé
Hanns Drumpf(t) | Nom allemand d’origine (16ᵉ s.) |
Durant la guerre de 30 Ans | Devenu Trump(f) |
Friedrich, 1885‑1892 | Trumpf/Trump déjà utilisé |
1892 naturalisation | Adoption définitive de Trump |
Le nom a donc été Drumpf(t) avant de devenir une forme Trump(f) au cours des siècles, bien avant l’arrivée de la famille aux États‑Unis.
- Friedrich (Frederick) Trumpf a acheté ses premières terres (16 hectares) près de Seattle pour 200 $, une somme colossale à l’époque.
- Son petit-fils Donald a répété dans son autobiographie le mythe des origines suédoises… avant que des journalistes ne révèlent la vérité en 2015 !
Un legs qui dépasse l’immobilier : Sans le sens des affaires peu scrupuleux de Friedrich (Frederick), son fils Fred n’aurait pas construit des milliers de logements à New York et Donald Trump n’aurait jamais vu le jour.
Une histoire où chance, audace et controverses se mêlent pour créer une dynastie…

Le cliché qui révèle une détermination sans limites
La photo de Friedrich (Frederick) Trumpf en 1887, prise à 18 ans, montre un jeune homme au regard perçant et à la posture austère, vêtu d’un costume sombre typique de l’époque. Ses mains légèrement crispées trahissent une jeunesse marquée par l’adversité. Ce portrait, restauré et conservé par Wikimedia Commons, est aujourd’hui utilisé dans des articles du monde entier pour illustrer les origines allemandes des Trump.

De l’Allemagne rurale aux ruées vers l’or : un exil illégal
Né en 1869 dans le village viticole de Kallstadt (Allemagne), Friedrich (Frederick) Trump fuit son pays à 16 ans sans autorisation, pour éviter la conscription militaire obligatoire. Il laisse une note à sa mère avant de parcourir 560 km jusqu’à Bremerhaven, où il embarque sur le SS Eider en 1885. À son arrivée à New York, il est enregistré sous le nom de « Friedr. Trumpf », avec la profession « aucun »… Un départ plus que modeste.
Une Enquête dans les Secrets de la Famille Trump
Saviez-vous que derrière le nom Trump, aujourd’hui symbole de pouvoir et de controverse, se cache une histoire bien plus sombre et méconnue ? Une saga qui commence avec Friedrich Trumpf avec un « f » grand-père de Donald Trump, un immigré allemand aux activités douteuses, un déserteur malgré lui, et un homme qui a dû effacer une partie de son identité pour survivre. Préparez-vous à plonger dans une enquête haletante, pleine de rebondissements, sur une affaire longtemps tue aux États-Unis.
Un Départ d’Allemagne et une Arrivée Discrète
Tout commence en 1885, lorsque Friedrich (Frederick) Trumpf, originaire d’un petit village allemand, met le cap sur l’Amérique. Il n’est pas un pionnier isolé : sa sœur Katrina l’a précédé et s’est installée dans un quartier de Manhattan surnommé « Little Germany », un bastion de la communauté allemande à Eastside. À cette époque, les migrants ne passent pas par Ellis Island, mais par Clinton Castle, où Friedrich est enregistré. Arcabrem, avec Hambourg, est alors le grand port de départ des Allemands rêvant d’une nouvelle vie. Mais ce rêve, pour Friedrich, va prendre des chemins inattendus.

Seattle : Le Restaurant qui Cache Bien son Jeu
Rapidement, Friedrich traverse le pays et s’installe à Seattle, une ville en pleine effervescence grâce à son raccordement au chemin de fer. Avec ses économies, il achète un établissement en plein cœur du quartier chaud, qu’il rebaptise « The Dairy Restaurant ». Le succès est immédiat, mais ne vous y trompez pas : ce n’est pas la cuisine qui attire les clients. Sous la façade respectable d’un restaurant, Friedrich orchestre une activité bien plus lucrative et scandaleuse : la prostitution. Qui aurait cru que l’ascension de la famille Trump commencerait dans les bas-fonds d’une ville en plein boom ?

