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Dix après le référendum qui a fait trembler l'Europe, « Marianne » a pu s'entretenir avec Zoe Konstantopoulou, qui, à l'époque, était Présidente de la Vouli, le Parlement grec. Elle est aujourd'hui l'une des principales figures de l'opposition du pays.
Rappel des faits : le 5 juillet 2015, le peuple grec était appelé par référendum à se prononcer sur un nouveau mémorandum, un accord de prêt avec ses créanciers en échange de mesures d'austérité à appliquer comme deux avaient été signés en 2010 et en 2012. À 61,31 %, les Grecs rejettent la proposition. Mais une semaine plus tard, au bord du défaut de paiement, le gouvernement dirigé par Alexis Tsipras, leader de Syriza, le parti de la gauche, allié au parti souverainiste Les Grecs indépendants, signe un troisième texte. Syriza se scinde. Zoe Konstantopoulou, présidente de la Vouli (le Parlement grec) depuis janvier 2015, dénonce immédiatement cette signature.
Quelques mois plus tard, elle fonde son parti, Trajet de liberté, qui arrive aujourd'hui en troisième position dans les intentions de vote (donné entre 10 % et 12 %), loin devant ses anciens alliés de Syriza ou des partis issus des différentes scissions. Celle qui, présidente de la Vouli, avait mis en place une commission d'audit de la dette accorde à Marianne un entretien exclusif dans lequel elle analyse le « moment 2015 », comme la situation actuelle du pays.