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La démocratie remet en cause les principes islamiques édictés par la charia.
La démocratie va à l’encontre du coran et de la sunna.
L’islam est une dictature divine qui gouverne le peuple qui n’a pas son mot à dire sur son sort, qui est codifié du berceau au tombeau. Car le croyant musulman est avant tout l’esclave d’Allah. Il n’a pas le droit au libre-arbitre qui est le fondement de la démocratie. Subir la charia, qui est un commandement d’Allah indiscutable, est la base même de la religion islamique. Ignorer ce principe, c’est devenir un renégat.
Donner le choix au peuple, c’est remettre en doute la parole incréée d’Allah Akbar. Et ça, l’islam l’interdit formellement.
Pour l’islam, la démocratie, c’est le retour aux temps de la djahiliya (la mécréance).
La démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple (dêmos= peuple, kratos= pouvoir, autorité).
En démocratie, la source du pouvoir vient du peuple souverain, par l’intermédiaire de ses représentants (élus). Cette source du pouvoir n’est pas une Révélation divine. Elle est le fruit des discussions qui tiennent compte des contradictions qui se trouvent dans la cité, dans le but de faire coexister pacifiquement les antagonismes qui irriguent la société.
Le principe de la démocratie demeure le choix libre du peuple souverain, car l’État n’est pas fondé sur l’arbitraire d’un chef ou d’une force extra-terrestre. Le peuple doit être consulté autant de fois qu’il le faut pour les affaires le concernant. Le pluralisme d’opinions, la liberté de culte, de conscience, l’égalité homme-femme sont la base de la démocratie. Ces principes démocratiques entrent en contradiction avec la religion islamique qui est basée sur le concept de ‘ahkm Allah, chârâa Allah’ (le pouvoir d’Allah et la justice d’Allah).
Dans ces conditions, brandir le coran pour imposer la démocratie, c’est piétiner les principes démocratiques, c’est imposer par la force la dictature divine qui va à l’encontre des aspirations du peuple souverain et des lois votées par ses représentants.
Poser la question de l’islam et de la démocratie, c’est nager en eaux troubles, c’est oublier le califat, sa dictature et ses crimes abjects.
Dans les états musulmans actuels, les pouvoirs en place organisent des élections mais dans un cadre islamique bien déterminé. Toutes les lois votées s’inspirent sans aucune exception du coran et de la sunna (charia). L’islam, religion d’État, occupe la première place dans les Constitutions respectives des pays musulmans, par conséquent, l’autorité religieuse se place au-dessus du peuple souverain. Les lois votées dans les divers Parlements de ces pays se basent sur l’islam, et de ce fait, elles ne reflètent pas la volonté du peuple qui subit de facto la dictature d’Allah et de ses représentants sur terre que sont les autocrates et les religieux. Ces Parlements ne sont que des chambres d’enregistrement, des courroies de transmission de la volonté du sultan (roi ou président) qui est en vérité le Commandeur des croyants conformément au verset coranique 4 , verset 59 :
« Ô les croyants! Obéissez à Dieu, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement. Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-là à Dieu et au Messager, si vous croyez en Dieu et au Jour dernier. Ce sera bien mieux et de meilleure interprétation (et aboutissement) ».
Mahomet, dans sahih Bukhari, a dit : « Quiconque m’obéit obéit à Allah, et quiconque me désobéit désobéit à Allah. Quiconque obéit au gouverneur m’obéit, et quiconque désobéit au gouverneur me désobéit ».
Entre l’islam et la démocratie, il n’y aura jamais de passerelle possible. Ce n’est qu’un mirage entretenu par les musulmans en Occident pour faire avancer leur projet de conquête.
Prétendre que l’islam est compatible avec la démocratie est une construction qui n’a aucun fondement historique, ni philosophique. Ce n’est qu’une escroquerie intellectuelle, un mensonge pour faire passer la pilule politicienne et endormir les peuples occidentaux.
Pour cacher la dictature islamique, les tenants de la charia ont inventé des concepts qui sont considérés par l’islam comme faisant partie du monde de la mécréance. On cache le réel et on vit dans l’illusion pour faire avancer la dictature d’Allah. C’est ce travail de sape et de déconstruction que font la gauche et la droite en France pour glaner les voix islamiques.
Le discours apologétique (trompeur) typique des intellectuels musulmans consistant à dire que l’islam est par essence démocratique est faux car, au vu des textes coraniques et des hadiths, la démocratie est illicite (haram). Et en plus, ils prétendent que la démocratie islamique est de loin meilleure à celle des Occidentaux en se basant sur les textes de leur religion qui est raciste et barbare. Pour eux, cette démocratie s’applique uniquement aux mahométans. Quant aux non-musulmans, c’est la dhimmitude qui leur convient le mieux.
