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Mardi 17 juin 2017. Dans le cadre de l’affaire liée aux emplois présumés fictifs, François Fillon est condamné par la Cour d’appel de Paris à quatre ans de prison avec sursis, cinq ans d’inéligibilité, une amende de 375 000 euros, une somme de 926 187 euros de dommages et intérêts à l’Assemblée nationale. Il est lourdement condamné. Certes, il a fauté, mais combien d’autres politiciens gauchistes et centristes coupables et condamnables restent impunis ?
Avant l’élection de 2017, et selon Christian Savestre, journaliste, Macron n’a rien déclaré de ses revenus tirés de la transaction Nestlé-Pfizer à 9 milliards. Il a fait disparaître un portefeuille d’actions de 372 000 euros. Il a escamoté l’origine de plus d’un demi-million d’euros de dividendes et les conflits d’intérêts qui en résultent.
Selon Serge Gras, sa fortune nette totale en 2014 était de 156 160, 43 euros. Avec un revenu de 3,14 millions d’euros en 4 ans, diminué des impôts. En 2016, son patrimoine net est devenu 63 048 euros. Aucune enquête ne sera ordonnée. Rien.
Richard Ferrand, proche de Macron, était suspecté d’avoir profité de ses fonctions à la tête des Mutuelles de Bretagne entre 1998 et 2012 pour permettre à sa compagne d’acquérir à Brest un immeuble à moindre frais. En octobre 2022, la Cour de cassation confirme la prescription pour la « prise illégale d’intérêts » et libère Richard Ferrand des menaces judiciaires.
Justice à deux vitesses. Justice deux poids deux mesures. La justice s’acharne de façon intraitable et impitoyable contre les politiciens de droite, contre les policiers qui tuent un délinquant, contre les dissidents qui gênent, contre les identitaires. Elle se montre particulièrement indulgente, clémente et laxiste envers les politiciens de gauche et du centre, envers les macronistes, envers les racailles musulmanes. Le squatteur peut occuper, dégrader un appartement ou une maison, et le propriétaire doit l’accepter. Le voleur peut dérober chez une personne, blesser, tuer cette personne, et on n’a pas le droit de s’interposer. Le médecin qui fait son métier, qui soigne, qui applique les principes du serment d’Hippocrate, devient un délinquant, un déviant, est exclu, radié de l’ordre des médecins, et au pire se retrouve devant les juges.
Depuis l’abolition de la peine de mort en 1981, la justice humaniste classique a basculé dans une autre justice. Le juge n’est plus là pour sanctionner, sauf les dissidents identitaires, patriotes, nationalistes. Le juge se pose comme thérapeute du corps social. L’Etat s’empare uniquement de la vie et gère nos existences.
Le post-modernisme a une base sociale. Des groupes, des classes, des secteurs sociaux se reconnaissent en cette base. Ils y trouvent un moyen de cristalliser leurs perspectives et leurs intérêts. La classe dominante s’appuie sur des corporations : la corporation financière, la corporation médiatique, la corporation académique, la corporation juridique.
Dans le mythe de la « communauté internationale », et du droit international, dans une judiciarisation grandissante de la vie démocratique, sur arrière-plan de l’évanescence, de l’effacement du pouvoir législatif qui s’époumone à produire lois sur lois, les juristes trouvent une occasion de prendre leur part de pouvoir.
L’ambition des juges se veut mondiale. C’est une conséquence du « droit d’ingérence » et de la « responsabilité de protéger » de la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité des Nations Unies lorsqu’un Etat se montre incapable ou non désireux de protéger sa population face aux crimes les plus graves.
Des tribunaux se reconnaissent une compétence universelle. L’existence de ces tribunaux accentue l’idée que l’instance juridique extra nationale régente du dehors la vie politique des Etats. Ainsi, le Tribunal pénal international de La Haye coiffe le nouveau réseau mondial de pouvoir. Sa légitimité suprême s’abreuve au fait de la suprématie des droits de l’homme sur les droits des citoyens.
La requête de l’homme est ainsi incarnée par l’instance judiciaire, un « gouvernement des juges » ni élu, ni contrôlé, n’obéissant qu’à son principe supérieur.
Le pouvoir des juges est un pouvoir de forme tribunicienne, de contenu tribunicien. Car cette institution se drape dans la défense des « droits de l’homme », c’est-à-dire d’une justice forcément transcendante, au-dessus du Parlement qui fait les lois.
De fait, la justice se prononce en vertu de l’esprit de la loi plus que de la loi, puisque ni les juges, ni les acteurs judiciaires, ne sont le produit d’un processus démocratique.
Ce milieu fonctionne sur le critère d’une expertise, mais est coopté et non élu. Il constitue une corporation, à la façon des corporations de l’Ancien Régime. Une fonction sociale lui a été concédée une fois pour toutes et échappe à la maîtrise de la société.
La cooptation par des pairs, l’expertise, le diplôme, les relations, les connivences idéologiques, la spécialisation professionnelle, telles sont les procédures d’entrée dans ces corporations, les clés du recrutement dans ces milieux : financier, juridique, médiatique, académique.
