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Publié le 21 mai 2025 à 05:31. / Modifié le 21 mai 2025 à 06:14. 3 min. de lecture
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Le Kosovo est à l’arrêt. Depuis les élections du 9 février, il n’a plus de gouvernement, et une dix-huitième tentative de constituer le parlement a encore échoué lundi. Vetëvendosje, le mouvement de gauche souverainiste du premier ministre sortant Albin Kurti, est en effet arrivé largement en tête de ce scrutin, avec 42% des voix et 48 des 120 sièges du parlement. Il n’arrive donc pas à franchir le seuil de la majorité, même avec le soutien du seul député serbe proche de Vetëvendosje et de neuf élus des «autres minorités» – dix sièges sont réservés dans l’Assemblée aux Serbes, et dix aux autres communautés (Roms, Bosniaques, Turcs, etc.).
Les autres formations albanaises restent hostiles à tout accord de coalition avec Vetëvendosje et refusent même d’élire sa candidate, Albulena Haxhiu, à la présidence du parlement. Albin Kurti, dont le gouvernement gère les affaires courantes, a pris sa plume pour écrire à ces partis que cette présidence devait «représenter l’Assemblée» avec des vice-présidences réservées à l’opposition. Rien n’y a fait.
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