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La guerre n’est pas une mauvaise affaire pour qui en tire profit.
Dans les années 1950/1960, l’objectif des puissances dominantes était d’empêcher les pays du Moyen-Orient d’acquérir l’arme nucléaire.
Tout, mais pas ça ! Sauf pour Israël !
Il s’agissait alors d’une initiative soviétique visant à prévenir ce qui est arrivé par la suite. Dans le concept soviétique, cette région du monde, riche en matières dites fossiles et par sa position géographique, devait rester (ou devenir, la Seconde Guerre mondiale étant passée par là) une zone commerciale où les différents partenaires échangeraient produits et culture dans la bonne entente. Cela fut le cas pendant un temps.
Sous le règne du Shah d’Iran, par exemple, les relations entre l’ancien empire perse et le tout jeune État d’Israël étaient de bons voisinages. On commerçait et on entretenait des relations cordiales. Le Shah acquis à la cause occidentale n’était pas farouche au point d’aller faire le guérillero dans les monts Zagros !
Les discussions lancées entre Russes et Américains sur le sujet furent rapidement abandonnées sous la pression de l’État d’Israël, qui, sans en avoir l’air, avait d’autres projets en tête.
L’idée d’un « grand Israël » a toujours été l’obsession des dirigeants sionistes, habités par l’arrivée d’un Messie sur terre quand le monde serait à feu et à sang, afin de le sauver de lui-même et d’enfin cimenter le socle du peuple élu à la place qui lui revient, tout en haut de la pyramide humaine !
Cela paraît cinglé, mais chez eux ça ne rit pas avec la tambouille messianique ! Et qui de mieux pour accomplir cette « prophétie » que les théoriciens de cette idée démente ?
Ce que nous n’obtiendrons jamais par la diplomatie, nous l’aurons par le feu !
L’arrivée de la république islamique et de l’islam politique a bouleversé tout, contrariant les maîtres et donnant à Israël le moyen de se débarrasser des règles. D’aller porter le fer où bon lui semble dans son pré carré, avec la bénédiction des États-Unis, toujours prêt à jouer les John Wayne pour le compte des sionistes !
Il faut se débarrasser de l’idée que l’Iran était ou demeure un agresseur potentiel et Israël le gentil gendarme « démocratique » nullement guidé par l’ambition, comme la propagande le déclame chez les alliés de la Grande-Bretagne, pour des raisons historiques évidentes ; et en France, colonisée par l’État d’Israël, où bientôt toute critique à son égard pourrait être passible, au mieux, d’une garde à vue !
L’islam politique, héritier de la Perse antique, a redistribué les cartes et a été utilisé comme levier pour pousser Saddam Hussein à faire une guerre par procuration contre ses propres intérêts. Cette guerre de huit ans a coûté 1 200 000 morts et laissé l’Irak exsangue, un fruit mûr, bon à cueillir.
Ces faits expliquent la manipulation actuelle concernant un Iran « belliqueux », muni de l’arme nucléaire (faux), avec un risque grave de troisième guerre mondiale, ce qui arrange Israël, les marchands de canons et l’État profond, celui qu’on ne voit pas, mais qui nous a à l’œil !
La question est : par quel moyen de pression, Donald Trump, opposé à Israël et à l’état profond, a baissé, ou feint de baisser pavillon sur l’Iran, s’interroge à bon escient Candace Owen.
Comme on le pense fortement, le sionisme possède l’argent, les réseaux d’influence, les caméras cachées et l’arme la plus redoutable entre toutes : le chantage.
Tant que cela durera, aucun président, quelles que soient les promesses et la volonté, ne pourra arrêter la machine infernale.
Sous l’Casque d’Erby
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