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COMPTE-RENDU D’AUDIENCE - Le Tribunal de Paris examine la situation de la compagne d’un dessinateur rémunérée pour des prestations à l’existence contestée.
André Escaro et Edith Vandendaele étaient-ils les Barillet et Grédy des « cabochons », ces petits dessins rigolos qui, longtemps, ont égayé la redoutée page 2 du Canard enchaîné ? Ou bien la seconde n’était-elle qu’une salariée fictive de l’hebdomadaire satirique, dont les confortables émoluments (jusqu’à 5600 euros net mensuels) servaient en réalité à rémunérer son compagnon dessinateur, retraité depuis 1996 ? Le tribunal correctionnel de Paris examine depuis mardi le dossier, présenté par le parquet comme un abus de biens sociaux (ABS). Du moins jusqu’à mercredi, puisque les deux représentants du ministère public ont suggéré que l’affaire pourrait finalement être requalifiée en abus de confiance, infraction cousine.
La défense y verra certainement le recours désespéré à une roue de secours juridique, les procureurs ayant compris que le gros pneu de l’ABS avait crevé dès l’audition de l’un des quatre prévenus, Michel Gaillard, ancien président de la société éditrice du palmipède…