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«Tu peux assurer ta fin de carrière, mais il faut retourner au charbon après l’émission»: «Top Chef», un accélérateur à double tranchant

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Publié le 02 juillet 2025 à 12:12. / Modifié le 02 juillet 2025 à 13:32. 4 min. de lecture

Ils ne sont plus que deux. Ce mercredi soir, Charlie Anne et Quentin Mauro s’affronteront lors de la finale de Top Chef, épilogue de la seizième édition du célèbre concours culinaire télévisé, diffusé sur M6. Le vainqueur remportera un chèque pouvant aller jusqu’à 100 000 euros et – c’est une première – ouvrira un restaurant éphémère, qui pourrait se voir auréolé d’une étoile au Guide Michelin. De quoi bouleverser encore un peu plus sa vie. Car participer à cette émission est un chambardement en soi. Foi d’anciens candidats.

Connue et reconnue, l’émission est devenue, au fil des saisons, un véritable révélateur de talents, en témoigne la quarantaine de chefs qui y ont participé et qui sont désormais étoilés. Parmi eux, Franck Pelux. Assis sur la terrasse de La Table du Lausanne Palace, son restaurant doublement étoilé, le Bourguignon l’assure: si c’était à refaire, il le referait, sans hésiter. Finaliste de la huitième saison de Top Chef en 2017, il évoque une «aventure humaine intense et riche», apportant autant à l’homme qu’au cuisinier. «Les rencontres avec les autres candidats, les chefs qui composent le jury ou ceux qui sont invités – parmi les meilleurs du monde – sont extrêmement enrichissantes», assure-t-il.

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