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«Un procès de Moscou» : le RN à la rescousse de François Bayrou après son audition sur l’affaire Bétharram

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Plusieurs cadres du parti nationaliste ont reproché à la commission d’enquête sur les violences dans les établissements scolaires de s’être transformée en un «tribunal».

Jean-Philippe Tanguy n’a pas regardé l’audition de François Bayrou sur l’affaire Bétharram d’une durée de 5h30. Mais les quelques extraits visionnés par le député RN de la Somme lui suffisent pour se dire «gêné par la tournure que prend la commission d’enquête» sur les violences dans les établissements scolaires. «Nous ne sommes pas un tribunal, ni des procureurs. Le Parlement n’est pas une autorité judiciaire», a-t-il argué sur Public Sénat, avant de dénoncer la «volonté de LFI et du reste de la gauche de transformer cette commission d’enquête en inquisition».

Même son de cloche du côté de Sébastien Chenu, invité sur TF1. «Cette audition m’a mis assez mal à l’aise parce qu’elle ressemblait davantage à un procès de Moscou», a lancé le député RN du Nord, évoquant un «naufrage». Pour le vice-président du parti nationaliste, l’objectif de cette commission d’enquête est clair : «Coller une balle au premier ministre et en coller une autre à l’enseignement catholique.»

À lire aussi Affaire Bétharram : la charge de François Bayrou contre la commission et LFI

«Dézinguer le premier ministre»

Bien qu’il assure ne pas défendre François Bayrou, Jean-Philippe Tanguy estime qu’il «n’a pas à être soumis à la question et à la torture pendant 5h30». D’autant plus que les rapporteurs de la commission d’enquête «cherchaient plus la faute politique que la vérité pour les victimes». Le comportement du député Paul Vannier (LFI) est particulièrement pointé du doigt, Sébastien Chenu affirmant que ses questions lui ont inspiré la «nausée».

Alors que le RN fait preuve de discrétion autour de ce scandale pédocriminel, les deux députés ont rechigné à s’exprimer sur le fond du dossier. «Je préfère m’en tenir à la prudence», a expliqué Jean-Philippe Tanguy, quand Sébastien Chenu a souligné que «c’est une affaire en cours». «On peut en parler sans chercher à instrumentaliser, assure le député du Nord. L’extrême gauche a utilisé ce drame pour essayer de dézinguer le premier ministre.»

À ce stade, le parti nationaliste n’a pas prévu de censurer François Bayrou autour de cette affaire, dans laquelle le premier ministre est empêtré depuis le mois de février, participant à la chute de sa cote de popularité.

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