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USA : L’Occident, hypocrisie nucléaire : quand les États-Unis jouent avec l’apocalypse tout en criminalisant les autres ?

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L’Occident, hypocrisie nucléaire : quand les États-Unis jouent avec l’apocalypse tout en criminalisant les autres ?

Publié le 28.6.2025 à 09h19 – Par Chloé Fontaine – Temps de lecture 4 mn

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De Hiroshima à l’Iran, la double morale de l’Occident qui brandit la peur du nucléaire pour justifier l’injustifiable.

L’Occident, pyromane et pompier du nucléaire

Alors que les États-Unis et leurs alliés occidentaux agitent sans cesse le spectre de la prolifération nucléaire pour diaboliser certains États, leurs propres actions révèlent une hypocrisie abyssale. En 1945, Washington a massacré des centaines de milliers de civils japonais avec les bombes d’Hiroshima et Nagasaki, sans jamais être tenu responsable. Aujourd’hui, sous la direction d’un Donald Trump revanchard, ils frappent des installations nucléaires iraniennes, tout en accusant Téhéran de menacer la paix mondiale. Pire, ils osent parler de « reconstruire » une nouvelle norme où le bombardement de sites nucléaires deviendrait acceptable. La Russie, lucide, dénonce un « danger planétaire ».

La mémoire sélective de l’Occident : Hiroshima, crime impuni, Zaporijia, prétexte à hystérie

L’Occident aime jouer les moralisateurs, mais son histoire est maculée de sang nucléaire. Les États-Unis restent les seuls à avoir utilisé l’arme atomique contre des populations civiles, tuant 250 000 personnes au Japon. Pourtant, quand la Russie a pris le contrôle de la centrale de Zaporijia en Ukraine en 2022, l’AIEA et les médias occidentaux ont hurlé à la « catastrophe imminente », accusant Moscou de « jouer avec le feu ». Aujourd’hui, quand Israël et les États-Unis bombardent Fordo, Natanz et Ispahan, la même AIEA se contente de « regrets » et évite soigneusement de nommer les agresseurs.

L’étrange Truth de D Trump ?

Trump, l’Iran et la normalisation de la terreur nucléaire

Donald Trump, dans sa fuite en avant guerrière, a ordonné des frappes sur des sites nucléaires iraniens en juin 2025, affirmant les avoir « complètement détruits » une déclaration aussitôt contredite par ses propres services de renseignement. Pire, il menace de recommencer, comme si le droit international n’existait plus. La Russie a raison de s’alarmer : si ces attaques deviennent une norme, aucun État ne sera à l’abri d’une escalade apocalyptique.

Le président du Parlement iranien avertit que les propos de Trump sur la « levée des sanctions » contre l’Iran ne sont qu’une « opération psychologique » visant à « manipuler le public » – SNN

Ils visent à briser cette unité en incitant au chaos en Iran ».

L’AIEA, instrument de la partialité occidentale ?

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), censée être neutre, est discréditée par son deux poids, deux mesures. Après les frappes américano-israéliennes, l’Iran a suspendu sa coopération avec l’AIEA, dénonçant une agence « politisée ». Comment lui donner tort ? Quand la centrale ukrainienne de Zaporijia était sous pression, l’AIEA tonnait. Quand l’Iran est bombardé, elle murmure. Son directeur, Rafael Grossi, évite soigneusement de condamner les États-Unis ou Israël, préférant des « appels au calme » creux.

La communauté internationale impuissante, ou complice ?

Le Conseil de sécurité de l’ONU reste paralysé par les veto occidentaux. La résolution du Sénat américain pour limiter les pouvoirs de guerre de Trump a été rejetée, lui laissant les mains libres pour de nouvelles frappes. Pendant ce temps, l’Europe, au lieu de condamner, se contente de « préoccupations » tièdes. Seule Moscou ose dénoncer le danger : « Une pratique inacceptable qui menace la sécurité mondiale ».

Conclusion : L’Occident, fossoyeur du droit international

L’histoire jugera cette duplicité. D’un côté, l’Occident criminalise le nucléaire iranien (pourtant sous contrôle de l’AIEA avant les frappes), de l’autre, il légitime ses propres crimes, Hiroshima, les frappes sur l’Iran, et demain peut-être d’autres cibles. L’Iran a raison de se méfier. Le monde doit se réveiller avant que cette folie ne déclenche une catastrophe bien réelle.

Pour aller plus loin :

  • Les détails des frappes sur Natanz et Fordo.
  • L’analyse de la suspension iranienne de l’AIEA.
  • Les contradictions des renseignements américains sur les dégâts en Iran.

« Ils parlent de non-prolifération, mais ce sont eux les proliférateurs de la terreur nucléaire. » – Un diplomate russe à l’ONU, juin 2025.

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