NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway

Hans Lucas via AFP
Article abonné
Paul, 57 ans, est enseignant dans un lycée professionnel à Colmar (Alsace). De l'inflation galopante depuis la crise du Covid aux conséquences de son divorce sur son niveau de vie, il raconte à « Marianne » les stratégies qu'il a mis en place pour maîtriser son budget.
Je suis enseignant en construction mécanique et dessins industriels dans le secondaire, en lycée professionnel. Je gagne 3 300 euros net par mois. Mon père était cadre dans la chimie et ma mère était femme au foyer, elle s’occupait de ses trois enfants. On arrivait à partir en vacances tous les ans l’hiver et l’été. Mes parents avaient chacun deux voitures, on ne manquait de rien. Mais on ne faisait pas non plus de dépenses inutiles.
« Quand on divorce, on s'appauvrit »
Avant, j'étais marié sous le régime de la communauté. Mais j'ai divorcé. Et quand on divorce, on s’appauvrit. On se retrouve à payer un loyer et à assumer toutes les charges qui vont avec. Je paie 1 000 € de loyer pour un 110 m2 dans un vieil immeuble qui n'est pas isolé. Une vraie passoire énergétique. On a diminué la température sur le thermostat, avant, on était entre 19,5 et 20 degrés. Maintenant, on est à 19. Finalement, ça ne fait pas gagner grand-chose.