Language

         

 Publicité par Adpathway

USA : Flash : Marjorie Taylor Greene avec une petite phrase nous révèle beaucoup de chose sur Trump : ‘Le président martyr qui a osé dire non à Israël’

2 week_ago 2

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway


Flash : Marjorie Taylor Greene avec une petite phrase nous révèle beaucoup de chose sur Trump : ‘Le président martyr qui a osé dire non à Israël’

Publié le 24.6.2025 à 23h59 – Par Valentina Costa – Temps de lecture 11 mn

× Logo

Gagner du temps de lecture avec le résumé de l'article


La représentante américaine Marjorie Taylor Greene nous sort cette phrase « assassine » et pleine d’explications, mais désormais nécessaire pour la compréhension des décisions de D. Trump sur l’Iran : « Il était une fois un grand président que le peuple américain adorait. Il s’opposait au programme nucléaire israélien. Puis il a été assassiné. »

Oui, comme elle nous dit, il était une fois un président américain adoré, un homme qui avait l’audace de tenir tête au projet nucléaire israélien. Puis, il a été abattu. C’est ce qu’a lâché, comme une « bombe », la représentante américaine Marjorie Taylor Greene dans une déclaration qui fait trembler les murs de Washington : « Il était une fois un grand président que le peuple américain adorait. Il s’opposait au programme nucléaire israélien. Puis, il a été assassiné. » Et voilà que cette phrase, prononcée après que Donald Trump a déclassifié une montagne de dossiers JFK, nous jette en pleine figure une vérité que beaucoup soupçonnaient : l’état profond américain, ce monstre tapi dans l’ombre, serait aux ordres des lobbies sionistes, avec Benjamin Netanyahu en chef d’orchestre d’une symphonie macabre.

Traduction du X :
C'est extrêmement écœurant et dérangeant. Veuillez lire jusqu'au bout. Mark, tu as exactement le même ton et le même langage que ceux utilisés par les psychopathes qui m'envoient des menaces de mort tous les jours. Tu devrais être viré de Fox News. Et honte à Fox s'ils cautionnent ça. Laissez-moi vous présenter mon ami Jésus. Il dit : « Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu. » Jésus est le Messie. Jésus est le fils unique de Dieu. Jésus a été mis à mort sur une croix romaine et est mort en sacrifice unique pour nos péchés. Jésus est l'Agneau de Dieu. Vous pouvez lire son histoire dans Ésaïe 53:5-12. Jésus reviendra un jour et ceux qui ne l’ont pas reconnu pleureront. Il apportera la paix éternelle à toute la Terre et son royaume n’aura pas de fin. Jésus dit aussi : « Priez pour vos ennemis. » Je ferai de mon mieux pour prier pour vous. Mais je serai vigilant maintenant. Il était une fois un grand président que le peuple américain adorait. Il s'opposait au programme nucléaire israélien. Puis il fut assassiné. Je suis pour la paix. Je m’oppose à la guerre, y compris aux guerres menées par Israël. Dois-je sentir que ma vie est désormais en danger également ? Qu’en est-il du président Trump qui a vivement réprimandé Israël ce matin pour avoir continué à attaquer l’Iran ?

This is extremely sick and disturbing. Please read to the end.

Mark, you have the exact same tone and language that the psychopaths use that send me death threats every single day.

You should be fired from Fox News. And shame on Fox if they condone this.

Let me introduce you… https://t.co/twsWLwkQU3

— Rep. Marjorie Taylor Greene🇺🇸 (@RepMTG) June 24, 2025

Trump face au chantage : bombarder l’Iran ou finir comme JFK ?

Quand Trump a pris les rênes du pouvoir, il s’est retrouvé coincé dans un étau infernal. D’un côté, Netanyahu, cet insatiable va-t-en-guerre, appuyé par l’AIPAC ce rouleau compresseur du lobbying pro-israélien qui domine les coulisses de la politique américaine, exigeait des frappes massives contre l’Iran. De l’autre, sa base MAGA, ces patriotes qui criaient « America First », refusait de voir leur président plonger dans une nouvelle guerre pour faire plaisir à Tel-Aviv. Que faire ? Trump, cet anti-guerre autoproclamé, a-t-il pensé à son « ami » JFK, liquidé pour avoir osé défier les mêmes forces ? La peur au ventre ou a-t-il déroulé un plan à plusieurs bandes ? Oui, il a choisi une option de compromis : des frappes spectaculaires, dignes d’un blockbuster hollywoodien, mais soigneusement calibrées pour ne pas tuer de civils et limiter les dégâts.

