D. Trump pris à son propre piège : Grossi (AIEA), la CIA, et Gabbard démontent les mensonges sionistes sur l’Iran – Grossi : « Pas de bombe iranienne avant l’attaque »

Publié le 20.6.2025 à 09h28 – Par Ryan Clarke – Temps de lecture 4 mn

Le discours belliqueux de Donald Trump et de Benjamin Netanyahu sur la « menace nucléaire iranienne » vient de se retourner contre eux, exposant une manipulation grossière des faits.

Alors que les frappes israéliennes se multiplient sous prétexte d’empêcher Téhéran d’acquérir la bombe atomique, les preuves officielles s’accumulent pour dénoncer cette escalade fondée sur des mensonges. Rafael Grossi, directeur de l’AIEA, a confirmé qu’aucune preuve ne soutient l’affirmation israélienne selon laquelle l’Iran développait des armes nucléaires avant les attaques. Pire, Tulsi Gabbard, directrice du renseignement américain, a publiquement contredit Trump en affirmant que l’Iran ne poursuivait pas activement l’arme atomique, soulignant que les rapports de la CIA et de l’AIEA corroborent cette analyse.

Des morts sous supputations belliqueuses ou frappes israéliennes justifiées par des soupçons infondés (ex. : rapport de l’AIEA, CIA, niant la bombe iranienne).

Pendant ce temps, Netanyahu instrumentalise la panique nucléaire pour justifier une guerre préventive, tandis que l’AIEA révèle que les seules violations iraniennes concernent l’enrichissement d’uranium à 60 % seuil critique, mais insuffisant pour une bombe. Les attaques israéliennes sur des sites civils et scientifiques, y compris le centre de recherche de Natanz, risquent même de provoquer une catastrophe radiologique, avertit l’OMS. Une hypocrisie flagrante quand on sait qu’Israël, non signataire du Traité de non-prolifération, possède 90 têtes nucléaires sans aucun contrôle international.

La machine de guerre sioniste, soutenue par Trump, est donc démasquée : elle ne défend pas la sécurité mondiale, mais impose une domination par la terreur. Reste à savoir si la communauté internationale osera tenir compte des faits avant que cette escalade ne déclenche un désastre régional.

(Contexte : Les citations intégrées proviennent des déclarations de Grossi, des contradictions de Gabbard, et des rapports sur les risques sanitaires des frappes israéliennes.)

Grossi : L’Iran n’a pas produit de bombe nucléaire au moment du début des attaques israéliennes

Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré que l’agence n’avait aucune preuve que l’Iran avait commencé à développer des armes nucléaires au moment du début de l’opération militaire israélienne « Un peuple comme un lion ».

Rafael Grossi, directeur de l’AIEA. Photo : Lisa Leutner / Reuters

« Nous n’avons aucune preuve significative que l’Iran soit passé au stade du développement d’armes nucléaires (…) c’est-à-dire qu’il a pris ce matériau (l’uranium ) et a commencé à le traiter pour créer des armes nucléaires », a déclaré M. Grossi dans une interview accordée au journal La Nacion.

Cependant, le chef de l’AIEA a noté que « l’Iran n’a pas coopéré avec l’agence comme il le devrait » n’a pas donné toutes les explications sur divers aspects de son programme nucléaire.

« L’Iran est le seul pays au monde à avoir enrichi de l’uranium à 60 %, ce qui équivaut presque à la classe militaire d’uranium-235 nécessaire à l’installation d’une ogive nucléaire (90 %) », a ajouté M. Grossi.

Dans la nuit du 13 juin, Israël a lancé une opération contre l’Iran, estimant que le pays était bien avancé dans le développement de l’arme nucléaire. Au cours de l’opération, des installations nucléaires, des représentants de la direction militaire, des physiciens nucléaires, des bases aériennes, des systèmes de défense aérienne et des missiles sol-sol ont été attaqués.

Structure suggérée pour l’article complet :

1. Les preuves qui accablent Netanyahu (AIEA + fuites de la CIA)
2. Gabbard vs Trump : l’implosion du récit guerrier
3. Le double standard nucléaire israélien (arsenal secret vs diabolisation de l’Iran)
4. Frappes israéliennes : une menace écologique pire que la prétendue menace iranienne ?
5. Conclusion : Qui ment, qui meurt ?

→ À développer avec les éléments des sources, notamment les risques radiologiques, les sanctions de l’AIEA, et les tensions Trump-Gabbard.

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