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Jean-Mie Trognon de la Touquette avait conseillé à Fripounette de se laisser pousser les rouflaquettes et de plisser les yeux à la Lee Van Cliff. Parce que ça donne un air viril. Mais elle aurait dû l’obliger à porter la moustache. Même postiche, ça fait de l’effet. Un vrai chef doit être moustachu. Parce que, dans l’imaginaire collectif, ça rime avec couillu. Hitler, Staline, Sadamucène et Maduro seraient restés des agitateurs de fête foraine sans leur moustache.
Macronescu le génie des carpettes s’est pris un bide monumental lors de son intervention bidonnée du 13 mai sur TF1 dans l’émission « Les défis de la France ».
D’abord, les défis à qui ? À quoi ? Le moindre pouilleux armé d’un couteau de cuisine se rit des Français, de leur police, de leur justice et de leurs institutions. Quant aux roitelets et tyranneaux à la tête d’États voyous, ils ne ratent pas une occasion d’humilier publiquement Macrounette. Et à travers ce freluquet, tous les Français qui n’ont pas encore eu le courage de le révoquer.
Selon des sondages RTL-BVA et Odoxa, Manolita n’a pas convaincu grand monde. Même en redressant les chiffres, la pratique des manipulateurs d’opinion consistant à transformer une déroute en victoire, le paltoquet est jugé très négativement par 71 % des Français. Les vrais résultats tangentent les 90 % de désaveu pour son catastrophique bilan pestilentiel.
En « ventilant » comme disent les politologues des courants d’air, il y aurait 32 % de déçus (lire 70) et 39 % d’écœurés (lire 80) qui espèrent ne plus entendre parler de lui après 2027.
L’idée d’un éventuel retour du guignolo en 2032 est massivement rejetée par 85 % des Français. Mais ils sont aussi 39 % à croire les banksters capables de garder au chaud, pour le coup suivant, la place de Fripounette, en installant sur le trône une potiche comme le blaireau du Havre. Plus blaireau que jamais, sa nouvelle tête ne trompe personne.
Le dictateur de poche espérait relancer à l’esbroufe son second quinquennat vaseux. Caramba, encore raté !
Les obséquieux, les lèche-bottes, les cire-pompes et les flagorneurs ont beau se démener comme une bande de rats d’égouts au milieu des immondices pour atténuer l’effet désastreux de la dernière prestation de leur maître, leurs explications ont échoué à convaincre. La défiance est massive, les promesses sont accueillies avec scepticisme, et la colère contenue bouillonne comme le magma d’un volcan prêt à exploser.
L’intervention de Macronescu a été jugée longue, pénible, inutile et décevante. Comme un discours de Fidel Castro. Même quand on pouvait être plus ou moins d’accord avec la teneur de certains de ses propos, car on sait qu’on a affaire à un menteur pathologique.
Si 68 % des sondés apprécieraient d’être consultés par référendum sur des réformes clés, ils ne sont que 36 % à croire que le despote allumé ira réellement au bout de ses annonces. Et surtout, ils sont 92 % convaincus qu’il ne posera jamais les questions qui fâchent : immigration, insécurité et terrorisme islamique. Dictature européiste, souveraineté nationale et Frexit. Cobelligérance en Ukraine, russophobie et cadeaux au nabot de Kiev.
Alors qu’une personne raisonnable aurait évité de provoquer, ce psychopathe qui ne doute de rien a claironné que s’il ne pouvait se représenter en 2027, sauf guerre contre la Russie suspendant la Constitution, il envisageait son retour pour 2032.
Personne ne lui a posé la bonne question : où se cachera-t-il entre 2027 et 2032, si on ne l’alpague pas à la fin de son mandat ? Les charges dont il devrait avoir à répondre sont très lourdes.
Sous son règne, au moins 2200 prisonniers politiques (du jamais vu depuis les guerres coloniales !) ont goûté à la paille des cachots. Pour la plupart des braves gens sans antécédents, condamnés lors de procédures expéditives parce qu’ils s’étaient trouvés au mauvais endroit au mauvais moment : Gilets jaunes, citoyens réticents aux piquouses, médecins refusant d’empoisonner leurs patients avec des mixtures aux effets secondaires mal définis, dont on mesure les dommages aujourd’hui.