Était-ce le bon choix ? Pour certains, c’est une pirouette géniale : Trump a donné à Netanyahu son os à ronger sans déclencher une guerre totale qui aurait pu signer son arrêt de mort politique ou pire. Mais regardez bien : ces frappes sur les centres de recherche nucléaire iraniens ont été un flop retentissant, révélé même par CNN et tant d’autres médias dans le monde, et tellement visible, comme nous aussi, avec les Iraniens et l’AIEA eux même. Même Netanyahu, ce tyran insatiable, a douté de leur efficacité.

Alors, pourquoi l’avoir fait ? Parce que Trump n’avait pas le choix. Il était sous le joug d’un chantage implacable, orchestré par les sionistes qui, selon Greene, auraient déjà éliminé un président par le passé. Refuser catégoriquement ? Impensable. S’il l’avait fait, Trump aurait pu finir avec une balle dans la tête, comme JFK, victime des mêmes marionnettistes.

Alors à t-il laissé du temps aux Iraniens avant pour se préparer et tout ranger, le principal ? Oui, c’est désormais clair.

L’état profond démasqué : Netanyahu et l’AIPAC, cancer de l’Amérique

La petite phrase de Greene n’est pas qu’une provocation. Elle arrache le voile sur une réalité crasse : les États-Unis ne sont pas dirigés par leurs élus, mais par un état profond qui porte le drapeau étoilé de David. L’AIPAC, cette machine de guerre financée par des millions de dollars, dicte sa loi au Congrès, à la Maison-Blanche, et même au Pentagone. Netanyahu, avec son rêve délirant d’un « Grand Israël », n’est pas juste un allié encombrant, il est le parrain d’une mafia politique qui infiltre chaque recoin du pouvoir américain et mondial. Et Trump, en déclassifiant les dossiers JFK, a peut-être voulu nous le faire comprendre. Ces documents, bien qu’ambigus, laissent entrevoir les tensions entre Kennedy et Israël sur le nucléaire à l’époque et assez pour alimenter les soupçons que Greene a transformés en cri de guerre.

Ces frappes sur l’Iran, aussi inefficaces soient-elles, ont eu un mérite : elles ont mis en lumière l’emprise des lobbies sionistes. Trump, forcé d’agir contre ses propres convictions, a révélé au grand jour ce que beaucoup murmuraient : l’Amérique est une marionnette entre les mains de Netanyahu et de ses sbires. Greene l’a dit sans détour, et elle a raison sur un point : si Trump avait dit « non » tout net, il aurait signé son propre arrêt de mort. Les mêmes qui auraient abattu JFK ces ombres sionistes tapis dans l’état profond n’auraient pas hésité une seconde.

Une révélation qui expose Netanyahu au grand jour

Dans les jours à venir, la bombe de Greene va continuer d’exploser. Elle braque les projecteurs sur Netanyahu, ce despote qui manipule les États-Unis comme une vulgaire colonie, et sur ses complices de l’AIPAC, véritables parasites incrustés dans les entrailles de la démocratie américaine. Ce n’est pas juste une théorie du complot : c’est une accusation qui résonne avec ce que beaucoup ressentent. Les frappes de Trump, cette opération controversée, n’ont pas seulement échoué à stopper l’Iran, elles ont dénudé la mainmise sioniste sur Washington. Et si Greene a raison, si JFK a été martyrisé pour avoir défié Israël, alors Trump a peut-être sauvé sa peau en cédant juste assez pour survivre.

Netanyahu et ses fanatiques, ces « fous furieux destructeurs » comme les appelle si bien le murmure populaire, sont aujourd’hui plus exposés que jamais. Leur influence, ce cancer qui ronge les États-Unis et se propage dans le monde, est enfin mise à nu. Grâce à Greene, grâce à Trump, nous voyons l’état profond pour ce qu’il est : une hydre à la solde des ambitions impérialistes d’Israël. Et si cette révélation ne détruit pas encore les centres nucléaires iraniens, elle pourrait bien, à terme, faire tomber les masques et avec eux, les tyrans comme Netanyahu qui croient pouvoir régner en maîtres sur l’Occident.

Et quand les informations viennent d’un ancien ambassadeur américain de surcroît juif et qu’il vous explique les plans d’Israël de puis toujours, là, vous comprenez mieux les problèmes qui vont arriver et ceux qui sont arrivés.

Voici la transcription de la vidéo mettant en scène Chas Freeman, ancien ambassadeur américain et figure juive-américaine, et a été publiée. Dans cette intervention, Freeman livre une analyse percutante des ambitions stratégiques d’Israël, de son influence dans la région du Moyen-Orient et du rôle de l’Occident dans la perpetuation de ses actions. Voici une reformulation soignée de son discours, articulant ses principaux arguments autour de l’ambition israélienne, du soutien occidental et de l’impact régional.

