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Rencontre Trump-Carney : des discussions encourageantes sur les tarifs

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Aujourd’hui

  • 13 h 52

    Le président américain Donald Trump arborant une épinglette combinant les drapeaux des États-Unis et du Canada.

    Le président américain Donald Trump arborant une épinglette combinant les drapeaux des États-Unis et du Canada.

    Photo : Getty Images / Chip Somodevilla

    Le président américain Donald Trump arbore sur son veston une épinglette combinant les drapeaux des États-Unis et du Canada, un signe d'amitié entre les deux pays. Plusieurs membres de sa délégation, dont le secrétaire d'État Marco Rubio et le secrétaire au Trésor Scott Bessent, portent quant à eux une épinglette représentant une feuille d'érable.

    Une porte-parole du bureau du premier ministre indique qu'il s'agit d'une initiative personnelle de la part de la délégation américaine. Les épinglettes n'étaient pas dans le cadeau de bienvenue, affirme Emily Williams.

    Trois hommes debout portant une épinglette représentant la feuille d'érable sur leur veston.

    Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, le secrétaire au Trésor Scott Bessent et l'ambassadeur des États-Unis à Ottawa Pete Hoekstra lors de la rencontre bilatérale entre le président Trump et le premier ministre Mark Carney.

    Photo : Getty Images / AFP/BRENDAN SMIALOWSKI

  • 13 h 24

    Des sommets avec Trump souvent tendus (et des airs de déjà-vu)

    Donald Trump a mis en garde le reste de la planète : si des pays décidaient de prendre des mesures de rétorsion commerciale envers les États-Unis dans le dossier des tarifs douaniers, ils commettraient une erreur. [...] Les États-Unis ont été exploités pendant des décennies, on ne peut pas continuer ainsi, a-t-il répété pour une énième fois. [...] Le président a réitéré qu'il souhaitait réintégrer la Russie dans le groupe de pays, parce que selon lui, un G8 serait plus pertinent.

    Ces phrases sont tirées d’un de nos articles de… juin 2018, un compte rendu de la conférence de presse qu’il avait donnée avant son départ précipité du dernier sommet du G7 à s’être tenu au Canada.

    Les forums internationaux auxquels il a participé depuis son premier mandat ont souvent été marqués par des tensions, voire des affrontements, et le sommet de Charlevoix n’avait pas fait exception.

    Arrivé en retard et reparti avant les autres dirigeants, il avait désavoué la déclaration commune, auxquels les représentants américains avaient pourtant collaboré étroitement et qu’il avait approuvée.

    L’étincelle : les droits de douane. Le président américain n’avait pas apprécié les critiques du premier ministre canadien de l'époque, Justin Trudeau, sur les droits de douane que son administration avait imposés sur l'acier et l'aluminium canadiens.

    En raison des fausses déclarations de Justin lors de sa conférence de presse et des droits de douane massifs que le Canada impose aux agriculteurs, aux travailleurs et aux entreprises des États-Unis, j'ai demandé à nos représentants américains de ne pas approuver le communiqué, et nous allons envisager des droits de douane sur les automobiles [canadiennes] qui inondent le marché américain, avait-il écrit sur son compte Twitter après son départ.

    Une photo publiée à l'époque par la chancellerie allemande semblait symboliser la position isolationniste du président américain.

    Donald Trump, assis, semble se faire gronder par Angela Merkel, debout devant lui.

    Cette photo, publiée sur Twitter en 2018 par la chancellerie allemande, montre Angela Merkel face à Donald Trump en compagnie notamment du premier ministre japonais Shinzo Abe, bras croisés, lors du sommet de Charlevoix.

    Photo : tirée du compte Twitter @RegSprecher

    Sept ans plus tard, le contexte du sommet du G7 présente des similitudes marquées alors que le président américain a déclaré une guerre commerciale de plus grande envergure à la planète et qu’il plaide toujours pour le retour de la Russie, exclue du groupe après son annexion de la Crimée, en 2014, dans le club des grandes économies.

