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Les musulmans continuent à croire à l’islam malgré les mensonges prouvés et répertoriés qui le caractérisent. Pour preuve de ces mensonges sacralisés et vendus à la criée, le plus célèbre chroniqueur de leur religion, à savoir Ibn Jarir Tabari (831-923), un Perse du Tabaristan référencé comme le plus grand historien islamique de tous les temps, a rapporté dans son livre « Histoire des prophètes et des rois » que le premier homme sur terre, Adam avait une taille qui dépassait 900 mètres, au point que sa tête touchait les nuages qui l’avaient rendu chauve.
Le voile fait partie de ce catalogue des mensonges islamiques répétés depuis le VIIIe siècle.
En effet, le voile islamique est une marque d’infériorité de la femme. Il est une survivance de l’époque babylonienne et assyrienne que les exégètes de l’islam du Khorasan ont réécrit à leur avantage dans le coran et la sunna pour distinguer les femmes pures de celles qu’ils considèrent comme impures, habitées par le démon (chaytane).
Le voile est le symbole des femmes libres d’après le récit islamique. Il les sépare des femmes mécréantes et esclaves qui sont considérées comme du gibier sexuel pour les cavaliers d’Allah.
En effet, l’islam sépare les femmes en deux catégories : les nobles musulmanes chastes, libres et pudiques et les mécréantes impudiques (dévergondées), faciles à culbuter.
Et le voile évite aux femmes musulmanes d’être harcelées dans l’espace public.
Allah dit dans la sourate 33 les coalisés verset 59 :
« Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Clément et Miséricordieux. »
Cet ordre d’Allah n’est en fait qu’un plagiat du judaïsme et du christianisme, lui-même puisé dans les récits babyloniens (code d’Hammourabi, 1800 ans av. J.C.) et assyriens (800 av. J.C.).
Il faut savoir que le code d’Hammourabi (roi babylonien ayant régné entre 1792-1750 av. J.C.) comporte environ 282 lois.
Aux temps des Assyriens (en Mésopotamie), soit 8 siècles avant J.C, le voilement des femmes est inscrit dans le code de conduite sous le règne du roi Teglath-Phalasar III (745-727 av. J.C.).
Il était strictement interdit aux prostituées et aux esclaves de se voiler en Mésopotamie.
Cette exigence islamique de voiler la femme a été inscrite le fiqh pour l’invisibiliser et la soustraire de la société, dans le seul but d’en faire un objet sexuel de plaisir et de reproduction.
Le voile islamique est le symbole du patriarcat dans toute sa laideur qui doit logiquement horrifier M. Mélenchon, le combattant infatigable, sans peur et sans reproche, du féminisme et du progressisme.
En effet, le voile islamique est le signe de la soumission de la femme à l’homme.
Pour cacher l’ostracisation de la femme, les musulmans prétendent que le voile signifie sa soumission à Allah. Mais cette marginalisation a été imposée au travers du voilement par les califes abbassides. Car il ne faut pas oublier qu’avant l’avènement de l’islam, la femme arabe et perse était libre et pouvait accéder aux fonctions les plus prestigieuses de la société, tant religieuses que politiques.
Le drame vécu par les femmes en terre d’islam ne semble pas perturber les néo-féministes occidentales qui défendent ce voile au nom de la liberté et du féminisme.
Ces féministes ne sont-elles pas des alliées de M. Mélenchon ?
Comment ces féministes de salon peuvent-elles accepter que les esclaves sexuelles n’aient plus le droit de s’habiller comme elles le souhaitent ?
Il est permis de douter de la sincérité de M. Mélenchon et de ses affidés, car pour eux, les voix islamiques pèseront en 2027.
Et ces voix, M. Mélenchon ne veut les perdre à aucun prix, même s’il doit renoncer à ses convictions de jeunesse, lui le bouffeur certifié des curés.
