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Trump-Israël-OTAN : l’Amérique est de retour

2 week_ago 20

         

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Divers médias français ont tenté d’ironiser en traitant Trump de mégalomane ou de « roi du monde ».

Certains journalistes ont fait de la psychologie de bazar en disant qu’il fallait savoir caresser Trump dans le sens de l’ego pour obtenir quelque chose de lui, les faits n’en sont pas moins là : Trump a mis fin pour plusieurs années, voire pour bien davantage de temps, au programme nucléaire militaire de l’Iran des mollahs et il a fait ce qu’aucun Président des États-Unis n’avait osé faire avant lui, et ce que seul un Président des États-Unis courageux et déterminé pouvait faire, car seule l’armée américaine pouvait faire ce qui a été fait à Fordo, Natanz et Ispahan. Seule l’armée américaine a les bombardiers requis et les bombes busters  requises.

Donald Trump a rendu un immense service à Israël et au monde occidental tout entier. Ce qu’il a fait aura un impact sur la Chine, qui voit ce que Trump est capable de faire, et sur la Russie, qui va être privée des drones que lui fournissait l’Iran.

Je persiste à regretter que les opérations militaires n’aient pas duré un ou deux jours de plus et n’aient pas détruit les Gardiens de la Révolution et ébranlé davantage le régime des mollahs : cela n’aurait aucunement impliqué que les États-Unis procèdent à un changement de régime (et l’armée israélienne aurait pu s’en charger), mais cela aurait pu conduire à la chute d’un régime abominable et abject. Je ne comprends pas pourquoi Trump a permis à ce régime de survivre. Ce n’a pas été pour des raisons électorales américaines : les électeurs MAGA, ont montré des sondages, seraient hostiles à une guerre longue, avec troupes au sol, mais n’auraient pas été hostiles à des frappes supplémentaires. Les électeurs MAGA ne sont pas néo-conservateurs, mais ils ne sont pas isolationnistes.

Je ne partage pas entièrement les propos de ceux qui disent que c’est au peuple iranien de se soulever pour faire tomber les mollahs. C’est partiellement exact, mais seulement partiellement : un peuple ne peut pas se soulever s’il risque une répression féroce, et les Gardiens de la Révolution sont féroces. Avoir laissé le régime en place conduit d’ores et déjà à une répression féroce au sein de l’Iran.

Cela n’enlève rien à ce que Trump a accompli, mais il aurait été possible d’accomplir davantage, aisément. Trump dit qu’il va prendre des mesures strictes contre le régime des mollahs, d’ores et déjà très affaibli. Il faut espérer que ce sera le cas. Le régime des mollahs doit mourir.

Cela dit, Trump est arrivé à La Haye pour le sommet de l’OTAN en ayant montré par son action à Fordo, Natanz et Ispahan ce qu’un Président courageux et déterminé peut faire, et il a été très facile de voir immédiatement qui était le chef du monde libre. Tous les dirigeants européens, sauf un, se sont conduits avec déférence vis-à-vis de Trump, et Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN a été tout particulièrement déférent.

Tous les dirigeants européens, sauf un, ont fait exactement ce que Trump leur demandait depuis plusieurs années : porter leurs dépenses militaires, et donc leur contribution à l’OTAN, à hauteur de 5 pour cent de leur PIB. Tous, sauf un, ont fait ce qu’ils se refusaient à faire jusque-là. Il est clair qu’ils prennent Trump au sérieux et comprennent que s’ils n’obtempéraient pas, ils prendraient des risques.

L’exception a été Pedro Sanchez, Premier ministre socialiste espagnol, et l’Espagne en subira les conséquences.

L’OTAN va se trouver renforcée et la défense du monde occidental aussi. Certains pays en grande difficulté économique, dont la France, vont devoir gérer une situation financière difficile, mais ils n’auront pas le choix.

Avoir accepté la règle des 5 % était le prix à payer pour que les États-Unis, principale puissance de l’OTAN, restent dans l’OTAN. Et c’est un fait, Trump a mis en place un rapport de force avec les membres européens de l’OTAN, et l’a emporté.

