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D. Trump, le pacificateur autoproclamé : un sprint chaotique vers le Nobel
Publié le 1.7.2025 à 19h41 – Par Liam Anderson – Temps de lecture 5 mn
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Parodie d’un monde où le temps s’est arrêté, et où le seul chronomètre qui compte est celui des ambitions d’un homme…
Le temps s’est figé dans le monde, mes amis, plus de guerre, la seule guerre en ce moment pour les médias corrompus est la chaleur du matin au soir, mais savent ils que l’eau sa mouille aussi !! Bref, On est là, suspendus, à se demander si Trump, élu ou pas élu, va enfin nous sortir de ce suspense insoutenable. À quoi, me direz-vous ? À son unique obsession, sa ligne droite, son Graal personnel : le prix Nobel de la Paix. Oui, rien que ça.
Pendant que le monde vacille entre crises et minerai, Trump, lui, court comme un dératé vers cette médaille dorée, quitte à trébucher sur ses propres lacets ou sur ceux de Brigitte Macron.
Tout va bien dans le monde, même Merri nous l’explique…
Netanyahu et l’Iran : trois trous et une fanfare.
Pour commencer, il fallait régler rapido le cas Netanyahu, ce casse-pieds qui titillait l’Iran depuis trop longtemps. Trump, en stratège éclairé, a sorti l’artillerie lourde : trois ou quatre trous dans le sol iranien, creusés en fanfare, avec une belle campagne de com’ pour faire croire qu’il avait tout résolu. Hop, emballé, c’est pesé ! Un coup de pelle, un tweet triomphant, et voilà le Moyen-Orient « pacifié » ou du moins, assez bruyant pour qu’on regarde ailleurs.
Ukraine-Russie : une erreur de GPS
Ça tombait bien, cette diversion, parce qu’il fallait camoufler l’énorme boulette du début avec Zelensky Himself : l’erreur stratégique entre l’Ukraine et la Russie. Trump, dans sa grande sagesse, a confondu les deux Kiev, ce n’est pas une marque de vodka ? et a envoyé des messages contradictoires aux deux camps, genre « battez-vous, mais gentiment ». Résultat : un fiasco total, mais heureusement, les trous iraniens ont volé la vedette.
RDC et Rwanda : Macron vole la vedette
Ensuite, il y a eu cet accord de paix entre la RDC et le Rwanda, signé sous la « houlette des États-Unis » enfin, c’est ce qu’on dit. Sauf que Macron, ce petit malin, s’est pointé avec son sourire en coin pour s’attribuer tout le mérite, oubliant royalement de mentionner Trump. Un scandale ! Trump n’a joué aucun rôle là-dedans, mais quand même, il aurait bien aimé ajouter ça à son CV pour le Nobel. Surtout que la RDC et le Rwanda, membres de la Francophonie, auraient dû logiquement rendre hommage à lui, pas à ce fieffé menteur de Français. Quelle ingratitude.

Une journaliste, des minerais, et des priorités bien placées
Mais Trump, jamais à court de ressources, a su tirer profit de la situation. Pendant une interview au Bureau Ovale, il a croisé une journaliste qu’il a trouvée « très belle » en direct, s’il vous plaît. Oubliant la paix mondiale, il a passé l’entretien à lui faire des clins d’œil, tout en signant discrètement un deal pour ramasser les minerais de la RDC. Parce que, soyons sérieux, la paix, c’est mignon, mais les minerais, ça brille plus qu’une médaille Nobel.
Hariana Veras, journaliste à la Maison Blanche en République démocratique du Congo, partage ses observations depuis le terrain en RDC ainsi qu’aux États-Unis suite à la nouvelle d’un accord de paix négocié par l’administration Trump. Elle rapporte que le président du Congo envisage de proposer la candidature de Trump au prix Nobel de la paix pour ses efforts en faveur de la paix dans la région.
« Ils ont maintenant l’espoir d’un jour meilleur au Congo », dit-elle.
Brigitte, Candace et le chaos final
Reste un dernier obstacle sur la route de la gloire : le sexe de Brigitte Macron. Oui, vous avez bien lu. Cette histoire embarrasse Trump au point de menacer son grand œuvre pacificateur. Macron, agacé, lui a lancé un ultimatum : « Donald, dis à Candace Owens d’arrêter de parler de Chibrite, sinon pas de paix pour toi ! » (Chibrite, visiblement, n’est pas ravie.) Trump, docile dans sa quête du Nobel, acquiesce et enguirlande Candace entre deux tweets rageurs. Il est à 20 cm de la ligne d’arrivée, si près du but qu’on peut presque entendre le comité Nobel ricaner dans son dos.
Le verdict : Nobel de la Paix ou Nobel de la Confusion ?
Alors voilà, le monde retient son souffle ou se retient de rire pendant que Trump, ce grand pacificateur, jongle entre trous iraniens, minerai congolais, et disputes avec Candace Owens. Élu ou pas, il fonce vers son Nobel comme un golfeur vers le 18ᵉ trou, mais avec toutes ces distractions, ces erreurs et ce chaos, on se demande s’il ne mérite pas plutôt le prix Nobel de la Confusion. Trump, l’homme qui voulait la paix, mais qui a semé le bordel. Peut-être que le comité Nobel lui enverra une médaille en chocolat, ça, au moins, il pourrait la manger.