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Rester sécuritaire sur l’eau pour éviter la noyade

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Depuis le 24 juin, 5 personnes sont mortes au Nouveau-Brunswick d’une noyade. D’après le gestionnaire des programmes de la Société de sauvetage du Nouveau-Brunswick, Grégoire Cormier, le facteur numéro un qui contribue à ces accidents est d’aller sur l’eau sans gilet de sauvetage.

D’après lui, l’année la plus mortelle au cours des 10 dernières années dans les maritimes a fait 33 morts par noyades.

Après l’absence de veste de sauvetage, il pointe du doigt la consommation de substances qui altèrent le jugement, et le fait de nager seul comme principales causes de ces accidents.

Grégoire Cormier devant un micro.

D'après Grégoire Cormier, le fait de ne pas porter de gilet de sauvetage est l'une des causes principales des noyades. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

Il fait aussi appel à la vigilance des parents. D'après un rapport de l’Organisation mondiale de la santé datant de 2024, la noyade est la quatrième cause de décès chez les enfants de 1 à 4 ans, et la troisième pour ceux âgés de 5 à 14 ans.

Une surveillance vigilante, ça veut dire de ne pas être sur votre téléphone cellulaire, de ne pas vous adonner à des activités comme cuire sur le barbecue ou avoir des conversations qui en fait distrait de la surveillance, explique Grégoire Cormier.

Il recommande aussi aux parents de jeunes enfants de garder une distance entre eux et leurs enfants qui n’est pas plus grande qu’une longueur de bras lorsqu’ils sont dans l’eau afin de pouvoir réagir rapidement.

Une noyade, ça arrive extrêmement rapidement et c’est silencieux

Favoriser des endroits surveillés

D’après les statistiques de la Société de sauvetage du Nouveau-Brunswick, moins de 1 % des noyades enregistrées ont lieu dans un endroit qui est surveillé par des sauveteurs. Il recommande donc de bien choisir son lieu de baignade, tout en restant vigilant.

Il faut pas compter uniquement sur les sauveteurs. Les sauveteurs offrent une surveillance additionnelle, mais la surveillance des parents, des gardiens sont toujours de mise, ajoute-t-il.

Depuis l’année dernière, la pénurie de sauveteurs au Nouveau-Brunswick qui avait été aggravée par la pandémie est en train de disparaître, alors que plus de gens s’inscrivent au programme de certification pour devenir sauveteurs.

Cette année à la plage Parlee, le gestionnaire du parc, Michel Mallet, dit avoir reçu plus de CV qu’il avait de postes à combler.

On commence à avoir une rétention des sauveteurs , indique-t-il.

Michel Mallet dans des bureaux devant une enseigne du parc provincial de la plage Parlee.

D'après Michel Mallet, la plage Parlee commence à voir une rétention de ses sauveteurs. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

D’ailleurs, ils ont un club de sauveteurs qui offre une formation jeunesse pour les personnes âgées de 8 à 13 ans en sauvetage.

Les jeunes à partir de 8 ans, après avoir des cours de natations [...] souvent soit qu’ils font de la nage compétitive ou pas. À l’âge de 13 ans ils peuvent commencer à prendre des cours de sauveteurs, mais il y a comme un gap entre l’âge de 8 à 13 ans , explique-t-il.

Des risques différents à la plage

Selon Grégoire Cormier, lorsqu’on est à la plage, on doit s’assurer de prendre en compte les facteurs environnementaux comme les grands vents et les marées pour faire une bonne évaluation des risques.

Tout ce genre de choses là peuvent changer les conditions, fait qu’on peut arriver au début de la journée, tout semble beau, et puis tout d’un coup il y a une tempête qui survient ou la marée augmente, ou les vents vont pousser surtout des embarcations, des objets flottants au large.

Avec les informations de Jules Couturier

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