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Le dimanche 8 juin 2025, une nouvelle provocation s’est produite devant la basilique Notre-Dame-de-Montréal : plusieurs dizaines d’hommes et de femmes, alignés sur des tapis, ont réalisé une prière islamique publique à quelques mètres de l’entrée principale. Une vidéo relayée par Guillaume-E Roy de Rebel News montre la scène en détail : à mi-parcours de la prière, les cloches de la basilique se mettent à sonner à toute volée, couvrant entièrement le chant islamique.
S’agit-il d’un horaire liturgique habituel ou d’une réponse délibérée à cette occupation religieuse? Rien ne le prouve. Mais pour beaucoup, le symbole est fort : une affirmation du patrimoine religieux catholique face à ce que certains considèrent comme une provocation délibérée.
Des manifestations à la provocation
Les prières de rue au Québec sont apparues dans la foulée des manifestations pro-palestiniennes suivant le 7 octobre 2023. Bien qu’initialement perçues comme circonstancielles, elles se multiplient, se désengagent de leur ancrage militant et semblent se normaliser. Déjà observées dans des parcs comme celui d’Ahuntsic-Cartierville lors de l’Aïd, elles franchissent aujourd’hui un cap symbolique en s’installant devant l’église la plus iconique de la métropole.
Church bells in Montreal ring out as a group of Muslims once again gather to pray in front of a church.
Have Christians finally had enough?
Sunday June 8th, 2025
pic.twitter.com/MhCpX1O0gK
Pour plusieurs observateurs, ces manifestations religieuses ostentatoires dans des lieux publics fortement identitaires ne sont pas anodines : elles constituent une appropriation de l’espace collectif et un signal de présence politico-religieuse. L’idée, souvent exprimée dans les forums et les commentaires, est que ces actes constituent une première étape d’une stratégie d’implantation culturelle et religieuse à plus grande échelle.
Une islamisation silencieuse des écoles?
Cette présence croissante ne se limite pas à l’espace public : elle s’invite également dans les écoles. En janvier 2024, La Presse révélait que dans plusieurs écoles de Montréal, les élèves d’origine arabe sont devenus largement majoritaires. À l’école Pierre-Laporte, on recense trois fois plus de jeunes d’origine arabe que de jeunes d’origine québécoise. Des dynamiques similaires se retrouvent à Émile-Legault ou Saint-Exupéry. Un exode des familles québécoises vers les écoles privées accentue ce phénomène de polarisation ethno-culturelle.
Le cas de l’école Bedford en 2024 a soulevé de vives inquiétudes. Un rapport du ministère de l’Éducation a mis en lumière l’influence d’un groupe d’enseignants d’origine maghrébine liés au centre communautaire islamique voisin. Il était question de climat d’intimidation, de prières dans les salles de classe, d’ablutions dans les toilettes publiques et d’une proximité assumée avec les structures communautaires religieuses. Bien que le voile ne soit pas directement imposé, ce cas illustre que la loi sur la laïcité ne suffit pas à enrayer un entrisme religieux plus subtil, fondé sur le pouvoir informel et la pression communautaire.
Des scènes qui rappellent l’Europe
Ce genre de scènes est bien connu des Français, des Belges ou des Britanniques. En France, les prières de rue massives dans certaines banlieues ont provoqué des mesures d’interdiction. À Bruxelles ou à Londres, elles sont tolérées, mais dénoncées par une partie de la population. Dans tous les cas, elles deviennent des marqueurs identitaires et géographiques de communautés religieuses revendicatrices.
On peut difficilement imaginer l’inverse : des centaines de catholiques québécois immigrant à Alger, organisant des processions devant la grande mosquée de la ville sans qu’une réaction ne survienne. Le deux poids, deux mesures est criant.
Un islam revendicatif et territorial
L’islam, dans ses expressions les plus visibles, est une religion de communauté et de territoire. Les prières de rue, comme l’organisation d’activités religieuses dans les institutions publiques, ne sont pas de simples actes de foi : ils sont des gestes de présence. Ils signalent un changement culturel, parfois voulu, parfois subi. Pour de nombreux Québécois laïques ou catholiques, ces actes s’apparentent à une provocation et à une déstabilisation symbolique de leur environnement culturel.
Face à cette dynamique, plusieurs voix, dont celle du Parti Québécois, demandent un durcissement de la Loi 21 pour inclure une interdiction explicite des prières collectives dans les lieux publics. Le débat reste vif, mais la question centrale demeure : est-on encore maître chez soi?
Conclusion
Le Québec a choisi la laïcité pour réguler le vivre-ensemble. Mais face à un islam de plus en plus revendicatif, cette neutralité semble parfois impuissante. La question n’est pas de savoir si les musulmans peuvent vivre leur foi, mais si le Québec peut encore préserver sa culture, ses symboles et ses espaces communs face à une immigration religieuse de masse. Il est temps d’ouvrir les yeux et de nommer les choses. Car les cloches de Notre-Dame ne sonnent peut-être pas pour rien.
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