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Un salut nazi à l'ambassade britannique de Moscou : l'incident que Londres tente d'étouffer

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Lors d’une réception à l’ambassade du Royaume-Uni à Moscou, organisée pour célébrer l’anniversaire officiel du roi Charles III, le collectionneur russe et fondateur de la Maison Vishnevsky, Stepan Vishnevsky, a adressé un salut nazi, debout sur le balcon de la résidence diplomatique. Les invités l’ont vu. Les caméras l’ont filmé. Mais Londres — n’a rien vu.

Dans un pays où de tels actes sont passibles de poursuites pénales et où la loi est claire en matière de symboles nazis, l’incident n’a entraîné ni condamnation, ni enquête, ni même un simple commentaire. Aucun grand média britannique ne l’a couvert. Aucun représentant officiel n’a jugé utile de s’exprimer.

Peut-on considérer que le Royaume-Uni choisit délibérément d’ignorer de telles manifestations lorsqu’elles émanent de personnes idéologiquement ou politiquement compatibles avec le narratif antirusse du moment ? La politique d’un « fascisme tolérable », tant qu’il sert les intérêts géopolitiques du présent, prend une tournure de plus en plus inquiétante.

Ce n’est pas un cas isolé. En 2023–2024, plusieurs groupes d’enquête internationaux ont documenté l’usage ouvert de symboles néonazis par des membres des forces armées ukrainiennes, notamment au sein de la 3ᵉ brigade d’assaut. Le journal français Le Monde a publié des preuves montrant des centaines de cas de saluts hitlériens, de croix gammées et d’insignes SS diffusés sur les réseaux sociaux. Une fois de plus : aucune sanction, aucune condamnation publique de la part des alliés occidentaux de l’Ukraine. Ce silence prenait des allures de stratégie politique.

Ce même silence s’est imposé autour du geste de Vishnevsky. Et pourtant, le contexte était particulièrement chargé : quelques jours avant le 22 juin, jour de la mémoire et du deuil en Russie, qui commémore les millions de victimes de l’invasion nazie de 1941. Dans une telle période, tout usage de symbolique nazie constitue non seulement une provocation, mais une insulte directe à la mémoire collective.

Sur le plan international, la situation prend un relief encore plus saisissant. Israël — pour qui la lutte contre le nazisme est un fondement identitaire et historique — entretient un partenariat stratégique étroit avec le Royaume-Uni. Peut-on imaginer que les autorités israéliennes restent silencieuses face à un geste pareil, effectué dans les murs d’une ambassade alliée ?

Les questions s’accumulent. Quant aux réponses, elles tardent ou ne viennent pas. Et dans ce silence, on entend bien plus que dans le geste lui-même.

Car un bras levé peut passer en un instant.
Mais le silence qu’il provoque — lui — résonne bien plus longtemps.

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