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Dominique Voynet, nageuse émérite des profondeurs abyssales de l’indigence politique, vient de se trouver une nouvelle bouée de sauvetage pour remonter à la surface médiatique, ce dont nous nous serions volontiers dispensés.
Ainsi, l’ancienne ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement du gouvernement Jospin a eu une idée lumineuse à l’Assemblée nationale qui pourrait faire tache d’huile gauchiste. Tache qui ne part pas au lavage, hélas !
Cette femme médecin de formation, qui n’aurait jamais dû quitter son cabinet d’aisance professionnelle, a ainsi proposé qu’on rebaptise les Mahorais, « habitants de Mayotte ». Et pourquoi donc ? La réponse est aussi limpide que l’élégance raffinée de la sémillante Ersilia Soudais dans une robe seyante : pour ne pas stigmatiser les « quelques » habitants illégaux de l’île, qui pourrissent un peu la vie des authentiques Mahorais et sont en passe de les remplacer, mais ça, il ne faut pas le dire. C’est vrai quoi, c’est stigmatisant, lorsqu’on est un envahisseur, de devoir subir ces sortes de discriminations !
De là, avec mon esprit tordu par l’expérience d’une vie passée sous emprise gauchiste depuis des décennies, je me suis imaginé que, incessamment sous peu, un spécimen du marécage susnommé proposerait de débaptiser les Français pour les renommer « habitants de France ». Ce qui résoudrait tout problème d’identité et préparerait le terrain à quelque autre parti, dont le vœu même plus secret est d’appeler notre pays : « République islamique de l’Ouest » !
Quel beau pays que la France où des gauchistes courent toujours, oserais-je dire en pillant outrageusement une phrase de Pierre Desproges à propos des Juifs, ce qu’il disait avec second degré, rappelons-le ! Second degré qui, étant donné l’abrutissement des masses par les écrans, n’a plus cours de nos jours. Fin de la parenthèse.
Pour revenir à m’dame Voynet et son esprit embrouillé par du tofu fermenté, une telle proposition pourrait paraître anodine mais elle recèle en réalité tout le programme de la gauche purulente : l’effacement pur et simple de la France réelle. D’ici à ce qu’on traite les autochtones de notre pays comme des « migrants en situation irrégulière », il n’y a pas loin…
Et lorsque nous réveillerons un jour en chantant, non plus avec une douce nostalgie au bout des lèvres, comme Charles Trenet, mais plutôt un goût de sang, « Que reste-t-il de nos amours / Que reste-t-il de ces beaux jours », la réponse tombera comme un Jugement dernier : Rien !
Charles Demassieux