La prochaine étape pour les pays européens va arriver très vite : Trump veut la fin du protectionnisme européen et pose là aussi un rapport de force. Ou bien les pays européens feront ce que Trump demande, ou ils subiront des taxes à l’importation de leurs produits aux États-Unis. Un pays européen a déjà fait le nécessaire, le Royaume-Uni. On verra si les autres suivent ou choisissent de jouer les matamores, façon Premier ministre socialiste espagnol. S’ils comprennent où se situent leurs intérêts bien compris, ils feront ce que demande Trump, et l’Union européenne en fera de même.

Trump a profité de son passage à La Haye pour remettre à leur lamentable place CNN et le New York Times, organes de propagande de la gauche américaine, et c’était indispensable : par hostilité à Trump, CNN et New York Times diffusent de fausses informations qui servent les ennemis du monde libre. La dernière en date émane de Natasha Bertrand, une           « journaliste » spécialisée depuis longtemps dans la désinformation de gauche : c’est elle et ses fantomatiques informateurs anonymes qui ont dit que les bombardements sur les sites nucléaires iraniens avaient fait tout juste des dégâts mineurs. Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth et le chef d’état-major des armées Dan Caine ont expliqué en détail ce qui devait l’être : deux agents américains infiltrés avaient transmis les plans de Fordo et Natanz aux États-Unis. L’armée américaine avait déterminé les points de vulnérabilité des sites nucléaires iraniens et avait reconstitué dans le désert américain le site de Fordo et testé la frappe aux fins de s’assurer de son efficacité. Fordo, Natanz et Ispahan ont été largement détruits, et les 400 kilos d’uranium enrichi étaient sur place, ce qu’a confirmé la NSA, sur la base des renseignements dont elle dispose. Des journalistes européens préfèrent croire Natasha Bertrand : elle est tellement fiable qu’on les comprend, n’est-ce pas.

Trump a aussi apporté son plein soutien à Benyamin Netanyahu, et a dit ce qui doit l’être sur la justice israélienne qui s’acharne arbitrairement contre Netanyahu parce qu’elle est une justice politisée anti-israélienne au service d’un État profond israélien de gauche qui ne vaut pas mieux que l’État profond américain. Trump a raison : l’État profond israélien est devenu un danger majeur pour Israël, et son acharnement contre Benyamin Netanyahu est odieux.

Trump a brièvement évoqué l’avancée vers la paix qu’il prépare avec Netanyahu pour le Proche-Orient : des accords d’Abraham élargis et approfondis qui impliqueraient la paix entre Israël, le Liban, la Syrie, l’Arabie saoudite. Et l’avancée en question est en cours, tout comme le règlement de la situation dans la bande de Gaza, et ce qui se profile va dans le sens du projet de règlement dans la bande de Gaza évoqué par Trump depuis des mois. J’y reviendrai.

La plupart des dirigeants européens ne partagent pas du tout l’amitié que Trump porte à Israël et à Benyamin Netanyahu, mais qu’importe, ils seront spectateurs de ce qui se prépare, et tant mieux, vu leur anti-israélisme généralisé, si cela leur déplaît.

Trump n’a que fort peu évoqué le dossier ukrainien. Il a énoncé, voici des semaines, ce qui est la seule issue pour l’Ukraine, et ce qui peut permettre un accord de paix avec la Russie. Volodymyr Zelensky, appuyé sur plusieurs dirigeants européens, continue à tenir des propos irréalistes et destructeurs. Trump finira par se lasser, et par montrer à Volodymyr Zelensky et aux dirigeants européens susdits qui a les cartes en main : lui, Donald Trump. Mais ce n’est pas sa priorité immédiate. Je reviendrai aussi sur le sujet.

Trump en est à moins de six mois du début de son second mandat. Il continue à agir vite et avec efficacité. Des médias français peuvent continuer à le traiter de mégalomane ou de roi du monde : il est le président de la première puissance du monde, et s’il le dit, ce n’est en aucune façon de la mégalomanie, mais le constat d’une réalité. Il ne se prend pas pour un roi, mais il sait ce qu’il est : président de la première puissance du monde.

Nul n’obtient quoi que ce soit de Trump en le caressant dans le sens de l’ego : Trump sait ce qu’il veut, et il se donne les moyens d’obtenir ce qu’il a décidé d’obtenir.

Trump sait ce que sont le statut et le rôle des États-Unis sur terre aujourd’hui, et il assume pleinement ce que sont ce statut et ce rôle.

C’est ce qu’ont fait tous les grands Présidents des États-Unis.

Trump est d’ores et déjà l’un des plus grands Présidents de l’histoire des États-Unis.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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