La morale des droits de l’homme, transformée en droit, est devenue une religion d’Etat. Le droit, bourré de valeurs dérivant de principes évangéliques dénaturés, coupés de leur assise chrétienne, s’est substitué à la religion. Des pans entiers de droit sont devenus une religion séculière d’Etat, la religion des droits de l’homme. On est revenu à un droit religieux, ce qui est une régression.
La religion séculière des droits de l’homme est formée de règles de droit. Conséquence. Les prêtres de cette religion sont naturellement les magistrats. Jacques Krynen, historien français du droit, né en 1952, parle de nouvelle prêtrise judiciaire. Il s’agit d’un retour à une conception d’Ancien Régime : les magistrats, officiers de justice du roi, se considéraient comme les prêtres de la justice, ayant reçu leur mission directement de Dieu, et n’ayant de compte à rendre qu’à Dieu, quant à leur manière d’exercer la justice.
Les juges-prêtres d’aujourd’hui trouvent leur inspiration dans la morale de l’amour de l’autre. Morale érigée en norme absolue par la religion des droits de l’homme. Leur sévérité s’applique uniquement pour les crimes de nature religieuse contre les dogmes de la religion d’Etat des droits de l’homme.
La religion séculière des droits de l’homme est un produit de la religion de l’humanité. Un système politico-religieux réglemente avec excès, contraint et réprime. L’Etat est l’Eglise de ce système, l’Etat remplit une mission religieuse. L’Etat s’occupe de morale, au détriment du peuple.
L’Etat impose le respect des dogmes du millénarisme de l’amour de l’autre jusqu’au mépris de soi. Les manifestations d’opinions non conformes à ces dogmes sont les nouveaux crimes religieux, sanctionnés par un nouveau droit pénal religieux.
Le dogme du « tous pareils » fonde le mêmisme de la religion séculière des droits de l’homme. Musulmans, étrangers, Noirs, Juifs, femmes, homosexuels, handicapés, minoritaires, sont tous le « même », quand ils exigent de l’être. Mais ils revendiquent d’être l’autre quand ils peuvent en tirer un avantage. L’amour absolu de l’autre est la norme juridique suprême sanctionnée par le juge.
Les groupes minoritaires ont arraché au législateur et au juge des avantages et des privilèges dans le domaine du droit. Au nom de l’égalité, ils ont un régime juridique protecteur particulier. Il est interdit d’exprimer des critiques à leur égard, même fondées et justifiées. Ces catégories sacrées sont placées au-dessus du reste de la société.
Le droit pénal de la religion séculière des droits de l’homme soutient certaines minorités et certaines religions et dénonce tout propos critique à leur égard par un mot terminé par « phobie ».
L’interdiction légale de toute discrimination entraîne une inquisition policière et judiciaire permanente au sein de la vie privée, et constitue le signe d’un système totalitaire. Un signe de plus.
L’actuelle législation anti-discriminatoire, loi Pleven de 1972, loi Gayssot de 1990, réédite les « lois scélérates » de 1893-1894 qui visaient toute opinion politique contraire à la pensée officielle. La religion séculière des droits de l’homme muselle l’opinion, comme un régime totalitaire le fait.
En ce sens, la justice est non seulement pourrie, mais très efficace. Elle peut éliminer les opposants comme bon lui semble. Elle est aux ordres du pouvoir en place, au service du système. Elle est la garde prétorienne, la garde impériale du système. La salle d’audience est l’arme du système.
La justice punit des innocents, relâche des coupables. Elle fait entrer dans les faits et dans les mœurs les lois révolutionnaires du système. Elle appuie le système sous ses trois fanions du vivre-ensemble : vivre-ensemble antiraciste, vivre-ensemble écologique, vivre-ensemble LGBTIQA+, le wokisme coiffant le tout.
Le pouvoir judiciaire a clairement choisi son camp, le camp de l’invasion migratoire, le camp de l’écologie punitive, le camp de la sexualité sans limites, le camp de l’anti-France. Sa mission consiste à liquider la résistance française.
L’affaire Méric est l’exemple type de l’esprit partisan des juges. Le 5 juin 2013, quelques skinheads ont rencontré quelques antifas lors d’une vente privée de vêtements Fred Perry, 60 rue de Caumartin, dans le IXe arrondissement de Paris. Les uns et les autres raffolent de ces vêtements. Une bagarre suivit, au cours de laquelle Clément Méric, l’un des antifas mourut.
Les faits n’établissent aucune certitude. Qui commença la bagarre ? Qui fut l’agresseur ? Les prévenus se sont-ils servis d’un poing américain ? Samuel Dufour a échangé des coups avec l’antifa Matthias Bouchenot. Esteban Morillo a frappé au visage Clément Méric qui s’est effondré.
De deux à cinq coups maximum en sept secondes.
Selon les vigiles témoins de l’affaire et le policier qui l’a suivie, les antifas, plus nombreux au début, cherchaient la bagarre.