Jadis, il fut un laïc confirmé et en un mouvement de paupières à la vue des cavaliers d’Allah, il s’est lancé subitement dans une danse islamique endiablée.
Devenu une girouette en politique, il suit désormais la direction des voiles islamiques en scandant : « Plus musulman que moi, tu meurs ! ».
Il semblerait qu’il soit atteint d’un atavisme primaire.
En suivant la tradition islamique à la virgule près, il espère être récompensé en retour, et en contrepartie, il est prêt à accepter que les esclaves sexuelles croyantes doivent prier en cachant uniquement leur corps du nombril aux genoux, avec les seins à l’air libre et sans se couvrir la tête.
Cette impudicité ne le gêne nullement, lui, le défenseur acharné de la veuve et de l’orphelin. Désormais, il faut le croire sur parole.
En effet, l’imam Malik (711-795), fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme, a rapporté ce qui suit : « Un jour, le deuxième Calife ‘bien guidé’ Omar aperçut une captive qui était voilée, il s’approcha d’elle et lui intima l’ordre de se dévoiler. Elle refusa, alors il la frappa à la tête à coups de bâton et lui déchira le voile en lui disant : « Le hijab, c’est pour les croyantes libres ».
Le deuxième calife ‘bien-guidé’ a résumé la moraline islamique par un coup de bâton sur la tête d’une esclave voilée qui pensait agir en musulmane pudique conformément aux oukases d’Allah.
Ce fut une erreur fatale pour cette brave esclave qui croyait se comporter en musulmane assidue mais en oubliant qu’Allah Akbar n’a que mépris pour elle. Pour son prophète ‘bien-aimé’, Mohammed Ibn Abdallah, elle n’est qu’un objet pour assouvir ses pulsions sexuelles.
Il faut savoir qu’une femme esclave, même si elle est musulmane, reste une captive jusqu’au jour où son propriétaire décide de l’affranchir.
Que pense M. Mélenchon de l’agressivité du calife Omar, el-farouk-le juste, contre cette malheureuse esclave ?
D’ailleurs, Allah a décrété dans la sourate 2, verset 223, que la femme est un champ de labour pour son mari : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour, allez à votre champ comme (et quand) vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez Allah et sachez que vous le rencontrez. Et fais gracieuse annonce aux croyants. »
L’islam n’a aucun respect pour la femme. Toute la littérature islamique qui prétend que l’islam a libéré la femme n’est en fait que pur mensonge, que pure taqîya, que de la propagande pour cacher la haine qu’il lui nourrit. Bien au contraire, il l’a assimilée à une bête en instituant le nikah (relations sexuelles imposées). Elle se vend et s’achète comme une vulgaire marchandise selon le bon vouloir de l’homme.
En considérant la femme comme un objet sexuel, qu’elle soit libre voilée ou esclave dévoilée, l’islam l’a réduite à un être inférieur sans possibilité d’épanouissement.
Le coran et la sunna obligent impérativement les croyantes musulmanes à se voiler.
Dans la sourate 24 (An-Nur-lumière), verset 31, il est écrit : « Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès. »
Dans la sourate 33 (al-ahzab-coalisés), verset 33, il est écrit :
« Restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’islam (Jahiliyah). Accomplissez la Salat, acquittez la Zakat et obéissez à Allah et son Messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison (du prophète), et veut vous purifier pleinement. »
Le voile islamique est une obligation religieuse qui ne doit pas être discutée ni remise en cause. C’est un devoir religieux pour les musulmanes croyantes que de porter le khimar (ou bien niqab, djilbab) qui signifie voile intégral sans possibilité à un homme de voir toutes les parties du corps de la femme et même une mèche de ses cheveux. Dans le cas contraire, celles-ci deviennent des hérétiques (mourtadates). Et on sait quelle est la sentence qui attend une femme qui devient apostate. La lapidation !
Est-ce que M. Mélenchon a bien compris qu’avec le voile l’islam emprisonne la femme du berceau au tombeau ?
