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Si les mollahs n’ont toujours pas compris, il va falloir y retourner !

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À la fois stupéfait et enthousiaste en apprenant le raid américain, je me suis dit que ça ferait un très bon film d’action à grand spectacle. Des scénaristes de Hollywood et de Netflix doivent déjà plancher sur le scénario d’un futur blockbuster. Mais je ne m’attendais pas à ce que les ayatollahs leur offrent la possibilité de tourner plusieurs épisodes, de « Vas-y mollo le mollah » I, II, III, IV, etc. Avec une série télé « Rantanplan à Téhéran » en plusieurs saisons. Les cinéphiles disent merci aux barjots barbus !

L’excès de religion rend idiot, et l’islam plus que toutes les autres réunies

Ils en ont pris plein la gueule. D’abord leurs hommes de main du Hamas et du Hezbollah, en commençant par les chefs terroristes. Comme ils ne comprenaient pas la leçon, les Israéliens leur ont donné des cours particuliers. Les généraux de la milice islamiste qui gardent la révolution (pourquoi, elle veut s’échapper ?), les hauts gradés de l’armée régulière, les cadres supérieurs du programme nucléaire et les dirigeants tortionnaires du régime sans protéines porcines.

Des gens sensés auraient adopté un profil bas, et les rescapés du grand nettoyage auraient essayé de négocier une porte de sortie, sinon leur survie. Mais le fanatisme obstrue leurs artères cervicales et loin de temporiser, le suc putride de la haine a dégouliné de leurs dents gâtées jusque sur leur barbes touffues et leurs accoutrements ridicules de mamamouchis.

Comme si quelques missiles réussissant à percer les boucliers de défense d’Israël allaient inverser le cours des événements. Et convaincre Netanyahou de renoncer à en finir avec la menace nucléaire des théocrates allumés.

Les Iraniens sont dans la situation des nazis vaincus qui espéraient, jusqu’au dernier moment, reprendre la main avec les V1 et V2. Trop peu. Trop tard. Encore heureux. À cette différence près que les Boches, rendons-leur cette justice, furent des innovateurs coruscants. Quand les mahométans ne sont que de pâles imitateurs. Des copistes bas de gamme. Qui ont beaucoup de gueule mais peu de cervelle. N’en déplaise au Merluchon aigri qui leur attribue l’invention des mathématiques. Pompées sur les érudits sanskrits d’il y a 4000 ans.

Habitués à terroriser leur population civile, les femmes et les enfants d’abord comme dans tout naufrage, les forcenés fanatiques croient-ils vraiment qu’en lançant les dernières miettes de leur arsenal détruit à 85 %, ils vont impressionner l’État hébreu et intimider les Américains ? Ou ces desperados sont-ils motivés par la quête du paradis d’Allah avec ses 72 salopes à la chatte en feu ? Comme promis par Mein Korampf.

Le site nucléaire de Fordo, à 180 kilomètres de Téhéran, était réputé indestructible. Comme l’étaient les canons de Navarone et le mur de l’Atlantique

Les règles de la guerre sont simples. Comme sur un ring de MMA, le gagnant est celui qui frappe le premier, par surprise, le plus vite et le plus fort. Nos chochottes émasculées poussent des petits cris de terreur dans leurs ministères parfumés à l’eau de rose en entendant ces horreurs. Mais, fort heureusement, il y a encore en Israël et en Amérique des hommes et des femmes qui savent se battre.

On ne peut pas laisser le régime des ayatollahs fous produire de l’uranium 235 chargé à 90 %, le seuil nécessaire pour la bombe A. Or, d’après les experts de l’AIEA qui ont analysé des déchets par spectrographie, les Iraniens n’en étaient pas loin, autour de 83 % pour certains échantillons.

Est-ce pour cela que les hiérarques de la dictature islamiste couinent comme des gorets qu’on mène à l’abattoir qu’ils ne renoncent pas à leurs projets, que leur programme nucléaire n’est que momentanément interrompu, prêt à être relancé. Sous-entendu quand ces imbéciles de Roumis baisseront leur garde, comme ils l’ont toujours fait. Mais là, avec le somptueux Donald, ils sont tombés sur un os.