Des bordels aux mines d’or : les secrets de sa fortune, à Seattle, quand il rachète ce restaurant, situé dans un quartier chaud. Les « chambres pour dames » qu’il propose sont en réalité un euphémisme pour un bordel, selon les historiens. Pendant la ruée vers l’or du Klondike (Canada), il ouvre un hôtel-restaurant avec des « boxes privés » pour mineurs solitaires, leur vendant nourriture, alcool et compagnie féminine. Une stratégie appelée « miner les mineurs » qui lui rapporte une fortune.
La Ruée vers l’or : Une Fortune Bâtie sur le Vice
Quand l’éclat de Seattle s’estompe, Friedrich flaire une nouvelle opportunité : la Ruée vers l’or du Klondike. Plutôt que de chercher de l’or lui-même, il mise sur une stratégie plus sûre. Sur la route des chercheurs d’or, il ouvre un nouvel établissement, combinant encore une fois nourriture et prostitution. Les affaires prospèrent, et Friedrich, fraîchement naturalisé américain, amasse une petite fortune. Mais ce n’est qu’un début. En 1896, il revient à Seattle, ouvre un autre restaurant, puis apprend une nouvelle fracassante : de l’or a été découvert au Yukon, au Canada.
L’Arctique : Le Coup de Maître qui Tourne Mal
Avec son associé Ernest Levin, Friedrich se lance dans une nouvelle aventure. Ils montent « L’Arctique », un restaurant sous une tente géante à Bennett, sur la route du Yukon. Le duo gagnant bouffe et prostitution est de retour. Friedrich spécule aussi sur des concessions minières, achetant à bas prix pour revendre cher. L’argent coule à flots. Mais le vent tourne : les autorités canadiennes interdisent la prostitution, saisissent L’Arctique, et emprisonnent Levin. Friedrich, lui, a eu le nez creux : il a revendu ses parts juste à temps et échappe au désastre, laissant derrière lui une ville, Monte-Cristo, bientôt engloutie par des inondations.
Retour en Allemagne : Le Rêve Brisé
En 1902, riche et confiant, Friedrich retourne en Allemagne. Il épouse Elizabeth Christ, une voisine de dix ans sa cadette, et envisage de s’y installer. Mais un obstacle surgit : Friedrich a fui le service militaire allemand en émigrant, et le Reich ne pardonne pas. Une loi récente retire la citoyenneté à ceux qui ont déserté leurs obligations. Expulsé, le couple n’a d’autre choix que de retourner aux États-Unis. Ironie du sort : l’homme qui incarnait le rêve américain est banni de sa terre natale. Banni d’Allemagne : le scandale qui a changé l’histoire, après avoir épousé une Allemande et tenté de revenir au pays, Frederick est expulsé par les autorités bavaroises pour désertion militaire. Dans une lettre désespérée au prince régent Luitpold, il décrit sa femme « paralysée de peur » et son enfant malade. Ironiquement, c’est lors de ce voyage retour vers les États-Unis que sa femme tombe enceinte de Fred Trump, le père de Donald… Sans cet exil, l’histoire américaine aurait été différente.
Un Nouveau Départ et un Nom Transformé
De retour en Amérique, Friedrich se réinvente dans l’immobilier, posant les bases de l’empire Trump. En 1905 naît son fils Fred, futur père de Donald. Mais un dernier secret reste à dévoiler. Pendant la Première Guerre mondiale, une vague de germanophobie déferle sur les États-Unis, alimentée par des événements comme le torpillage du Lusitania. Les Américains d’origine allemande anglicisent leurs noms pour échapper à la haine. Behing devient Boeing, le roi d’Angleterre Saxe-Cobourg se mue en Windsor… et Trumpf devient Trump. Par « commodité » ? Peut-être. Par nécessité ? Assurément.
Et Alors, Quel Héritage ?
De la prostitution dans les quartiers chauds de Seattle aux établissements douteux du Yukon, Friedrich Trumpf a bâti sa fortune sur des fondations fragiles et sulfureuses. Son histoire, c’est celle d’un opportuniste audacieux, prêt à tout pour réussir, jusqu’à effacer une lettre de son nom pour s’adapter. Aujourd’hui, quand on pense à « Trump », on imagine des gratte-ciel et des discours enflammés. Mais savez-vous vraiment d’où vient ce nom ? Cette dynastie, si fière de son succès, porte en son cœur une vérité oubliée, révélée ici pour la première fois dans toute sa surprenante réalité.
Une fin tragique et un héritage inattendu
Friedrich (Frederick) meurt à 49 ans lors de la pandémie de grippe espagnole en 1918, laissant derrière lui des investissements immobiliers à New York. Sa femme, Elizabeth, prend les rênes de l’entreprise familiale et pose les bases de l’empire qui fera la richesse de Fred Trump, puis de Donald. Saviez-vous que la famille a nié ses origines allemandes pendant des décennies, prétendant venir de Suède pour éviter les discriminations ? Un mensonge entretenu jusqu’aux années 80 !
NDLR : Une réflexion sur cette histoire rocambolesque où Donald n’est pour rien dans son histoire comme toute histoire de famille bien sur et nous ne sommes pas la pour le juger sur un passé qu’il n’a pas maitrisé. Mais il est tout de même drôle, voire ADNique, de constater que les mêmes schémas se répètent. Des psychologues pourraient nous l’expliquer, car les finalités sont toujours épiques. Et c’est amusant de voir que ceux qui veulent expulser les étrangers ont, eux aussi, été étranger un jour… même si cela remonte à plusieurs générations.
Et voilà, mesdames et messieurs, le grand final de notre feuilleton Trumpf-pien !
Notre question fondamentale ne porte pas sur son passé ni son argent c’est le sien et nous regarde juste pour comprendre et avoir un autre regard sur cette famille. Mais plutôt sur sa politique et plus spécialement Européenne, car nous pensons désormais que si Donald Trump voue une haine aussi féroce à l’Europe actuellement et à l’Allemagne en particulier, ne serait-ce pas dans son passé justement pas si lointain qu’il faut creuser en connaissant son histoire ?
Remontons le fil rapidement de ce que vous venez de découvrir, voulez-vous ? Son grand-papa Friedrich, un malin qui esquive le service militaire allemand pour aller chercher fortune aux États-Unis, se fait gentiment montrer la sortie quand il tente de revenir au bercail. Rejeté, expulsé, persona non grata : l’Allemagne de l’époque ne voulait plus de lui. Et ça, chez les Trump, on dirait bien que ça a laissé des cicatrices.
Imaginez les repas de famille, ces moments où l’on ressort les vieilles histoires comme on déballe un plat réchauffé : « Et Friedrich, hein, chassé par ces maudits Allemands ! » À force d’entendre ça entre deux bouchées de purée, pas étonnant que le petit Donald ait grandi avec une dent contre l’Europe entière.
Les rancunes familiales, c’est tenace, ça se transmet comme une vieille horloge bancale qu’on n’ose pas jeter. Alors, quand il braille son « America First » à tout va, ne serait-ce pas un peu un « et l’Allemagne, qu’elle aille se faire voir » bien personnel qui pointe le bout de son nez ?Maintenant que le décor est planté, on peut se poser la question : derrière ses diatribes anti-européennes, Trump règle-t-il des comptes ancestraux ? À vous de voir, mais avouez que l’idée a de quoi faire sourire… ou frémir.