Les ambitions stratégiques d’Israël

Freeman affirme qu’Israël ne s’arrêtera pas tant qu’il n’aura pas obtenu la domination totale de la région. Selon lui, les Israéliens excellent dans l’art de « déformer la réalité à leur avantage », une tactique qu’ils déploient à nouveau aujourd’hui. Il va plus loin en déclarant qu’aucun pays au monde ne rivalise avec Israël en termes de « cruauté, d’immoralité et de mépris des normes mondiales et du droit international ».

Il évoque un plan précis attribué à Israël, révélé par le général américain Wesley Clark, ancien commandant des forces européennes et stratège des guerres en Bosnie et au Kosovo. Ce plan visait à éliminer sept pays en cinq ans, un scénario que Freeman juge suivi de près. L’Iran, identifié comme le septième objectif, s’inscrit dans cette logique, mais certains Israéliens considéreraient désormais cela comme un simple « spectacle préliminaire ». L’ennemi ultime, selon eux, serait la Turquie, qu’Israël chercherait à dominer, révélant ainsi une ambition qu’il qualifie de « démesurée ».

Freeman ancre cette stratégie dans une dimension historique et culturelle. Il décrit Israël comme un État bâti sur une « paranoïa » et un « culte de la mort », nourri par le mythe de la Shoah. Cette célébration de la victimisation et de la souffrance engendrerait des « hallucinations » quant aux menaces perçues, justifiant des actions agressives contre ses voisins.

Le rôle du soutien occidental

Deux facteurs internationaux alimentent cette dynamique, selon Freeman. Le premier est l’impunité dont bénéficie Israël, soutenue par l’Occident. Il soutient qu’Israël ne fait jamais face aux conséquences de ses actes, ce qui renforce son audace et son mépris des lois internationales. Cette absence de responsabilité, facilitée par des puissances comme les États-Unis, permet à Israël de poursuivre ses objectifs sans entrave.

L’impact régional d’Israël

Freeman détaille les conséquences concrètes des actions israéliennes sur les pays voisins, soulignant une stratégie de neutralisation et de destruction :

  • Gaza : Israël a « dévasté » Gaza, où le Hamas continue de résister, mais de manière peu efficace. Freeman accuse Israël de profiter du conflit avec l’Iran pour intensifier une politique de « nettoyage ethnique », notamment via une « guerre de six jours dans l’année » et une montée de la violence des colons contre la population arabe autochtone.
  • Liban : Le Hezbollah a été « décimé », sa direction éliminée, et Israël occupe des bases dans le sud du pays, violant les accords internationaux. Cette occupation illustre, selon Freeman, le mépris d’Israël pour les engagements diplomatiques.
  • Syrie : La Syrie a été « complètement dévastée », privée de toute capacité d’autodéfense et contrainte à une « déférence » inédite envers Israël. Freeman y voit une volonté de neutraliser toute menace potentielle.
  • Iran et au-delà : Israël a intimidé la Jordanie pour obtenir l’autorisation de survoler son territoire via l’Irak afin d’attaquer l’Iran. Il a également impliqué les forces américaines, qui contrôlent l’espace aérien irakien, dans ces opérations, démontrant sa capacité à manipuler les dynamiques régionales.

Ainsi, Israël aurait « neutralisé la plupart de ce qu’on appelle l’axe de la résistance », consolidant son contrôle par la destruction et l’intimidation.

Conclusion

Chas Freeman dresse un portrait alarmant d’Israël comme une puissance animée par une ambition démesurée, soutenue par une impunité occidentale et alimentée par une paranoïa historique qu’ils ont eux même alimenté et se servir de cccela pour appuyer leurs actions. Ses actions, qui dévastent Gaza, le Liban, la Syrie et menacent l’Iran, redessinent la géopolitique du Moyen-Orient au prix d’une violation systématique des normes internationales. Ce tableau invite à une réflexion sur les conséquences de cette dynamique et sur la nécessité d’une responsabilisation, faute de quoi le cycle de violence risque de s’aggraver.

Les Russes : « Trump a une opinion incroyable de lui-même, il est tombé entre les mains des démons. »

Les journalistes provocateurs Russes, eux pensent autrement : « Les tendances sous-culturelles, les gens y vivent, y ont grandi. Nombre de dirigeants occidentaux modernes ont accepté cela dès leur jeunesse. Dès leur jeunesse, ils étaient, pour ainsi dire, membres d’organisations similaires, guidées par ceci ou cela, ou, sous une forme ou une autre, par le culte du mal, etc. Je pense donc que cela mérite d’être pris en considération ; nous en avons déjà parlé à plusieurs reprises. Mais en général, peu importe qui vous êtes, votre nationalité, votre droit de refuser les traitements inhumains infligés à autrui, votre foi, votre sang ou votre appartenance à un groupe, vous basculez du côté du diable. »

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway