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Des actions préventives immédiates sont déployées sur les lieux potentiels de transmission à St Brès et Castries.
Par Gil Martin Publié le 9 juil. 2025 à 19h49
« Un cas autochtone de chikungunya a été signalé dans l’Hérault », préviennent la préfecture et l’ARS Occitanie en précisant que l’état de santé de la personne malade n’inspire pas d’inquiétude. « Il s’agit du second cas autochtone de chikungunya signalé dans le département et le troisième dans notre région cette saison. Pour éviter la propagation du virus localement, des actions préventives immédiates sont déployées sur les lieux potentiels de transmission à St Brès et Castries ».
L’oeuvre du moustique tigre
Pour mémoire, l’ARS rappelle que le chikungunya est une maladie virale transmise à l’humain par la piqûre d’un moustique tigre (Aedes albopictus) infecté. « Cette maladie se manifeste le plus souvent par une fièvre d’apparition brutale, souvent accompagnée de douleurs articulaires intenses, et d’éruption cutanée.
Cas autochtone : on parle de cas autochtone lorsqu’une personne contracte la maladie sans avoir séjourné dans une zone où circule activement le virus
Dengue et chikungunya
Selon Santé publique France, plusieurs maladies virales d’origine « exotiques » ont été détectées en Occitanie depuis le 1er mai : soit 60 cas importés de dengue (19 dans l’Hérault) et 81 cas importés de chikungunya (29 dans l’Hérault). Pour ce dernier cas de chikungunya autochtone, « les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuels nouveaux cas et le cas importé à l’origine de la chaîne de transmission », indique l’ARS : « D’autres lieux de transmission potentiels pourraient faire l’objet d’actions de prévention en fonction de l’évolution de l’enquête en cours ».
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