Elle est réellement sectaire cette démocratie à la sauce islamique. Qui dit mieux ?
En effet, il est écrit dans la sourate 42, verset 38 : « Ceux qui écoutent leur Seigneur et établissent une prière régulière ; qui (gèrent) leurs affaires par consultation mutuelle ; qui dépensent ce que Nous leur accordons pour leur subsistance ».
La choura (consultation ou concertation) que brandissent les intellectuels musulmans comme argument de leur démocratie islamique est une escroquerie intellectuelle. Il est de notoriété publique que l’assemblée de la choura (la consultation ou la concertation) est formé par un collège restreint d’oulémas qui est choisi par le calife qu’il consulte uniquement sur les questions religieuses et sociétale. En aucun cas cette choura, qui est l’émanation d’Allah, ne peut remplacer la démocratie.
Ces intellectuels confortablement installés en Occident qu’ils méprisent mais dont ils profitent des bienfaits matériels et de la liberté, appellent de leurs vœux que l’islam ‘démocratique’ gouverne le monde libre. Pour eux, la démocratie, c’est l’allégeance au Commandeur des croyants, donc à Allah et à Son prophète.
Il écrit dans la sourate 60, verset 12 : « Ô Prophète ! Quand les croyants viennent te prêter serment d’allégeance, [et jurent] qu’elles n’associeront rien à Allah, qu’elles ne voleront pas, qu’elles ne se livreront pas à l’adultère, qu’elles ne tueront pas leurs propres enfants, qu’elles ne commettront aucune infamie ni avec leurs mains ni avec leurs pieds et qu’elles ne désobéiront pas en ce qui est convenable, alors reçois leur serment d’allégeance, et implore d’Allah le pardon pour elles. Allah est certes, Pardonneur et Très Miséricordieux».
« Prie et tais-toi » telle est la démocratie islamique. Car le simple croyant musulman n’a pas droit au chapitre. Il s’exécute et se tait en courbant l’échine.
Les intellectuels musulmans savent mieux que quiconque que le coran et la sunna combinés représentent une contrainte idéologique de taille dans leur vie de tous les jours, surtout dans les pays dits mécréants (Dar-El-Harb – maison de la guerre) où ils coulent de beaux jours, loin des contraintes de la charia, tout en distribuant le licite et l’illicite (le halal et le haram). À ce constat d’incompatibilité, s’ajoute le réflexe de défense identitaire qui veut que le musulman soit différent des autres groupes sociaux. En effet, l’islam a institué un vrai apartheid entre le musulman et le non-musulman. Les valeurs de l’islam sont aux antidotes de la démocratie.
Pour les masses musulmanes sensibles aux discours de l’autorité religieuse, les idées de la démocratie à l’occidentale ne sont pas perceptibles. Elles sont rejetées en gros et en détail, car elles signifient le retour à la mécréance. Ce rejet arrange le pouvoir politique. D’ailleurs, c’est le discours que développe la secte des Frères musulmans qui fait de l’infiltration sa politique de conquête de l’Occident en délitement qui ne sait pas d’où il vient et où il se dirige.
La gauche trouve auprès des musulmans installés en Occident, qui sont sensibles à la charia et qui sont contre le concept d’un homme une voix et de l’égalité homme-femme, un peuple de remplacement au prix de l’abandon des valeurs qui ont été les siennes durant un siècle et demi.
Pour ces musulmans, la démocratie est un concept qui ne veut rien dire. La démocratie est étrangère à leur culture.
La démocratie est incompatible avec l’islam, et tous les partis politiques en Occident et notamment en France (du RN à LFI) qui glorifient cette compatibilité et se trompent énormément. Car l’histoire démontre que l’islam est basé sur la haine de l’autre et que dans les pays dominés par l’islam, les minorités ethnico-religieuses sont marginés et ostracisées. Pire encore, elles sont carrément considérées comme des ennemis, des agents de l’étranger, un cheval de Troie, même si elles sont profondément enracinées dans ces pays depuis des siècles et des siècles. Parfois, elles sont poussées à se convertir à l’islam pour échapper à la vindicte populaire. L’exemple des chrétiens d’Orient est édifiant. À ce sujet, le cas des Coptes en Egypte est préoccupant où des filles chrétiennes sont enlevées et mariées de force à des musulmans.
Avec l’islam, il n’y a pas eu et il n’y aura pas de compatibilité avec la démocratie. Cette pseudo-compatibilité n’est qu’un leurre qu’entretiennent pour exister les contrebandiers (la gauche en général), les clandestins (les intellectuels musulmans) de l’histoire et les savants du mensonge sacralisé (les imams spécialistes de la taqîya).
Hamdane Ammar