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USA : « CODE VERT », Opération Liberté en Californie : Trump et la Garde Nationale à Los Angeles un coup d’État constitutionnel contre l’État profond ? – Analyse complète

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« CODE VERT », Opération Liberté en Californie : Trump et la Garde Nationale à Los Angeles un coup d’État constitutionnel contre l’État profond ? – Analyse complète

Publié le 9.6.2025 à 16h57 – Par Ryan Clarke – Temps de lecture 8 mn

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Une intervention militaire historique sous commandement Trump

Développé pour comprendre la position géographique actuelle : La Californie, bastion démocrate où tout a commencé, du Hollywood pédophile aux procès comme celui de Diddy, en passant par les tunnels et les incendies qui ont tout ‘nettoyé’. À votre avis, que représente la frontière Californie-Mexique comparée aux autres États frontaliers, comme le Nouveau-Mexique (avec Ciudad Juárez), ou Texas (Vallée du Rio Grande) où transitent l’essentiel des trafics ?

Frontière États-Unis/Mexique : Longueur, Trafic Migratoire, Affiliation Politique et Mur de Séparation

Longueur de la frontière par État

La frontière totale entre les États-Unis et le Mexique s’étend sur 3 150 km. Voici sa répartition par État :

  • Californie : ≈ 227 km (principalement autour de San Diego et Mexicali).
  • Arizona : ≈ 626 km (déserts et zones montagneuses).
  • Nouveau-Mexique : ≈ 313 km (régions désertiques peu peuplées).
  • Texas : ≈ 2 018 km (le plus long, le long du Rio Grande).

Trafic migratoire (proportion par État)

  • Texas (Vallée du Rio Grande) : ≈ 40% des traversées illégales (point chaud pour les familles d’Amérique centrale).
  • Arizona (désert de Sonora) : ≈ 30% (passages risqués via des zones désertiques mortelles).
  • Californie (San Diego/Tijuana) : ≈ 20% (malgré le mur, nombreux tunnels et passages clandestins).
  • Nouveau-Mexique : ≈ 10% (moins surveillé, mais moins fréquenté en raison de l’éloignement).

Affiliation politique en 2024

  • Californie : Démocrate (bastion progressiste, gouverné par Gavin Newsom).
  • Arizona : Swing State (basculé démocrate en 2020, mais enjeu clé en 2024).
  • Nouveau-Mexique : Démocrate (tendance libérale, malgré une minorité rurale conservatrice).
  • Texas : Républicain (dominé par le GOP, mais en mutation avec l’urbanisation d’Austin et Houston).

Mur de séparation : Où est-il présent ?

  • Californie : Mur quasi continu (depuis San Ysidro jusqu’à Calexico).
  • Arizona : ≈ 80% couvert (zones urbaines comme Nogales, mais des brèches dans le désert).
  • Nouveau-Mexique : Peu de mur (quelques barrières près de Columbus, mais majoritairement ouvert).
  • Texas : Partiellement muré (≈ 30% couvert, surtout près d’El Paso ; le Rio Grande rend la construction difficile).

États dépourvus ou avec un mur inachevé

  • Nouveau-Mexique : Le moins protégé (peu de barrières physiques).
  • Texas : Le plus lacunaire (projets abandonnés sous Biden, remplacés par des patrouilles).

Conclusion : Le Texas est la zone la plus traversée par les migrants, mais c’est aussi là que le mur est le moins présent. La Californie, très murée, reste un point de passage important malgré les contrôles. L’Arizona, politiquement disputé, combine une frontière partiellement sécurisée et un trafic migratoire intense.

Une intervention militaire historique sous commandement Trump

Le 8 juin 2025 restera gravé dans l’histoire américaine comme le jour où le président Donald J. Trump a lancé une opération militaire sans précédent pour « libérer » la Californie de ce qu’il décrit comme une emprise corruptrice de l’État profond. Des milliers de soldats de la Garde Nationale ont envahi Los Angeles sous ordre direct de la Maison Blanche, contournant l’autorité du gouverneur Gavin Newsom.

Comme toujours, le discours de la gauche consiste à nier l’évidence :

  • « Manifestations pacifiques » – Elizabeth Warren
  • « Des manifestations très majoritairement pacifiques » – Kamala Harris
  • « Manifestations pacifiques » – Cory Booker
  • « C’est sous contrôle » – Gavin Newsom
  • « Sans incident » – LAPD

08.06.25 La Californie menace de ne plus payer d’impôts ?

LA CALIFORNIE N’A PAS ENCORE FAIT LE LIEN ENTRE LES DEUX !

TRAHISON ! Les démocrates sont pris en flagrant délit d’utilisation des fonds de la FEMA pour favoriser l’immigration illégale. Le gouverneur de Californie Gavin Newsom demande officiellement au président Trump d’ANNULER le déploiement de la Garde nationale à Los Angeles et de la renvoyer sous le commandement de Newsom.

LES AMIS, PARTEZ VITE PARCE QUE JE NE POURRAIS RIEN FAIRE POUR VOUS

Le chef de la police de Los Angeles, Jim McDonnell, conseille aux agitateurs anti-crise d’y réfléchir à deux fois – les autorités fédérales « ne plaisantent pas  » lorsqu’il s’agit de poursuivre des suspects violents.

Traduction : Il a littéralement mis en garde les anarchistes payés par Soros et les sbires du Deep-State qui dirigent l’insurrection violente à Los Angeles.

En d’autres termes :

« Mes patrons, le maire et le gouverneur, m’ont lié les mains. Vous vous en êtes tirés jusqu’à présent parce qu’ils l’ont fait, et je n’ai pas été autorisé à répondre à votre violente insurrection.