J’y vais ou j’y vais pas ? Sa procrastination feinte comblait d’aise les barbus aux noirs desseins comme leurs accoutrements, qui devaient se dire qu’il n’oserait jamais. Ou qu’il hésitait. Alors qu’on sait maintenant que sa décision était prise, avant la première frappe israélienne, et qu’il attendait le moment propice pour se joindre aux festivités.

La solution la plus simple, finalement adoptée, était de larguer plusieurs bombes GBU-57 « bunker buster » délivrées que par des bombardiers furtifs B-2 protégés par des F-35. Afin d’ouvrir le passage jusqu’au cœur de la cible, pour anéantir ensuite les athanors du Diable. Avec quelques frappes secondaires de missiles sur des installations moins bien protégées et des cibles militaires à neutraliser par précaution.

Il y avait déjà eu un exercice d’entraînement réussi lorsque le prédécesseur de Trump qui n’avait pourtant rien d’un foudre de guerre n’avait pas hésité à faire délivrer des GBU-57 le 6 octobre 2024, lors d’un raid des B-2 contre cinq sites de stockage souterrains au Yémen. Éliminant la quasi-totalité des missiles performants des Houthis, qui n’étaient enterrés qu’à vingt mètres seulement.

Un cessez-le-feu avait été conclu peu après, épargnant les navires stars and stipes en mer Rouge. Que les généraux jobards paradant sur les écrans de nos médias islamo-gauchistes, avaient attribué à la sagesse et la volonté de paix des islamistes « modérés ». Quelle bande de cons galonnés !

Mais il y avait, et il y a toujours d’autres options si les ayatollahs essaient de se venger

Les USA disposent de plusieurs bases stratégiques dans la région, en particulier Ali Salem au Koweït, Al-Udeid au Qatar, Al Dahfra aux Émirats arabes unis. Même si la « rue arabe » est insaisissable et fluctuante, ces petits pays qui ont une peur bleue des Perses et détestent le chi’isme ne demandent qu’à aider.

En attendant une reprise probable des hostilités jusqu’au dernier Iranien, du moins ceux qui ne sont pas planqués dans des bunkers enterrés, les services de Tsahal ne chôment pas. Certains sites de lancement de missiles, très bien protégés par le relief ou enfouis dans des souterrains, ont échappé à la chasse de Tsahal. Mais on sait où ils se trouvent. Une attaque de ces sites par un commando des forces spéciales n’est pas à exclure.

Le plan pourrait se dérouler en plusieurs phases dont la première est en cours, à savoir éliminer les bases de lancement de vecteurs sol-sol et sol-air dans le plus large rayon possible. Ceci afin de préparer la suite du programme : faire descendre sur zone des hélicoptères chargés de militaires capables d’investir les sites et de les détruire.

Il y a des précédents et on peut remettre ça

Cette option peut paraître risquée mais elle a déjà été couronnée de succès en Syrie dans une sorte de répétition générale. Des avions de chasse et des drones menant des frappes pour neutraliser la protection du site. Quatre hélicoptères qui ont ensuite déposé une centaine hommes au sol. Une partie sécurisant les abords, les autres investissant les installations ennemies pour y déposer des explosifs. Déclenchés lorsque les forces de Tsahal sont remontées dans les hélicos.

Un scénario qui pourrait aussi servir pour éliminer le Guide suprême et ses derniers satrapes encore capables de nuire.

C’est faisable puisque cela a déjà été fait en septembre 2024 en Syrie pour détruire à Masyaf une usine de fabrication de missiles destinés au Hezbollah. En Iran, il faudra bien évidemment changer d’échelle. Mais le principe semble valable au plan opérationnel. En tout cas, il aurait la faveur de Netanyahou si les Iraniens continuent à se venger sur des civils.

Et si déployer des hélicoptères était trop aléatoire, Israël pourrait larguer de nuit, depuis des avions à très haute altitude, des Shaldag, unités d’élite des forces spéciales de l’armée de l’air, spécialisées dans ce qu’on appelle pudiquement la guerre irrégulière. Comprendre toutes les opérations clandestines de renseignement, d’infiltration, de destruction du potentiel et d’élimination des chefs ennemis.

Les unités Shaldag ont été formées en 1974, après la guerre du Kippour quand, pour la première fois de son histoire, Israël s’était laissé surprendre. À la différence du Mossad qui prépare, noyé dans la population, des coups fumants, les Shaldag agissent généralement en uniforme et peuvent occuper le terrain assez longtemps pour neutraliser définitivement la menace.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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