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Alors que les relations Chine/UE semblaient s’être apaisées, après que les deux parties ont convenu de négociations pour éviter une guerre commerciale, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a, contre toute attente, mi-juin, au G7 de Kananaskis au Canada, choisi de tirer à boulet rouge sur Pékin. À quoi joue-t-elle ?
Longtemps, pour l’UE, la Chine a été l’ennemi à abattre, l’ombre qui menace de déverser ses surcapacités sur le Vieux continent aussi vite et aussi lapidairement que dans les années 2010 avec les panneaux solaires. Aujourd’hui, le marché a été tué et c’est Pékin qui en détient le monopole. Puis, Donald Trump a fait son retour à la Maison Blanche et a entraîné, à la force de ses droits de douane « réciproques », le vacillement de l’ordre mondial tel qu’il existait jusqu’ici. Alliances et rivalités ont alors considérablement été réévaluées et la chef de l’exécutif européen a pris le parti de changer de regard sur son partenaire-adversaire chinois.