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Publié le 31 mai 2025 à 14:48. / Modifié le 31 mai 2025 à 16:02. 7 min. de lecture
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«Ce n’est pas un petit merdeux avec une tête de furoncle qui va m’envoyer dans le sapin.» Dans Le Bruit des glaçons (2010), de Bertrand Blier, Jean Dujardin alpague ainsi son cancer, personnifié par Albert Dupontel. Il y a quelques semaines, quand Thomas Lécuyer a annoncé sur les réseaux sociaux être atteint d’un cancer du poumon de stade 4, il s’est souvenu d’une critique du film de Bertrand Blier qu’il avait publiée il y a quinze ans dans une revue parisienne. Elle commençait comme ça: «Mon cancer s’appellera Albert. On s’entendra bien tous les deux. Il faut dire que notre rencontre, je m’y attendais un peu, c’était écrit.»
Il débarque au rendez-vous avec Albert et de l’avance, jette discrètement des regards sur son téléphone quand un message surgit. On a toujours connu Thomas Lécuyer l’air pressé, en train d’expédier une chronique cinéma pour le journal Lausanne Cités, en partance pour un débat sur la RTS, finir dans le même jet un roman et une pièce de théâtre, envoyer un pianiste de bar dans un palace, un humoriste dans un club, un guitariste du Mississippi au Blues Rules à Crissier, qui célébrera dans quelques jours sa 15e édition. «Il est une force de la nature», dit de lui Vincent Delsupexhe, avec qui il a cofondé ce festival. «Une machine de guerre», confirme Philippe Morax, son patron à M Le Média.
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