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Après 642 jours de guerre, contre tous les proxys de l’Iran et autres ennemis surgis de toutes parts, l’opération israélienne « Le lever du lion » décidée ce vendredi 13, en Iran, devrait changer le monde en douceur et profondeur… Tsoin, Tsoin !

Les Houthis du Yémen, (ou ce qu’il en reste), proxy de l’Iran, annoncent hier matin, vouloir, faire la guerre à Israël, aux côtés de l’Iran. Encore un nouveau front de haine, dont le monde s’en fout…

Après la guerre en Ukraine, après celle du Moyen-Orient, on a vu qu’une autre guerre de type orwellienne pouvait surgir, quelque part dans le monde, à tous moments depuis que la guerre c’est la paix dans la novlangue d’Orwell de 1984. Dans ce cadre, les régions, les états, après le 7 octobre, tendent à s’embraser tel un immense feu de forêt canadien, tant la détermination des ennemis, qui ont décidé la fin d’Israël et de l’Occident, est grande.

La paix est un leurre, à vrai dire, c’est une accélération de la guerre à laquelle l’Occident assiste en état de sidération, figé par la peur et soumis aux mensonges perpétuels des politiques. Toute l’histoire de l’humanité est parsemée de guerre fratricides, et à toutes les époques. Personne n’y peut rien ! A défaut de subir ces guerres, encore et toujours en état d’impuissance, de fatalité ou pire de soumission.

Dans ce contexte de volonté acharnée d’anéantissement d’Israël, par une coalition de barbares islamiques, en djihad contre les kouffars et les impies, l’Occident parle beaucoup, s’agite tel un moulin à vent, promet de faire tout et rien en même temps, mais en réalité fait le mort, et stupidement regarde le doigt quand le sage lui montre la lune.

Cet Occident, laisse faire le sale boulot à Israël, mais en cas de victoire de l’unique démocratie civilisationnelle, du Moyen-orient, on le verra prêt à tirer tous les bénéfices engendrés par la chute du régime obscurantiste des mollahs enturbannés. La fin possible de cette dictature obscurantiste verra le retour de la « Monarchie de la famille Pahlavi » d’avant les années 79 en Iran, laquelle en lieu et place, pourrait selon la volonté du peuple installer, même provisoirement, au pouvoir : le prince Reza Pahlavi, dernier héritier du Shah.

La chute de l’enturbanné de service, tyran iranien : l’ayatollah Ali Khamenei, attendue et vivement souhaitée par beaucoup de monde, rappellera celle de Sadam Hussein en Irak, (contre lequel, une coalition internationale s’est vite constituée pour empêcher, les prix du pétrole brut, de s’envoler, mais aussi afin de protéger le pactole et les intérêts des monarchies pétrolières, contre les barbares chiites).

Ajoutons à cette spirale infernale, la chute récente et très rapide du dictateur syrien Bachar-el-Assad par un ancien djihadiste, devenu président à la place du dictateur, mais reçu en grandes pompes, (et non à coups de pompes), par Macron à l’Élysée. Allons, ne soyons pas trop critique sur le nouveau régime syrien, depuis qu’Ahmed-al-Charaa, autorise les avions israéliens à survoler son espace aérien, pour bombarder les sites nucléaires d’Iran. La Jordanie n’autorisant aucun survol des avions israéliens. Voilà un prochain voisin dissuadé, intelligent, qui a compris tout le bénéfice que pourrait apporter l’état hébreu au développement économique de son pays, pour le bien-être de son peuple.

Les mollahs iraniens ont toujours réprimé dans le sang, avec une violence inouïe les révolutions pacifiques de contestation de leur peuple. Ce jour est proche où les tyrans ne pourront plus empêcher le peuple de se révolter par la violence pour renverser le régime obscurantiste et totalitaire qui emprisonne et torture les femmes mal voilées, qui pend les homosexuels, lapide les femmes adultères, et tuent tous les opposants au régime, au rythme d’un(e) mort tous les cinq heures. Il faut y voir une dictature islamiste pire que le nazisme ou le communisme stalinien.

Or, c’est toujours Israël qui fait le sale boulot, malgré que  toutes les guerres génèrent un coût exorbitant, même si ce « travail » est exceptionnel de courage, de savoir-faire et de sacrifices en termes de vies de jeunes soldats. Des centaines de logements ont été détruits par les missiles balistiques lancés, à l’aveugle, depuis l’Iran. Hélas, tous n’ont pas pu être stoppés par le dôme de fer. Voir l’image ci-dessous, d’un quartier de Bat-Yam, banlieue de Tel-Aviv, où les dégâts sont considérables avec un autre immeuble de dix étages complètement détruit. Au bilan de ces destructions, visant essentiellement la population civile, on déplore des centaines de véhicules détruits, des milliers de blessés et plusieurs dizaines de morts. Qui va payer les milliards de shekels pour reconstruire les logements détruits, et qui va proposer des logements temporaires pour les familles, déplacées, touchées par des missiles destructeurs au hasard de cette guerre ?…

Nous rentrons dans un monde destructif, présentant tous les dangers. Un monde devenu imprévisible.

