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Dix années de prison ? Une balle dans la tête ? Un suicide dans sa baignoire ? Le massacre de sa famille ?
Dimanche 21 heures, après dépouillement de 30 % des voix, George Simion est en tête. Logique. L’analyse des motivations des électeurs du premier tour annonce une majorité de 60 % en sa faveur. Mais les sondages de sortie des urnes donnent la victoire à son ennemi. Le coup classique. Annoncer la victoire du perdant dès la fermeture des bureaux, pour se donner le temps de trafiquer les chiffres.
Moins d’une heure après avoir dénoncé la fraude, Simion admet sa défaite. Sans demander un recompte. Sans présenter un recours. Des images vite escamotées montrent un homme aux abois. Fébrile. Inquiet. Traqué. Regardant en tous sens comme si un sniper le guettait, au cas il n’aurait pas obtempéré.
De nombreux euro-mondialistes sont des assassins capables de tout. Des psychopathes cocaïnomanes qui emploient parfois des djihadistes comme tueurs à gages.
Rien qu’au XXIe siècle en Occident, ils ont liquidé en mars 2002 le ministre italien du Travail et en mai le Hollandais Pim Fortuyn, 5 jours avant les élections. En mars 2003, le Premier ministre serbe et en septembre, la ministre suédoise du Travail. Et en août 2018, le Président de la république de Donetsk. Puis en octobre 2021, David Amess, leader du Brexit avec Farage.
Leur année faste a été 2024 : en mars, ils ont plombé Fico, Président de Slovaquie, sauvé de justesse. En juin, le convoi de sécurité de Orban a été percuté en Allemagne. Et en juillet, ils ont raté Trump d’un centimètre. Puis ils ont remis ça en septembre. Tandis qu’il y a quelques jours, ils ont tenté d’attirer Poutine dans un piège à Istanbul.
Les points communs à tous ces attentats ? Les cibles étaient des dirigeants qui refusaient de se laisser dicter leur politique par les crapules du Nouvel Ordre Mondial. Et les tueurs présumés, des déséquilibrés ou des gens d’extrême droite. Quel manque d’imagination !
Le bourrage des crânes va avec le bourrage des urnes
Faire voter par anticipation et sans contrôle plus d’un million d’électeurs vivant à l’étranger était plus qu’un aveu. Mais comme dans n’importe quelle république bananière d’Amérique latine ou dictature militaire africaine, la fraude fait partie des institutions de l’UE. Elle est revendiquée par la caste politico-médiatique comme une action légitime pour « sauver l’Europe ». Comprendre leurs prébendes et les avantages du népotisme.
Prudent et réaliste mais ça n’a pas suffi
Échaudé par les tripatouillages de l’Eurocrature, le « Trump roumain » avait annoncé sa décision de fermer ses comptes sur les réseaux sociaux à la veille du second tour. Et appelé ses partisans à faire de même. Obligeant les autocrates de Bruxelles à trouver une autre combine pour truander l’élection. Ils sont allés au plus simple. Sans fioritures.
Afin de ne pas exciter les chacals enragés de Bruxelles, Paris, Berlin, Londres et Varsovie, Simion s’était défini sur « Politico » comme euroréaliste plutôt que eurosceptique. Ajoutant qu’il considérait le marché unique de l’UE susceptible de devenir un facteur de prospérité pour les Roumains. Pourquoi pas, tant qu’on reste dans le cadre d’échanges commerciaux équilibrés ? Ça n’a pas suffi. Les efforts pour amadouer l’ennemi échouent toujours. N’est-ce pas, Marine ?
Peut-être pour renforcer l’appui moral de l’Amérique, acquis auprès du vice-président Vance, Simion a présenté son alliance avec le mouvement MAGA comme la garantie du maintien des troupes américaines en Roumanie. Et tout particulièrement le développement de la base US OTAN de Constanta, dans le Sud-Est roumain, sur la côte de la mer Noire. Mais son adversaire étant aussi d’accord, ça n’a guère compté.
