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JEANNE MORISSET / BELGA MAG / Belga via AFP
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N’y a-t-il pas une contradiction dans le fait de s’inquiéter de ces hommes qui considèrent les femmes comme des produits de consommation – les incels – tout en dépénalisant la prostitution, comme l’a fait la Belgique ? se demande Nadia Geerts, notre chroniqueuse bruxelloise.
Quand la France éternue, la Belgique se mouche. Et lorsqu’un adolescent de 18 ans est arrêté à Saint-Etienne alors qu’il préparait, semble-t-il, une attaque au couteau contre quatre filles de sa classe, la Belgique s’inquiète : la mouvance « incel » est-elle en passe de franchir la frontière ? Selon le porte-parole de l’Ocam (Organe de coordination et d’analyse de la menace) Kevin Volon, interrogé par le quotidien Le Soir, « en Belgique, le phénomène reste peu visible, mais il nécessite une vigilance accrue : les signaux observables ne reflètent qu’une fraction d’une réalité plus diffuse et difficile à cerner. Nous comptons dans la banque de données commune Terrorisme, Extrémisme, Processus de Radicalisation deux individus qui ressortent spécifiquement de l’idéologie incel, sur un total de 562 personnes. »