NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Les captures d’écran ci-dessus datent de 2022 (voir notre article). Marleix, en pleine forme ne semblait ni désespéré ni dépressif, au contraire, il fourmillait de projets. Il n’en avait pas fini puisqu’il venait d’envoyer à l’imprimeur la deuxième version de son prochain livre, Dissolution française. Il s’interrogeait. « Qu’est-ce qui n’y a pas encore été détruit dans notre pays ? Les institutions des la Ve République ! »
Écœuré, dégoûté, au point de vouloir se suicider avant même la sortie de son livre ? Cela ne lui ressemble pas… On a le droit de se poser la question, s’est-il suicidé, était-il dépressif de voir la France qu’il avait tant aimée partir à vau-l’eau ou bien l’a-t-on suicidé devant les bonnes pages de son livre en préparation ?
Olivier Marleix était des nôtres, au fond, même s’il a erré une bonne partie de sa vie avec les ni-ni, les LR (il a longtemps présidé leur groupe à l’Assemblée nationale) qui ont mal ou peu utilisé son talent, souverainiste, gaulliste, sarkozyste, proche de Barnier, admirateur de Pompidou… il n’a jamais pu franchir le pas de la prétendue « extrême-droite » comme nombre de LR, préférant rester sur la berge pour regarder la France se noyer…
Mais c’était un homme bien. Anti-Macron, anti-pass vaccinal, et incorruptible… personne n’a jamais pu l’acheter et surtout pas Macron qu’il méprisait et haïssait.
Le scandale autour d’Alstom a vraisemblablement été le détonateur de cette haine, il était trop patriote pour pardonner à Macron d’avoir été l’artisan de cette forfaiture. Il réclamait d’ailleurs une commission d’enquête…
Voici l’article du Figaro que nous avions publié en 2022
Le patron des députés LR veut établir les responsabilités et rebâtir la souveraineté énergétique de la France. Olivier Marleix, président du groupe LR à l’Assemblée nationale, n’est pas satisfait des choix du président de la République.
LE FIGARO – Emmanuel Macron, comme Élisabeth Borne, préviennent les Français et les entreprises de possibles «tensions» cet hiver. Risque-t-on un «confinement énergétique», selon l’expression d’Agnès Verdier-Molinié ?
Olivier MARLEIX.– Oui, malheureusement !
Le général de Gaulle, après la Libération, a mis en place une politique qui a apporté à la France l’indépendance et l’abondance.
La crise internationale sur le marché du gaz n’explique qu’une petite partie de nos problèmes d’approvisionnement, puisque le gaz c’est 20 % de notre énergie consommée.
Ce qui explique la pénurie, c’est d’abord la situation de notre parc nucléaire avec 32 réacteurs à l’arrêt. EDF promet de remettre en service 40 GW d’ici la fin décembre et 10 de plus d’ici la fin de l’hiver, mais cet objectif est très optimiste.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Ceux qui depuis dix ans ont cru qu’on pourrait se passer du nucléaire – les présidents et Hollande-Macron en tête – ont une responsabilité immense devant la nation et les Français.
La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de l’iceberg. Il y a dix ans de renoncement, pendant lesquels on n’a lancé aucun projet nouveau, pendant lesquels l’absence de perspective a démobilisé la filière nucléaire.
Nous avons une technologie en or, qui nous assurait une énergie propre et bon marché, nous l’avons sacrifiée au nom d’un accord électoral PS-Verts en 2011 : l’échange de 15 circonscriptions législatives contre la fermeture de 24 réacteurs nucléaires !
Nous allons demander une commission d’enquête sur ce sujet.
Il faut à la fois établir les responsabilités de ce désastre et identifier les moyens de rebâtir sans attendre notre souveraineté énergétique.
Début octobre, au Parlement, sera examiné un projet de loi du gouvernement sur l’accélération des énergies renouvelables. Voterez-vous ce texte ?
Il est un peu anachronique : il propose surtout plus d’éoliennes pour défigurer la France et je ne crois pas que ce soit l’urgence.
