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AFP
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La publication d’un rapport de l’Unité anticorruption de la Garde civile vise des fidèles collaborateurs de Pedro Sanchez dont l’ancien Ministre des Transports et le numéro 3 du Parti socialiste ouvrier espagnol, lequel aurait été à l’origine du réseau de pots-de-vin liés à l’attribution de contrats publics. C’est toute la crédibilité du leader de la gauche qui est atteinte, mettant en péril la législature.
Serait-ce le scandale de trop ? Celui qui mettrait fin à sept ans de pouvoir socialiste à la tête de l’Espagne. Alors que le rapport de l’UCO, l’Unité anticorruption de la Garde Civile, a eu l’effet d’un cataclysme au sein du monde politique, révélant le détournement par des hauts membres du parti socialiste de centaines de millions d’euros en échange de contrats publics, Pedro Sanchez a choisi de ne pas capituler. Quelques jours après avoir fait son mea culpa, en demandant à cinq reprises pardon aux citoyens et militants pour avoir donné sa confiance à des collaborateurs véreux, le leader socialiste a réitéré sa volonté d’aller jusqu’au bout de son mandat en août 2027. Certes, la confiance des alliés parlementaires et ceux de la coalition a été quelque peu ébranlée, mais Pedro Sanchez s’est engagé personnellement à s’entretenir dans les jours qui viennent avec chacun des dirigeants pour renouer le pacte de la législature.