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PIMENTEL/TF1/SIPA
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« Confessions intimes », « C’est mon choix », « La méthode Cauet »… En tête des audiences dans les années 2000, ces émissions trouvent désormais une seconde jeunesse sur les réseaux sociaux… à leurs dépens. La jeune génération découvre avec effarement ce qui était encore possible à la télé il n’y a pas si longtemps.
« En vrai, je suis choqué !… » Habituellement, chez le jeune version 2025, cette expression souligne avec humour la surprise ou une demi-indignation. Exemple : « Je suis allé à la boulangerie, c’était fermé. Je suis choqué. » Pour recueillir de vraies réactions outrées, nous nous sommes livrés à une expérience de laboratoire : montrer à des membres de la génération Z (nés après 1995) des extraits d’émissions de la télévision française des années 2000 qui rassemblaient alors des millions d’habitués.
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Mais attention, pas n’importe lesquelles. La crème de la crème de la télé-poubelle – traduction littérale de l’anglais « trash TV » –, issue de la privatisation des chaînes lancée à partir de 1986. En gros, une vague exhibo-trash, qui part de « Perdu de vue » (1990, TF1) à la fin de « Confessions intimes » (TF1) en 2014. On a infligé à nos cobayes les seins de Lolo Ferrari et les sujets comme « Après plusieurs années, il comprend que sa compagne n’est pas une femme » ou « Mon couple à trois avec un chien », visibles dans « Tout est possible » (1993-1997, TF1), animée, déjà, par Jean-Marc Morandini.