Il faut qu’il demande à ses amies musulmanes voilées la signification du mot voile en arabe.
En effet, le mot hijab est traduit par voile en français mais il peut signifier aussi toute chose qui fait obstacle à la vue : un écran, un rideau, voire un mur et même l’hymen. La racine du mot hijab vient du verbe hajaba qui veut dire cacher. Et en islam, tout le corps de la femme est considéré comme honteux (awoura). Le hijab est une barrière dressée entre l’homme et la femme. C’est aussi une interdiction morale (licite et illicite, halal et haram). Dans le coran, le voile est désigné aussi par les mots djilbab et khimar.
D’ailleurs, les juristes islamiques ont établi la liste des raisons pour lesquelles la femme peut quitter sa maison et comment elle doit s’habiller.
Elle ne peut quitter son foyer qu’en cas de besoin réel. Sa sortie doit être autorisée par son mari ou son tuteur légal. Elle doit être entièrement voilée y compris son visage pour éviter qu’elle ne tente tout homme qui serait aux alentours. Elle doit se déplacer en courbant la tête, sans regarder à gauche ou à droite. Elle ne doit pas être parfumée. Elle ne doit pas circuler au milieu de la rue parmi les hommes. Elle doit adopter une attitude chaste et modeste. Si elle se trouve dans un magasin ou dans un bureau, elle doit éviter de rester seule avec un homme derrière une porte fermée. Même si elle se trouve chez une amie, elle ne doit pas enlever les vêtements qui la dissimulent au cas où il y aurait un homme caché dans la maison. Une femme ne doit pas s’éloigner à plus de trente kilomètres sans être accompagnée par son mari ou son tuteur. Une femme ne doit jamais tenter d’imiter un homme. Son vêtement ne doit pas être trop raffiné ou trop recherché. Il doit être fait dans une étoffe épaisse et ne pas être transparent. Il ne doit pas épouser ses formes de son corps, il doit être ample. Il ne doit pas être parfumé. Il ne doit en aucune façon ressembler à un vêtement d’homme. Il ne doit pas ressembler aux vêtements des incroyants. Il ne doit pas être somptueux, affriolant ou de grande valeur…
Ainsi, par la volonté des califes abbassides, la femme islamique doit continuer à se voiler conformément à des lois mésopotamiennes datant de deux mille ans av. J.C.
Pour elle, le temps s’est arrêté à Babylone. Et désormais, avec un bon vent à la sauce mélenchonienne, elle doit continuer de se masquer dans les rues de Paris, en 2025.
M. Mélenchon peut-il encore affirmer, toute honte bue, que le voile est une soumission de la femme à Allah ?
En vérité, M. Mélenchon s’en fout éperdument des musulmanes et du sort qui leur est réservé, car pour lui, ce qui importe le plus dans la vie, c’est d’occuper, un jour, le palais de l’Elysée, pour être dans la peau du monarque absolu. Et plus vite ça sera, mieux ce sera, car l’âge lui rappelle qu’il est qu’un simple mortel.
Alors pour y parvenir, il caresse dans le sens du poil les cavaliers d’Allah (en les flattant honteusement) dans le but de capter leurs voix en 2027, d’autant plus que la concurrence est rude sur son flanc gauche où il y a de nouveaux venus sur la scène médiatique.
On peut dire sans trahir la pensée de M. Mélenchon que l’islam de France, c’est l’assistanat perpétuel et que la femme n’est pas l’avenir de l’homme. Et il en abuse pour attirer dans ses filets les oubliés de l’histoire que sont devenus les Berbères.
Mais le temps commence à s’obscurcir au-dessus de sa tête. En effet, les mauvaises nouvelles s’accumulent et les Franco-Algériens, qui font partie de son principal électorat des quartiers fortement islamisés de France et de Navarre, s’apprêtent à lui dire bye bye.
Hamdane Ammar