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Procès politique
Publié le 30/06/2025 à 12:00
À quelques heures de la prononciation du verdict, ce mardi 1er juillet, tous ceux qui ont assisté aux deux procès du romancier franco-algérien savent que les charges retenues contre Boualem Sansal ne tiennent pas. Lui assume sa liberté de parole et admet même ce qui peut être considéré comme maladroit par les autres : « Je suis libre d’écrire, de penser ».
« Traitre », « comploteur », « sioniste »… depuis l’incarcération de Boualem Sansal, le 16 novembre 2024, le tribunal médiatique et celui des réseaux sociaux, notamment en Algérie, n’a rien épargné à l’écrivain. Le président Abdelmadjid Tebboune lui-même s’est impliqué dans cette longue litanie de chefs d’accusations publiques en le désignant comme « un homme sans identité », qui « n’a pas connu son père » et en le soupçonnant, publiquement encore, de faire partie d’une « affaire scabreuse visant à mobiliser contre l'Algérie ».
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Par Amar Ouyahia