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Tu voles, violes, tues… ou bien tu aides les voleurs, violeurs, assassins… Tu as des comptes à rendre à la société, tu fais de la prison.
La prison a 2 rôles : empêcher d’autres exactions, meurtres, etc. mais aussi punir en empêchant le condamné de vivre une vie normale, ce qui est censé faire de la prison une punition crainte, et pouvant donc empêcher les malfrats de voler, tuer… par peur de la punition, à savoir la privation de liberté.
Las ! Les défenseurs des droits, les députés (gauchos essentiellement) qui visitent les prisons, les aménagements pour rendre la vie en prison « humaine et supportable » ont tellement dénaturé la peine que la prison est presque un établissement de cure, avec baisodrome offert le week-end, sorties aux matchs, aux expositions, spectacles… et pour assister aux obsèques d’un proche. Ce dernier exemple correspond à l’affaire.
Ismaël Boujti, certes, n’avait pas tué, mais avait caché l’assassin du policier Eric Masson en 2021. Le frère de Boujiti meurt… mais pas dans son lit, apparemment (la violence est-elle génétique ?) Le frère d’Ismaël Boujiti a été tué par balles quelques jours plus tôt devant le snack « Le Cercle », dans le quartier de la Croix des Oiseaux à Avignon. Voilà une famille au-dessus de tout soupçon, bien intégrée…
On ouvre donc les portes de la prison du Pontet à Boujiti (encore un nom qui sent bon la Chance pour la France, n’est-ce pas)… il sort, seul, non accompagné, sans surveillance, censé rentrer le soir sagement… avec le pain et des gâteaux pour les gardiens de prison peut-être ?
Ismaël Boujti, le logeur du meurtrier présumé du policier Eric Masson, en cavale après une permission pour des obsèques.
Ismaël Boujti, détenu au centre pénitentiaire du Pontet, ne s’est pas présenté après une permission de sortie pour des obsèques. Condamné pour complicité dans l’affaire du meurtre d’Éric Masson, il est désormais en fuite.