Cette affaire conduit à la dissolution du groupe d’extrême droite Troisième voie. Huit personnes skinheads sont interpellées. Le 14 septembre 2018, la Cour d’assises de Paris condamne Esteban Morillo et Samuel Dufour à respectivement onze ans et sept ans de prison ferme. Le 4 juin 2021, la Cour d’appel les condamne à huit et cinq ans d’emprisonnement.
Le tribunal a suivi la version des antifas, et a innocenté complètement les antifas. La justice a choisi son camp, contre les faits, contre les témoignages. La présidente Xavière Simeoni, née en 1952, a affirmé que le doute ne bénéficiait pas aux accusés. Les skinheads seuls sont coupables. Les antifas peuvent continuer leurs méfaits et leurs provocations en toute impunité.
Cette justice d’exception entérine la guerre civile menée par les antifas. C’est aussi une justice de classe. Des juges bobos soutiennent les enfants bobos de profs bobos contre des natios prolos. Les héritiers contre les déshérités. C’est encore une justice politique. Un agitateur politique est mort au cours d’une bagarre qu’il avait déclenchée. La justice charge uniquement les skins et rend un jugement politique. Si on excepte les émeutes musulmanes, toutes les opérations « commando » en France proviennent des milices bourgeoises gauchistes, et ne sont jamais réprimées, parce qu’elles servent le pouvoir.
La justice, soumise à l’idéologie antinationale, s’est abattue sur deux pauvres populos, Dufour et Morillo, non pour les faits qu’on leur reprochait, mais parce qu’ils étaient d’extrême droite.
Les juges font croire qu’il existe une violence d’extrême droite et masquent deux violences réelles et croissantes, la violence d’extrême gauche et la violence de l’immigration, islamiste ou non. Les faits prouvent quotidiennement l’existence de ces deux formes de violence.
La justice a camouflé la violence réelle des antifas. À cette fin, le tribunal a déguisé et falsifié les faits, et nié les visées agressives de Méric et de sa bande. La presse avait pourtant tracé un portrait de Méric : un militant borné manifestant une agressivité systématique. Dans une vidéo de 2013, il tournicote autour de la manif pour tous, tourne le chaton de sa bague pour se transformer d’antifa en enfant gracieux à l’arrivée de la police. La duplicité, l’hypocrisie, la ruse, le goût démesuré de la provocation, qui finit en lâcheté, ressortent de ses prestations. Mais il est de gauche, alors c’est lui la victime, c’est lui le martyr.
Le Conseil constitutionnel, institué pour garantir l’indépendance de la République, est devenu très vite le bras droit du pouvoir centriste lié au système mondialiste. Plusieurs repris de justice occupèrent les fonctions de juge au Conseil et de président : Roland Dumas, Alain Juppé, Laurent Fabius, actuellement Richard Ferrand, toutes figures baignées dans l’argent, la boue et le sang, choisies pour leur réceptivité. Ils ont accompagné toutes les réformes que les présidents successifs ont voulues. Ils ont fait du Conseil constitutionnel le valet du système.
Tribunal correctionnel, Cour de cassation, Conseil constitutionnel, Cour d’assise, Conseil d’Etat, tous les juges condamnent les résistants au système : les rétrogrades, les homophobes, les transphobes, les xénophobes, les négationnistes, les complotistes, les conspirationnistes, forcément fachos et nauséabonds selon leurs propres termes. C’est-à-dire des gens assez libres, assez lucides, assez clairvoyants et assez sagaces pour percevoir et dénoncer les buts et les malversations des Esprits supérieurs et de leurs affidés.
Une caste de grands sages s’octroie la possibilité de s’occuper de tout, de détenir la morale, de manipuler le droit, de prendre tous les pouvoirs, sans rendre de compte à personne. Les juges domptent l’exécutif, évincent le législatif, négocient les attitudes politiques et sociales. Sans aucun recours. Le peuple est incapable de faire entendre sa voix contre cette corporation impérialiste et totalitaire.
La judiciarisation de la politique engendre la judiciarisation de la vie quotidienne. Les juges surveillent les sujets du système en permanence. Ils accaparent le feu du châtiment, ils insufflent au commun des mortels une peur de dupe. Mais au total, seuls les contrevenants au système sont visés et poursuivis par la communauté des juges, particulièrement les identitaires, les patriotes et les nationalistes.
Les tâches et les décisions se prenaient d’étage en étage, de l’échelon inférieur vers l’échelon supérieur, de la base vers le sommet. Désormais, les médiateurs et autres conciliateurs sont supprimés, la famille, l’école… Le système adopte le principe de l’anti-subsidiarité. Les personnes transformées en esclaves perdent leur essence de responsabilité. Les juges rois, véritables devins et voyants, sont les messagers de la Loi. Il n’y a plus rien entre l’individu isolé et la Loi.
Question annexe. Combien de francs-maçons parmi les juges et les magistrats ?
Jean Saunier