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CHRONIQUE - Chaque semaine, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine la première journée d’un jeune élève dans une école du futur entre refus d’une pédagogie verticale et stage d’autodéconstruction.
9 heures. C’est un grand jour pour Benoît, il entre en sixième à l’école publique de Grenoble. Parvenu dans la bulle de décentration éducative (la salle de classe), il s’installe à côté d’un apprenant avec lequel il a tissé des liens affectifs horizontaux. La référente de cycle (la professeur principale) fait l’appel. Pour rompre avec l’esthétique martiale du rang, de l’ordre, et de l’hitlérisme, le « présent » est remplacé par un bruit spontané (un hurlement, un soupir ou un cri de crapaud) de sorte à laisser s’exprimer l’état de présence intérieur du cognitant. Benoît choisit d’émettre un râle réservé, laissant habiter sa corporalité plurielle. Les élèves ont l’air d’apprécier l’exercice, la référente fait donc l’appel huit ou neuf fois.
10 heures. Benoît sort une trousse ; la professeur le regarde sévèrement. Les stylos et les papiers, associés à une pédagogie verticale, souvent traumatique, et toujours écologiquement irresponsable, n’ont plus leur place, explique-t-elle. À terme…