Je préférerais que l’on accélère la production de biogaz où nos gisements sont encore très importants et faciles à développer.
Si on avait anticipé on aurait pu se passer totalement du gaz russe !
Mais surtout je demande au gouvernement de réviser la programmation pluriannuelle de l’énergie : la loi prévoit toujours la fermeture de 12 réacteurs nucléaires !
À l’heure où nous parlons il y a des dizaines d’ingénieurs chez EDF qui s’activent au sein d’une «direction de la déconstruction».
Ce n’est plus possible ! Le président de la République a tenu un discours très opportuniste à Belfort en février dernier pour annoncer la création de nouveaux EPR.
Mais que s’est-il passé depuis?
Rien.
Le prix de l’électricité comme du gaz s’envolent. Faut-il revoir les règles européennes du prix de l’électricité ? Peut-on en sortir ?
Tout est à revoir : l’accès régulé à l’énergie nucléaire (Arenh) est un échec. On a spolié EDF pour faire des fortunes privées.
Quant au consommateur final, il se retrouve aujourd’hui le bec dans l’eau, lâché par ses fournisseurs. Si la France doit choisir un sujet de bras de fer en Europe, c’est celui du nucléaire d’EDF.
La Commission doit renoncer à son rêve de démantèlement.
Mais l’urgence absolue c’est la déliaison des prix de l’électricité et du gaz.
Pour faire simple, nous sommes obligés d’acheter l’électricité sur le marché de gros à un coût marginal qui est en réalité celui du gaz.
La Commission interdit aux États de vendre l’électricité nucléaire au coût de production.
Résultat c’est M. Poutine qui fixe le prix de l’électricité !
Pour nos entreprises, ce n’est pas tenable : elles voient leurs factures augmenter de 600 ou 700 % !
On ne va pas laisser mourir nos entreprises à cause d’une règle administrative folle ! La France doit sortir de ce marché européen.
Je le demande au président Macron.
Les Espagnols et les Portugais l’ont fait.
La France ne l’a même pas demandé.
Cela n’empêcherait en rien la solidarité européenne grâce aux réseaux interconnectés.
En tout cas, il est plus qu’évident que Macron a été (est/sera) un agent américain et il l’a prouvé avec la vente d’Alstom, cet énorme scandale qu’évoquent peu de politiques.

En 2015, alors ministre de Hollande, Macron vend Alstom et donc les turbines Arabelle qui équipent nos centrales nucléaires aux Américains de General Electric, pour 600 millions d’euros. Puis, avec un discours patriotique sur mesure pour la communication, les rachète pour 1,2 milliard d’euros, en tentant de faire oublier que c’est lui qui les a vendues.
Au passage, les Américains se sont approprié les brevets et le contrôle de nos commercialisations. C’est à dire, que nous payons le double de ce que nous avons encaissé et qu’en plus, nous en perdons l’autonomie d’utilisation.
Nous avons perdu la propriété intellectuelle, les emplois, une partie des savoir-faire et l’opposition amnésique se répand en satisfaction d’avoir récupéré ce pan indispensable de notre industrie, de notre autonomie industrielle et de notre fierté également. Rappelons-le encore une fois, c’est bien Macron qui les a vendues. Pour corser le tout, notre Alstom avait dans ses clients, le Russe Rosatom avec qui, paraît-il, nous pourrions continuer à commercer. Et toujours, les oppositions, de parler de décisions hasardeuses et maladroites, qu’il tente de corriger en rachetant le bazar à prix d’or.
