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Le ministre des affaires étrangères néerlandais, Caspar Veldkamp, ex-ambassadeur à Tel-Aviv, a pesé de tout son poids pour que les Vingt-Sept réexaminent l’accord d’association qui les lie à l’Etat hébreu.
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Ce devrait être une discussion générale, mais elle est symbolique : la commission des affaires étrangères de la Seconde Chambre des Pays-Bas devait débattre, mercredi 28 mai, de la situation dans la bande de Gaza avec Martijn Eickhoff, directeur de l’Institut d’études sur les guerres, la Shoah et les génocides. Cette institution est célèbre pour avoir publié une étude sur le massacre de Srebrenica qui fit chuter le gouvernement du social-démocrate Wim Kok, en 2002 : son rapport de 7 000 pages avait conclu à la responsabilité de casques bleus néerlandais chargés de la protection des Musulmans bosniaques de la région, en 1995, et dont 8 000 hommes furent tués par des membres de l’armée de la République serbe de Bosnie.
La réunion de mercredi ne devrait pas déboucher sur un changement de cap radical de la diplomatie des Pays-Bas sur le conflit israélo-palestinien, mais elle confirme une inflexion : la position du royaume, allié traditionnel et inconditionnel d’Israël, est ébranlée par les bombardements israéliens sur l’enclave palestinienne, le blocus imposé par Israël depuis le 2 mars et la situation humanitaire dramatique qui en découle.
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