LES GENS QUI ARRIVENT MAINTENANT, QUE VOUS ALLEZ RENCONTRER, NE TRAVAILLENT PAS POUR MES PATRONS. Ils ne travaillent pas pour Gavin Newsom ou Karen Bass.

Ils travaillent directement pour le gouvernement fédéral. Ce sont des soldats militaires dont les règles d’engagement sont totalement différentes. LEURS mains ne seront pas liées. Je m’arrêterais maintenant, si j’étais vous ».

Cette intervention, qualifiée de « CODE VERT », marque un tournant radical dans la lutte entre l’administration fédérale et les bastions progressistes démocrate. Mais s’agit-il d’une opération de sauvegarde constitutionnelle ou d’un coup de force politique ?

Le déploiement militaire : une occupation de Los Angeles

Selon des sources militaires et des témoignages sur le terrain, plus de 2 000 soldats ont pris position dans les rues de Los Angeles dès 19h (heure du Pacifique). Des convois blindés, des points de contrôle et des extractions ciblées ont été signalés, avec des forces fédérales agissant sans coordination avec les autorités locales.

  • Humvees et barrages routiers : Les principaux axes de la ville sont sous contrôle militaire.
  • Fourgons noirs « US MIL » : Des unités non identifiées mènent des raids nocturnes, visant des lieux liés au trafic de fentanyl et à des réseaux criminels.
  • Coupures ciblées : Perturbations des communications et de l’électricité dans certains quartiers, suggérant une opération de neutralisation des réseaux ennemis.

« Ce n’est pas une simple démonstration de force. C’est une reprise territoriale. » – Source anonyme du Pentagone.

Pourquoi la Californie ? La cible symbolique de Trump

La Californie, dirigée par le démocrate Gavin Newsom, est depuis longtemps dans le collimateur de Trump, qui l’accuse d’être un « laboratoire du mondialisme ». Parmi les griefs évoqués :

  • Fraude électorale (allégations récurrentes depuis 2020).
  • Exploitation des cartels (trafic de drogue, réseaux pédocriminels).
  • Censure conservatrice (liens supposés entre Big Tech et l’État profond).

Trump justifie son intervention par des décrets d’urgence signés lors de son premier mandat, invoquant le Titre 32 (autorité fédérale sur les Gardes Nationales en cas de crise).

« Antifas », auxiliaires de l’État profond et de Soros – Le chef de la police de Los Angeles dénonce les professionnels des émeutes

« Ce ne sont pas les gens que l’on voit pendant la journée », a souligné Jim McDonnell. Ce sont des gens encagoulés. Ils portent un sweat à capuche et des masques. Ce sont des gens qui font ça tout le temps. La situation est hors de contrôle, a-t-il confirmé, la police a désespérément besoin de l’aide de la Garde nationale, car les officiers sont débordés.

Trump a ordonné aux fédéraux de «libérer» Los Angeles, «envahie et occupée par des sans-papiers et des criminels».

Logiquement, le gouverneur pro-migrants (et covidiste) Gavin Newsom a condamné la « prise de contrôle » fédérale de la Garde nationale de Californie comme étant inconstitutionnelle.

La reddition de Newsom : un gouverneur impuissant ?

Selon des fuites, Newsom aurait reçu un ultimatum :

  • Abandonner le contrôle de la Garde Nationale californienne.
  • Éviter des poursuites pour corruption.

Son silence médiatique et l’absence de résistance visible suggèrent qu’il a plié. Certains analystes y voient une capitulation stratégique, d’autres un piège politique.

Théories et réalités : guerre contre l’État profond ou coup d’État ?

Version pro-Trump :

  • Une opération de libération contre les élites corrompues.
  • Rétablissement de l’ordre constitutionnel, avec saisie de preuves criminelles.

Version critique :

  • Un déni démocratique, contournant le fédéralisme.
  • Précédent dangereux : un président utilisant l’armée contre un État opposant.

« Si un président peut envahir la Californie, quel État sera le prochain ? » — Un sénateur démocrate sous anonymat.

Et maintenant ? Scénarios possibles

  • États suivants : Des rumeurs évoquent des déploiements vers Portland, Chicago ou New York.
  • Arrestations majeures : Des figures politiques ou médiatiques pourraient être visées.
  • Blackout médiatique : Les réseaux sociaux censurent les discussions sur l’opération.

Conclusion : 1776 ou 2025 ? La bataille pour l’âme de l’Amérique

Trump instrumentalise le récit d’une « seconde révolution », présentant son intervention comme un acte patriotique. Mais avec des médias divisés, des preuves opaques et un vide juridique, cette crise pourrait redéfinir les limites du pouvoir présidentiel.

À suivre :

  • Les réactions du Congrès et de la Cour suprême.
  • Fuites vidéo ou documents classifiés.
  • Risque d’escalade civile ?

Une chose est sûre : la guerre contre l’État profond, réelle ou imaginée, vient de franchir un point de non-retour.

🔴 Mise à jour en direct : Des heurts sont signalés près de Hollywood. La Maison Blanche promet une conférence de presse à minuit (heure de l’Est).

Sources croisées : fuites anonymes, rapports militaires, témoignages locaux. À vérifier avec prudence dans un contexte de désinformation intense.

⚠️ Disclaimer : Cet article est notre analyse de la situation au regard de nos sources et de nos informations côte Est des États-Unis et reflète des allégations non confirmées officiellement bien sûr quoi que beaucoup sont déja disponible, faut il les voirs. Alors en l’absence de déclarations officielles, les détails opérationnels restent sujets à caution.

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