Le problème est que ça n’a l’allure, ni de près ni de loin, d’une opération hasardeuse. Ou alors, tous les gens qui ont participé à la transaction sont de parfaits imbéciles, ce que nous ne croyons pas une seule seconde. Récapitulons, Macron ministre vend les turbines, il anticipe son élection présidentielle, cousue de fil blanc grâce à la « peur de l’extrême droite », à un débat calamiteux de second tour de la part de Marine Le Pen, le tout avec la collaboration des Américains de McKinsey et d’une presse qui prend fait et cause pour le candidat Macron à 95 %, du jamais vu dans l’histoire des médias et de la République. Puis il fait racheter à prix d’or, en consentant la perte des propriétés intellectuelles : qui peut croire à une erreur, à ce niveau et avec du matériel aussi sensible ? Il manque donc 600 millions dans l’affaire qui, on s’en doute, ne sont pas perdus pour tout le monde et un placement sous contrôle américain, dont on a peine à penser qu’il soit le fruit d’un cheminement hasardeux, étant donné que les mêmes Américains ont pu racheter, avec l’aval du même Etat, donc du même homme, un bon paquet de nos fleurons industriels stratégiques.
Si on s’en tenait aux faits les plus stricts, ça aurait tout l’air d’un genre d’intelligence avec l’ennemi, sauf que les Américains ne sont officiellement pas nos ennemis, du moins, de l’intelligence avec une puissance étrangère et il ne faudrait surtout pas que des gens issus d’une alternance politique se mettent à fouiller dans cette affaire… au cas où ils en auraient l’intention.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.co
https://resistancerepublicaine.com/2024/06/09/alstom-macron-lagent-americain/
.
Jean-Paul Saint-Marc avait lui aussi résumé les trahisons de Macron :
La France paie toujours la saloperie de la vente d’Alstom par Macron
Rappel du « en même temps » de l’idéologie Macron, avec le massacre des nôtres, le massacre de nos industries ! Ainsi huit ans déjà qu’Alstom a été vendu aux USA sur accord du Minus à leur service… C’était aussi l’occasion de détruire l’industrie nucléaire française doublement concrétisée par la fermeture de Fessenheim, pour satisfaire les écolo-dingos et tata Merkel…
…/…
C’est une erreur (tu parles mon colon !) stratégique majeure dont la réparation prend des allures de chemin de croix. En 2014, alors qu’il était conseiller puis ministre de François Hollande, Emmanuel Macron donnait le feu vert à la vente par Alstom, fleuron français du nucléaire, d’une partie de ses activités dans l’énergie à son concurrent, l’américain General Electric. Cette cession intervenait dans un contexte très particulier.
Alstom faisait alors l’objet de poursuites judiciaires aux Etats-Unis et l’un de ses cadres, Frédéric Pierucci, avait même été incarcéré outre-Atlantique, dans ce que de nombreux observateurs ont interprété comme une manœuvre de déstabilisation américaine visant à mettre la main sur les très stratégiques activités françaises (il fallait amener les choses sur le plan diplomatique, quitte à rompre les relations avec les USA pour leur comportement ignoble ! Il fallait que tout cela ait un retentissement international…). La vente concernait un joyau de technologie tricolore : les turbines Arabelle, les plus puissantes du monde, équipant de très nombreuses centrales nucléaires à travers le monde.
Et plutôt que de se mettre encore sous la coupe des USA, une autre turbine aurait pu être mise au point depuis 8 ans, on a toujours des ingénieurs aptes sur le domaine des turbines !!!
À lire et relire sur le sujet, inépuisable… et accablant pour Macron
.
Il était discret, Olivier Marleix, mais omniprésent dans l’histoire de la Ve, à l’Assemblée nationale notamment où il a été élu et réélu.
On n’en parlait pas souvent sur RR, car il ne faisait pas partie des ténors, de ceux qui courent les plateaux, de ceux qui pérorent à propos de tout et de rien, mais c’était, sans aucun doute, un patriote, un amoureux de la France…
Je ne sais pas vous, mais je trouve quant à moi qu’il y a bien beaucoup de suicidés en ces temps heureux où les yeux des Français s’ouvrent… Si nos questions sont judicieuses, cela signifie qu’il y a encore pire que ce que nous exposons ci-dessus, un scandale encore plus terrible emportant tout qui aurait été dévoilé par le livre à publier d’Olivier Marleix ?
Christine Tasin