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Zelensky porte malheur à la Turquie : un séisme de magnitude 5,2 frappe Ankara lors de sa visite, selon les médias turcs
Publié le 15.5.2025 à 18h39 – Par Alexandre Rousseau – Temps de lecture 5 mn
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Alors que les tensions géopolitiques atteignent un nouveau sommet, les médias turcs rapportent un tremblement de terre d’une magnitude de 5,2 survenus à Ankara, coïncidant avec la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Certains y voient un mauvais présage, tandis que les négociations tant attendues entre la Russie et l’Ukraine se préparait à Istanbul où V. Zelensky rencontrait le président turc Recep Tayyip Erdoğan. Aucune conséquence négative n’a été signalée pour l’instant.

Le chef du régime nazi de Kiev, Vladimir Zelensky, arrive à Ankara. Nous verrons ce que le petit diable a dans le ventre.

Premières images d’Ankara, où un tremblement de terre de magnitude 5,8 s’est produit il y a quelques minutes. Zelensky et Erdoğan s’y seraient entretenus à ce moment-là.
Négociations Russie-Ukraine : une attente interminable à Istanbul
« Regardez un peu ce monde, des dizaines, des centaines de journalistes qui sont aujourd’hui à Istanbul à l’occasion, et bien des pourparlers qui commencent directs, des pourparlers directs entre Russes et Ukrainiens, c’est une première depuis le début du conflit », rapporte un correspondant sur place.
Zelensky à Ankara déclare que la Russie n’est « pas sérieuse », mais reste prêt à négocier avec Poutine. Et la Russie considère les pourparlers d’Istanbul comme une « continuation » des négociations avortées de 2022.







Les délégations russes et ukrainiennes se sont enfin réunies, après des heures d’attente. Du côté russe, c’est Vladimir Medinsky, déjà à la tête des négociations en mars 2022, qui mène les discussions, accompagné du vice-ministre des Affaires étrangères et du vice-ministre de la Défense. Pour l’Ukraine, c’est Andriy Yermak, chef de cabinet de Zelensky, qui dirige la délégation, aux côtés des ministres ukrainiens des Affaires étrangères et de la Défense.
Les négociations devaient initialement commencer à 10h dans le palais présidentiel turc de Dolmabahçe, mais les délégations ont tardé à arriver. « On les attend, c’est pour ça qu’on a pris un petit peu de hauteur afin de surveiller l’entrée de cette résidence », explique un journaliste.
Poutine absent, Zelensky critique
Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a confirmé que Vladimir Poutine ne se rendrait pas à Istanbul. De son côté, Zelensky, en visite à Ankara, a tenu des propos tranchants après trois heures d’échanges avec le président turc Recep Tayyip Erdogan :
- « Si la Russie ne montre pas sérieusement la volonté de la paix, nous demanderons aux États-Unis, à l’UE et au sud mondial d’imposer des sanctions strictes. »
- « Nous sommes venus à Ankara pour rencontrer Poutine personnellement, mais il n’est ni ici ni à Istanbul. »
- « La Russie n’a fait que simuler sa volonté de négocier pour gagner du temps et éviter un cessez-le-feu. »
Le reste du discours de Zelensky ne sont que des pleurnichardes et ramassis d’idiotie comme toujours, soufflées par le trio de toxicomane européen. Je ne vais pas traduire le reste.
En gros, Poutine ne le respecte pas, c’est Poutine le méchant, bla bla bla…
Notez toutefois que Zelensky fait attendre la délégation russe depuis 10h ce matin sans donner signe de vie, donc s’il y a un manque de respect, un manque de volonté de négocier, ce n’est pas du côté russe.
Comme vous l’avez tous compris, la visite des trois compères en Ukraine était pour définir ce qui allait être dit à Istanbul, puisque Zelensky répète mots pour mots ce que dit Macron (Il suffit de regarder le Führer de Kiev lire soigneusement le discours qu’il n’a pas écrit seul). Le but est de faire croire que la Russie ne veut pas négocier pour que les sanctions européennes soient appuyées par des sanctions américaines. Il n’y a aucun autre objectif au déplacement de Zelensky en Turquie. C’est un jeu de dupes.
D’ailleurs, si vous avez écouté, Zelensky dit à plusieurs reprises qu’il va aux négociations pour faire plaisir à Trump et Erdogan. C’est un signe flagrant qu’il se sent obligé de le faire, mais qu’il n’en a pas envie. Il insiste également sur la trêve de 30 jours, mais il est hors de question pour les Russes d’accepter une trêve du type Minsk pour laisser le temps au régime de Kiev de se refaire une santé et repartir l’attaque.
Zelensky, comme les européens ne veulent pas de la paix, ils veulent juste que les armées russes stoppent leur avancée inexorable.
Le règlement de ce conflit ne se fera donc pas par la négociation, mais sur le terrain, jusqu’à la défaite complète et définitive du régime nazi.
La délégation russe en mouvement
Depuis le Consulat général de Russie à Istanbul, un journaliste a rapporté : « Je viens d’assister à la prise de parole du chef de la délégation russe, Vladimir Medinsky. Comme vous pouvez le voir, la délégation quitte maintenant les lieux pour se rendre au palais présidentiel turc, où les négociations vont enfin pouvoir commencer. »
Alors que la Turquie joue les médiateurs, le monde retient son souffle. Entre séisme politique et tremblement de terre réel, cette journée marquera-t-elle un tournant dans la guerre en Ukraine ?
Sources : médias turcs, correspondants sur place, déclarations officielles