Cependant, toute guerre est à craindre pour ses conséquences irréversibles touchant les vrais honnêtes gens. La guerre augmente inévitablement l’inflation. Elle réduit notre épargne et fait fondre nos économies personnelles jusqu’à diminuer notre pouvoir d’achat. Ces turbulences économiques augmenteront les risques bancaires, et feront grimper le prix de l’or, en dernier refuge. Nul n’y échappera ! Faites l’Amour et pas la Guerre.

Afin de limiter cette situation préjudiciable pour tous les pays occidentaux, Israël, même seul, devra faire vite, très vite, pour éviter une guerre sans fin, coûteuse en termes économiques, en vies humaines, en déstabilisation de la vie familiale, sociale et humaine, existentielle…

Le pire scénario : serait la fermeture du détroit d’Hormuz (ou Ormuz), et de constater alors que tous les pays tels : la Russie, la Chine, le Pakistan pourraient perfidement s’allier pour fournir des armes et des missiles à l’Iran et ses proxys, afin que cette guerre entre Israël et le régime islamique barbare n’en finisse plus. Curieusement, on retrouve le même scénario avec les pays de l’OTAN, qui se sont alliés à l’Ukraine contre la Russie de Poutine.

Qui a intérêt à ne pas mettre fin à cette guerre, à ne pas éveiller les consciences ? Cherchez bien, vous trouverez à qui rapporte le mal et le crime, tous unis contre le bien.

A quand la fin du régime islamique pour la libération du vrai peuple de l’ancienne Perse ?…

Dans l’immédiat, l’Amérique de D.Trump semble ne pas vouloir entrer dans la danse, tant que ses intérêts économiques ne sont pas touchés par l’Iran ou le Yémen. On peut penser qu’il ne se passera rien, tant que la participation à cette  guerre ne lui rapportera qu’une poignée de cacahouètes, comparativement à ce qui pourrait enrichir les USA, une fois que le Canada et le Groenland (et même une partie de l’Ukraine) seront devenus américains (hypothèse).

Dans le cadre de cette guerre imposée à Israël par les états qui ont décidés d’orchestrer sa fin existentielle, un véritable dilemme semble se poser au jeu trouble de D. Trump. Il sait trop bien que s’il entre dans cette guerre disproportionnée, pour combattre l’axe du mal et, défendre le minuscule état d’Israël, il devra sacrifier, ou si vous préférez, se passer du prix Nobel de la Paix.

Ce sacrifice, D. Trump ne semble pas disposer à le faire, tant il espère fortement, entrer son nom dans l’Histoire du « Nobel Peace ». Pour satisfaire son égo, oncle Donald préfèrera-t-il incarner le personnage célèbre d’oncle Picsou de Mickey Mouse, sans se priver du Nobel ? On peut le craindre !…

Autre scénario possible. Suite aux nombreuses éliminations ciblées et réussies contre les tyrans du régime iranien, oncle Donald redevenu oncle Sam, pourrait impliquer les USA dans cette guerre pour accélérer sa fin, en fournissant les bombes perforantes nécessaires à la destruction du nid des rats-tyrans iraniens à 100 m sous terre. Ainsi, il pourrait recueillir tous les honneurs du Monde, d’avoir contribuer dignement à libérer le Moyen-Orient, tout en rendant la démocratie au peuple iranien, en proie à de grandes souffrances morales et physiques, depuis 46 ans.  Le souhaite-t-il ? L’acceptera t-il ? Le peut-il ? Le veut-il ? … Nul ne le sait sauf lui et encore …

Souvenez-vous, tout a un prix. Lorsque l’Amérique nous a libérés en août 1945, si De Gaulle n’avait pas été là, on serait en train de boire du Coca-Cola au lieu d’un bon pinard, et à mâcher du chewing-gum, à la place de déguster un camembert avec une bonne baguette tradition. Comprenez que je préfère la langue de Molière à celle de Shakespeare.

Oncle Donald, sincèrement, de mon point de vue, cette victoire du bien contre le mal, vaudra tous les prix Nobel du Monde. Une chanteuse israélienne a même anticipé une chanson : « Iran bye bye, waï waï ». Est-elle prédictive ?

Patrick Granville.