Omniprésent mais impotent
Sans majorité pour faire semblant de gouverner la France, il en est réduit à commenter la longue litanie de ses échecs. Qu’il attribue aux autres. À tous ceux qui n’ont pas su le servir correctement. Un déni de réalité typique des psychopathes.
Même Sophie Primas qui serait, paraît-il, la porte-parole du gouvernement, trouve que le président manque de hauteur. Elle n’a qu’à lui offrir un escabeau ! Il est possible que la dame, pressentant le naufrage, ne tienne pas à couler avec le navire.
Elle n’a pas osé le comparer au célèbre radical-socialiste Henri Queuille (1884-1970). Président du conseil après avoir été quatorze fois ministre de tout et de rien, passé à la postérité pour son traité de pratique politique. La bible des étudiants à Sciences Pots de chambre. Surclassant Platon, Aristote, Machiavel, Thomas Hobbes, John Locke, Rousseau (Jean-Jacques, pas la sardine), Montesquieu et Schopenhauer avec ses coruscants aphorismes :
« Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »
« La politique, ce n’est pas de résoudre les problèmes, c’est de faire taire ceux qui les posent. »
Pour ma part, je préfère le grand philosophe Chuck Norris dont les enseignements ont illuminé ma vie : « Frappe toujours le premier, et assez fort pour que ton ennemi ne puisse pas se relever. »
Macronescu, un porteur de vide absolu
Autre citation littéraire, dans « Le traître et le néant », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, deux gauchistes qui savent parfois être lucides, décrivent Fripounette comme « un félon prêt à toutes les compromissions pour accéder au pouvoir, et en même temps, un porteur de vide absolu. Comme le capitaine d’un bateau ivre sans boussole ni gouvernail, Macron navigue à vue en se laissant porter docilement par les différents vents du moment, en bon opportuniste vicelard qu’il est, sans jamais imaginer suivre une étoile. »
On se gausse de son « en même temps » qu’on prend pour de l’irrésolution. Que nenni, c’est sa vraie nature. Enfant et adulte, sans être passé par la phase de l’adolescence. Femme et homme à la fois, sans savoir ce qu’est une famille. Immodeste et tourmenté par sa propre vacuité. Cynique et hors-sol, rusé et maladroit, psychorigide et tordu.
Vivant ses contradictions à la charnière du trouble dissociatif de l’identité et de la schizophrénie, ce psychopathe aux personnalités multiples est un manipulateur pervers, un prestidigitateur capable d’impressionner les béotiens. Mais il ne peut dissimuler longtemps son amateurisme, la faiblesse de sa pensée et son absence de convictions. Dépourvu de tout sens moral, sans remords ni empathie, il agit selon ses caprices du moment, forgés dans le creuset de son monstrueux égotisme.
Être inachevé, dépourvu de libre arbitre, façonné de façon à suivre aveuglément ses maîtres, il est le golem de Soros. La marionnette de Davos. Le roi des craignos dont le sceptre a été sculpté dans les flatulences des banksters.
Rejeté en France, il compense en se défoulant à l’étranger. Où tout le monde le méprise. Du fait de ses extravagances théâtrales et de ses mercuriales à deux balles. Le plus insignifiant roitelet du Cambouistan, le plus sordide dictateur de la Tartinerie Australe, après avoir empoché quelques milliards, l’invitent à leurs dîners de con, assurés d’une bonne poilade. L’autruchon y fonce, tête baissée. Convaincu qu’on rend un hommage à sa majesté, sa sagacité et ses qualités exceptionnelles.
Que deviendra-t-il après 2027 ? Contrariés par ses foucades, ses aptitudes à se faire détester, et son échec à déconstruire la France discrètement comme il en avait reçu l’ordre, ses commettants le jetteront comme une peau de citron pressé. Et si un nouveau pouvoir investigue sur ses finances, et saisit ses avoirs pour indemniser ses victimes, il se retrouvera sur la paille et Bribri dans un EHPAD. La prison serait trop douce pour lui. Avec tous ses mâles en rut.
Relégué dans les cloaques de l’Histoire, il apprendra à gagner sa vie en faisant la manche et en curant les poubelles.
Christian Navis