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Par Régis Arnaud, correspondant à Tokyo
Le 9 juillet 2025 à 15h39
RÉCIT - Ce sport, avec lequel la France entretient un rapport privilégié, a tout le potentiel pour séduire un public étranger. La place traditionnelle qu’y occupent les femmes bride cependant son expansion.
Parlera-t-on de Hakuho à partir de dimanche à l’IG Arena ? Cette nouvelle enceinte sportive de Nagoya (ouest du Japon) accueillera le traditionnel tournoi de sumos de juillet pour son lancement. Un écrin de 17.000 places au confort et à la technologie dernier cri pour ce sport, prometteur pour son audience mondiale, mais qui accueillera ce basho (« tournoi ») dans un contexte très particulier. Le 9 juin, Hakuho, lutteur yokozuna (plus haut rang de la hiérarchie sumo) de légende, au palmarès incomparable (45 tournois victorieux, record absolu) a annoncé en conférence de presse qu’il se consacrera désormais à « faire connaître le sumo dans le monde entier ».
En février 2024, la Fédération japonaise de sumo (JSA), toute-puissante tutelle qui régente la vie des sumotoris (lutteurs) de leur entrée dans l’arène professionnelle à leurs vieux jours, l’avait sanctionné sévèrement pour avoir laissé un de ses protégés harceler un pupille. Depuis, la JSA maintient sa carrière en perpétuel…