    Le défi des dirigeants des pays du G7, surtout l'hôte du sommet Mark Carney, est de s'attaquer aux grands enjeux mondiaux « tout en évitant d’offusquer un président américain aux sautes d’humeur proverbiales », explique le journaliste Christian Noël.

  • 13 h 14

    La nostalgie n’est pas une stratégie, a dit Carney à l’ouverture du G7

    Le premier ministre Mark Carney a ouvert le sommet du G7 en rappelant que cette réunion intervient alors que le monde se trouve à un tournant important dans l’histoire.

    Le monde est plus dangereux et instable, a-t-il dit autour d’une table ronde réunissant les leaders des autres pays membres du G7. Le commerce mondial et même le renseignement sont en train d'être reprogrammés.

    En tant que membres du G7 nous pouvons façonner le monde de demain, un monde plus juste et plus libre. Mais le G7 doit s’adapter pour arriver à cette fin. La nostalgie n’est pas une stratégie.

    Certains d’entre vous, comme vous, Monsieur le Président [Trump], ont anticipé ces changements et prennent des mesures audacieuses pour y faire face, a encore dit M. Carney.

    Nous savons tous qu’il ne peut y avoir de sécurité sans prospérité économique et qu’il ne peut y avoir de prospérité sans résilience, a-t-il ajouté. Cette résilience naît de la coopération, notamment celle autour de cette table.

    Le premier ministre dit espérer que les discussions seront ouvertes et franches au cours du sommet.

    Nous ne sommes peut-être pas d’accord sur tous les sujets, mais lorsque nous coopérons ensemble, nous pouvons faire une grande différence pour nos citoyens et pour le monde, a enfin dit M. Carney.

  • 12 h 59

    Une discussion encourageante entre Trump et Carney

    Une source gouvernementale affirme que la rencontre entre MM. Carney et Trump était productive et a servi à faire avancer les discussions qui ont déjà été entamées entre les deux hommes sur les tarifs et sur la relation sécuritaire entre le Canada et les États-Unis. Le ton et la durée des discussions étaient encourageants, selon la même source.

  • 12 h 30

    L'Iran devrait discuter avant qu'il ne soit trop tard, lance Trump


    Le président américain a dit croire que Téhéran souhaitait une désescalade avec Israël, alors que la récente flambée de violence entre les deux pays est entrée dans sa quatrième journée.

    Ils aimeraient discuter, mais ils auraient dû le faire avant. J’avais 60 jours, ils en avaient 60, et le 61e jour, j’ai dit : "Nous n’avons pas d’accord", a-t-il déclaré, faisant allusion aux discussions sur le programme nucléaire iranien.

    Le président américain avait lancé un ultimatum de deux mois pour la conclusion d'une entente.

    Ils doivent trouver un accord, et c’est douloureux pour les deux camps, mais je peux dire que l’Iran ne gagne pas cette guerre, et ils devraient négocier, ils devraient le faire immédiatement, avant qu’il ne soit trop tard, a-t-il ajouté.

    Cette escalade s'impose comme priorité du sommet du G7, rapporte ma collègue Rania Massoud.

  • 12 h 24

    La rencontre bilatérale entre Mark Carney et Donald Trump vient de se conclure.

    Le ministre LeBlanc qui se trouvait dans cette réunion devrait parler aux médias sous peu, selon le bureau du premier ministre.

    Au total, la rencontre bilatérale, y compris le tête-à-tête, a duré 70 minutes.

  • 12 h 17

    « Nous allons voir si nous pouvons régler la question [tarifaire] aujourd’hui », dit Trump

    Interrogé sur les raisons du blocage d'une éventuelle entente relative aux droits de douane entre le Canada et les États-Unis, Donald Trump a indiqué que la question tarifaire était au menu.

    Ce n'est pas tant le fait que ça bloque, a-t-il répondu. Nous avons des concepts différents. J'ai un concept de tarifs. Mark a un concept différent, que certaines personnes aiment bien.