En filigrane, la problématique unioniste
Depuis trois semaines, des interventions publiques du paltoquet et de son roquet halluciné Barrot exposaient aux Roumains, sur le ton de la menace, les malheurs qui les attendaient s’ils votaient Simion. Les deux compères sont allés jusqu’à mettre leurs tarins enfarinés en Moldavie, dont les habitants, frères ennemis des Roumains, possèdent pour 20 % d’entre eux la double nationalité et donc le droit de vote.
Un appoint précieux. Facile à magouiller. On a eu un aperçu des pratiques locales lors de la présidentielle moldave de 2024, couplée à un référendum sur l’UE. Les résultats ont été inversés 24 heures après la fermeture des bureaux, grâce à des votes de l’étranger par correspondance.
L’unionisme pourrait troubler leur jeu de bonneteau. Le rattachement à la Roumanie de territoires ukrainiens et moldaves avec une population roumaine fait partie des ambitions des patriotes, murmurées à demi-mots. Et comme la Hongrie et la Pologne guignent aussi des terres dont ces pays furent dépouillés après WW2, l’implosion de l’Ukraine pourrait être le point de rupture de l’Eurocrature.
Désarroi pour les crapules de Bruxelles
Ces satrapes illégitimes craignaient un front commun de la Roumanie, de la Hongrie et de la Slovaquie. Pour limiter les diktats de l’Eurocrature. Et entraver son soutien à l’Ukraine. Au moment où ces despotes annoncent que l’UE entend renforcer sa pression sur la Russie.
Comme Viktor Orban et Robert Fico, le leader du parti nationaliste roumain était opposé aux livraisons d’armes à Kiev et plaidait pour un règlement réaliste du conflit, rapporté à la ligne de front. Soulignant que l’aide militaire et financière aux corrompus de Kiev est désavantageuse pour leurs pays, puisqu’ils n’obtiennent rien en échange et ne seront jamais remboursés.
Si la Roumanie avait rejoint la Hongrie et la Slovaquie dans un trio, qui aurait pu évoluer en quatuor avec Karol Nawrocki en Pologne, cela aurait été un coup dur pour l’Eurocrature. Entravée dans ses ingérences dans les politiques intérieures des États membres pour enrayer la résurgence des souverainetés nationales.
Fico a déclaré en mars que son pays s’était opposé à plusieurs reprises à la livraison d’armes à Kiev et à son adhésion à l’Otan. Pour sa part, Orban a assuré qu’il refuserait l’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Bien que Bruxelles s’apprête à accueillir Kiev dans le gang d’ici 2030, le dernier mot devrait appartenir à Budapest. Puisqu’il faut l’unanimité. À moins de changer les règles du jeu en cours de partie. Ils en sont bien capables.
Macronescu étrillé comme une rossinante scrofuleuse
« Mon message est clair : Bas les pattes ! Vous n’êtes pas l’empereur de l’Europe ». Georges Simion en visite à Paris vendredi n’a pas pris des gants pour remettre le paltoquet de l’Élysée à sa juste place. Dénonçant ses tendances dictatoriales et son agitation frénétique.
« Vous êtes détesté par le peuple français, et vous essayez de compenser ce rejet de votre personne et de vos manigances en vous immisçant dans nos élections. Fichez nous la paix ! ».
Il faut dire que Macronescu et ses complices n’ont pas mégoté sur les ingérences dans la politique intérieure roumaine. D’abord la visite impromptu de l’ambassadeur de France et de la pétasse Kaja Kallas au tribunal constitutionnel de Bucarest, deux heures avant qu’il annule l’élection de 2024 et disqualifie son vainqueur. Ensuite les aveux de la bécasse Valérie Hayer reconnaissant que la France intervenait dans les élections d’un État souverain. Enfin les pressions sur le fondateur de Telegram, tout juste libéré après son arrestation arbitraire à Paris.
Quand les élections sont truquées à ce point, et qu’on n’a pas un leader de la trempe de Trump pour renverser la table, il ne reste plus qu’à s’écraser. Ou à faire la révolution. Les Roumains ont su s’y prendre en décembre 1989. Mais il faut l’appui de l’armée. L’auraient-ils encore ?
Christian Navis