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En Espagne, un nouveau projet de loi suscite des protestations massives : les parents qui s’opposent à la transition sexuelle de leurs enfants mineurs pourraient à l’avenir être punis d’une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison. C’est ce que rapporte le magazine d’information The European Conservative en se référant au texte de loi actuel. Les médecins, psychologues ou enseignants qui expriment une « opposition » à de telles mesures doivent également pouvoir être poursuivis pénalement.
Menace de sanction en cas d’« opposition à la transition ».
Le projet prévoit que tout « empêchement ou entrave » à une adaptation médicale du sexe puisse être considéré comme une « violence domestique » ou un « mauvais traitement psychologique ». L’Espagne entre ainsi dans une nouvelle phase de législation idéologique, dans laquelle les soins parentaux sont interprétés comme un comportement criminel s’ils ne correspondent pas aux valeurs souhaitées par l’Etat.
Cette mesure s’inscrit dans une série d’évolutions politiques qui visent à transformer en profondeur l’ordre social. La famille – colonne vertébrale de la culture européenne pendant des siècles – est de plus en plus privée de ses droits, les institutions étatiques revendiquent la souveraineté sur les choix d’identité et de vie des enfants et des jeunes.
L’État contre les parents : le combat culturel s’intensifie
Les critiques parlent d’une attaque autoritaire contre l’autonomie de la famille. Alors que l’Etat se montre parallèlement de plus en plus dépassé par des tâches fondamentales comme l’éducation, la sécurité ou la santé, il revendique désormais la souveraineté d’interprétation sur les questions les plus intimes du développement de l’enfant – contre la volonté des parents. Celui qui suit sa conscience et se place devant son enfant pour le protéger doit s’attendre à une répression.
Il est remarquable que le législateur ne veuille pas punir la discrimination ou la violence – le droit en vigueur couvrirait ces deux cas depuis longtemps – mais qu’il criminalise déjà l’opinion ou l’attitude pédagogique. Il suffit apparemment de vouloir empêcher un enfant de subir des interventions médicales irréversibles et prématurées pour être punissable.
Un agenda de la division
Le projet de loi s’inscrit parfaitement dans un agenda politique qui vise à diviser la société : entre parents et enfants, entre enseignants et familles, entre responsabilité individuelle et tutelle de l’État. L’introduction de telles lois ne vise pas à protéger les enfants, mais à les contrôler idéologiquement.
Avec des termes tels que « État de droit » ou « protection des groupes vulnérables », on crée un climat dans lequel le centre qui pense de manière critique est de plus en plus muselé et criminalisé. Quiconque pose des questions ou pèse le pour et le contre est considéré comme un danger.
Conclusion : la ligne rouge a été franchie.
Ce qui se dessine en Espagne est un signal d’alarme pour toute l’Europe. L’État, qui prétend protéger les enfants, les arrache en fait à leurs parents et les instrumentalise au nom d’une politique identitaire « progressiste ». Si la société accepte cette évolution, l’enjeu dépasse celui d’une simple loi. Il ne s’agit de rien de moins que de la défense du lien naturel entre parents et enfants – et donc de la liberté elle-même.
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