    Nous allons voir si nous pouvons régler la question aujourd’hui, a-t-il poursuivi. Je suis une personne qui aime les tarifs douaniers, j'ai toujours aimé les tarifs douaniers, a ajouté celui qui a déjà présenté le mot anglais tariff comme l'un de ses mots préférés. C'est simple, c'est facile, c'est précis, ça va rapidement. Je pense que Mark a une idée plus complexe, mais tout de même très bonne. Nous allons regarder les deux et voir si nous pouvons arriver à quelque chose.

    Exclu des droits de de douane erronément appelés réciproques imposés à la quasi-totalité de la planète en avril, le Canada a été, un mois plus tôt, l'un des premiers pays frappés par le bâton tarifaire de Donald Trump. Dans ce cas précis, il avait justifié les tarifs douaniers au nom de la lutte contre le fentanyl, un motif officiel vu par plusieurs comme un prétexte.

    Le Canada est aussi particulièrement touché par les droits de douane sectoriels sur l'acier et l'aluminium, dont il est le principal exportateur sur le marché américain, et ceux visant les véhicules étrangers, son industrie automobile était étroitement imbriquée avec celle des États-Unis.

    Donald Trump a souvent martelé que le Canada, l'un des trois principaux partenaires commerciaux des États-Unis, pourrait éviter ses droits de douane en devenant le 51e État américain, un discours tenu principalement lorsque Justin Trudeau était premier ministre.

  • 12 h 01

    Le G7 n’est rien sans le leadership des États-Unis, dit Carney

    Devant les journalistes à Kananaskis, le premier ministre Mark Carney a souhaité bonne fête au président américain, qui a célébré son 79e anniversaire en grande pompe samedi.

    Il a aussi assuré que le sommet du G7, qui fête quant à lui son 50e anniversaire, n’est rien sans le leadership des États-Unis et votre propre leadership.

    M. Carney a dit qu’il sera question de plusieurs sujets lors de ce sommet, dont des enjeux en lien avec la géopolitique, l’économie, la technologie.

    Nous avons développé une très bonne relation, a répondu M. Trump. Nous allons notamment discuter de commerce.

  • 11 h 45

    L'exclusion de la Russie du G8 a été une « grande erreur », dit Trump

    Prenant la parole aux côtés du premier ministre canadien, Mark Carney, le président américain a commencé en mettant de l'avant un thème qui lui est cher.

    Donald Trump, partisan d'un G8 avec la Russie, a réitéré que le pays de Vladimir Poutine n'aurait pas dû en être exclu. La guerre en Ukraine n'aurait pas eu lieu si la Russie en avait fait partie, a-t-il martelé.

    Le président russe, Vladimir Poutine, n'est pas heureux [de cette situation] et je suis d'accord avec lui, a-t-il dit.

    Il a blâmé l'ancien premier ministre canadien Justin Trudeau et son premier prédécesseur démocrate pour la décision.

    Le G7 était autrefois le G8. Barack Obama et un certain Trudeau ne voulaient pas que la Russie fasse partie du G8.

    La Russie avait en fait été exclue du groupe après son annexion de la Crimée, en 2014, avant l'entrée en scène de Justin Trudeau, arrivé au pouvoir en 2015. C'est le conservateur Stephen Harper qui était alors premier ministre.

  • 11 h 35

    Donald Trump écoute Mark Carney pendant une rencontre bilatérale lors du Sommet du G7.

    Le président américain Donald Trump rencontre le premier ministre canadien Mark Carney lors du Sommet du G7 à Kananaskis, en Alberta, le 16 juin 2025.

    Photo : Reuters / Kevin Lamarque

    La rencontre en tête-à-tête entre MM. Trump et Carney aura duré 20 minutes.

    Les délégations des deux pays viennent de rejoindre les dirigeants pour la réunion bilatérale élargie. Une source au sein de la délégation canadienne a affirmé à Radio-Canada que les discussions entre les deux dirigeants sont bonnes.

    Avec des informations de Louis Blouin.

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