Alex Soros : Karol Nawrocki a remporté le second tour de l’élection présidentielle polonaise face au maire libéral de Varsovie – (Rafał Trzaskowski, avec Soros !)

Publié le 27.5.2025 à 00h57 – Par Pauline Dupont – Temps de lecture 5 mn

Karol Nawrocki a remporté le second tour de l’élection présidentielle polonaise face au maire libéral de Varsovie, Rafał Trzaskowski ici avec Soros !

La Pologne vient d’éviter une balle énorme en ne permettant pas à cette marionnette de Soros de gagner

Nawrocki remporte les élections présidentielles en Pologne après le dépouillement de 100 % des voix

Le candidat du parti d’opposition « Droit et Justice », Karol Nawrocki, remporte les élections présidentielles en Pologne avec 50,9 % des voix, rapporte la télévision polonaise en se référant aux données de la commission électorale nationale après le traitement de tous les bulletins.

Né à Gdańsk, Karol Nawrocki est le président de l’Institut de la mémoire nationale de Pologne, connu pour ses déclarations anti-russes. Il est recherché en Russie dans le cadre d’une affaire criminelle pour la destruction de monuments aux soldats soviétiques, ce qu’il a activement fait et continue de faire en tant que directeur de l’institut.

Par ailleurs, Nawrocki est un partisan du durcissement des règles pour les Ukrainiens vivant en Pologne, les privant de leurs avantages sociaux. Dans l’un de ses discours, il a déclaré qu’il « s’était déçu de Volodymyr Zelensky » parce qu' »il se comporte comme il ne devrait jamais se comporter envers l’État polonais », et dans un autre, que « pour l’aide, la Pologne n’a rien reçu ».

Pologne. Les estimations électorales se sont encore trompées en faveur du candidat européiste.

2h après la fin du scrutin, elles donnaient encore la victoire à 51% au candidat européiste Trzaskowski.

« Au final, c’est l’inverse : 51% pour Nawrocki. Le trucage à la moldave ou à la roumaine aurait-il foiré in extremis ? » – François Asselineau

👉 L’UE peut encore s’exciter et invalider les élections. Cf le cas roumain. À suivre !

Alex Soros, qui se donne beaucoup de mal pour faire disparaître d’Internet des articles et des photos datant de l’époque où il se vantait d’avoir un petit ami à la BBC (pas la chaîne de télévision), est attaqué… par les sionistes !

Les Juifs sont si nombreux à lui en vouloir qu’il finance désormais des groupes d’extrême gauche qui protestent contre Israël et fomentent des assassinats d’Israéliens, comme dans le cas du double meurtre perpétré à Washington il y a quelques jours.

La vie est dure quand on est un méga méchant mondial caricatural, au moins son papa a une tête de méchant, ce petit gay n’est qu’une tache brune dans le pantalon de George.

Les Frères musulmans (MB) sont parmi les grands bénéficiaires des fonds de la Fondation Open Society (OSF) de George Soros.

Ces financements, déguisés en soutien à des causes humanitaires, ont été utilisés par des groupes islamistes pour faire avancer leurs agendas.

Les Open Society Foundations (OSF) de Soros déclarent que leur mission est de soutenir la démocratie, les droits de l’homme, les médias libres et la société civile. Elles financent des activistes, des médias, des programmes éducatifs, des recherches scientifiques, des projets anti-discrimination, migratoires, féministes, LGBTQ+, pro-climat, etc.

À première vue, ces actions semblent positives, car soutenir des changements menant à la justice et à la lutte contre les inégalités paraît toujours noble et bon.

Mais cette histoire n’est pas un conte sur un philanthrope généreux. C’est un fragment d’une guerre civilisationnelle pour l’influence et la forme du monde. Il suffit de regarder une carte et les effets réels de cette activité « caritative » pour voir tout le contraire. En théorie : droits de l’homme, liberté, égalité des chances.

En pratique : stratification sociale, exploitation et privilèges pour les élites mondiales.

Le fait que George Soros et ses fondations soient critiqués ou accusés de détruire des États par des gouvernements du monde entier n’est pas un hasard. Les actions des OSF ont un réel effet subversif. La fondation a déjà contribué à plusieurs reprises à la désorganisation des structures sociales locales, provoqué le chaos politique et orchestré des renversements.

Des exemples ?
Ukraine (2004, 2014), Géorgie (2003), Liban, Égypte, Tunisie (Printemps arabe), Serbie (2000).
À chaque fois, le même schéma : soutien aux mouvements anti-gouvernementaux censés « réformer » le pays, mais qui, en pratique, l’ouvrent aux influences et aux intérêts du capital occidental.

Il ne faut pas être cynique pour remarquer que des actions idéologiques peuvent avoir des conséquences politiques stratégiques, et donc des bénéfices pour la classe des investisseurs et des élites globales. Stimuler la mondialisation et l’ouverture des marchés est en effet conforme aux intérêts de la finance internationale, qui contrôle déjà près de 80 % du capital économique mondial.

Ceux qui ne peuvent être soumis deviennent des ennemis. Un tel pays est qualifié de « non démocratique » et son gouvernement de « populiste ». Commencent alors les pressions médiatiques et les accusations de violations des standards. C’est ainsi que l’on accuse ceux dont on ne peut s’emparer des ressources et que l’on ne peut reprogrammer.

À l’ère postcoloniale, la conquête ne porte pas d’uniforme, mais un costume, serre des mains et propose un soutien au « développement de la société civile ». C’est un nouveau modèle de domination. Cela ressemble à de l’aide, cela sonne comme la démocratie, mais c’est en réalité une nouvelle forme de colonisation, dont les effets sont étrangement familiers : prise de contrôle des ressources et domination des sociétés conquises.

✉️ Abonnez-vous pour ne rien manquer de l’actualité géopolitique.