Language

         

 Publicité par Adpathway

Pierre-Édouard Stérin, un milliardaire qui se place "au-dessus" des lois

1 month_ago 5

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

À la Une de la presse, ce mercredi 21 mai, la remise, aujourd’hui, en conseil de défense à l’Élysée, d’un rapport sur les Frères musulmans, mettant en garde contre une "menace pour la cohésion nationale" ; la stratégie d’influence du milliardaire français Pierre-Édouard Stérin, qui a refusé une deuxième fois, hier, d’être entendu par la commission d’enquête sur l’"organisation des élections en France" ; des nouvelles de Hongrie et la "Pet Gala", réplique animalière du prestigieux Met Gala.

Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook

À la Une de la presse, la remise, aujourd’hui, en conseil de défense à l’Élysée, d’un rapport sur les Frères musulmans, mettant en garde contre une "menace pour la cohésion nationale".

Une "menace pour la cohésion nationale"

La Croix indique que ce rapport, commandé par l’Élysée et réalisé par deux hauts fonctionnaires, souligne le "caractère subversif du projet porté par les Frères musulmans", qui vise "à œuvrer au long cours, en vue d’obtenir progressivement des modifications des règles locales ou nationales", notamment sur la laïcité et l’égalité femmes/hommes. D’après l’Élysée, il s’agirait "non pas de s’enclaver comme le fait de séparatisme", mais au contraire "de dissimulation" pour aller "à la conquête des antennes de pouvoir, (dont) les municipalités".

Libération rapporte que c’est précisément cet "élément calendaire" qui est avancé par l’Élysée pour justifier la réunion d’aujourd’hui autour de ce rapport : les prochaines municipales, au printemps 2026, parce que "l’entrisme par le bas (des Frères musulmans) est très orienté vers les élus locaux et les municipalités", et qu’il y aurait donc "urgence à agir".

Le Parisien/Aujourd’hui en France évoque "un sujet qui tient à cœur au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau", qui a déjà réagi en assurant que "l’objectif ultime" des Frères musulmans est de "faire basculer toute la société française dans la charia". Le journal décrit un document "choc" dressant "un tableau alarmant sur les activités de cette mouvance islamiste". Interrogée par le journal, la chercheuse au CNRS Florence Bergeaud-Blackler, une spécialiste des Frères musulmans, qui vit aujourd’hui sous protection policière, cerne "un noyau dur d’un millier de personnes", autour desquelles graviteraient près de "60 000 enfants formés dans les écoles coraniques, qui risquent d’être endoctrinés".

Le Figaro voit dans ce document la preuve d’une "stratégie de conquête" des Frères musulmans en France et regrette que "beaucoup de temps (ait) été perdu en palabres et tergiversations", face à "l’idéologie subversive des Frères musulmans comme à celle de leurs "cousins" salafistes", tous étant accusés de "jouer des faiblesses" de la démocratie.

L’Opinion annonce déjà "la fin" d’une présumée "naïveté" française en prônant "l’inflexibilité", "à tous les étages de la République", mais aussi au niveau européen face à "une hydre prête à s’infiltrer dans le moindre interstice".

Périclès, projet du milliardaire Pierre-Édouard Stérin

Lui aussi cherche à influencer le débat politique français, le milliardaire Pierre-Édouard Stérin a refusé une deuxième fois, mardi 20 mai, d’être entendu par la commission d’enquête sur l’"organisation des élections en France". Les députés souhaitent entendre l’homme d’affaires sur son activisme politique, lui qui se dit prêt à dépenser 150 millions d’euros sur dix ans pour influencer le débat public et soutenir des candidats aux élections. Un projet baptisé "Périclès", du nom du stratège de la Grèce antique, mais surtout l’acronyme de "Patriotes enracinés résistants identitaires chrétiens libéraux européens souverainistes".

Pierre-Édouard Stérin, qui réside en Belgique, refuse de s’expliquer pour des "raisons de sécurité". Qu’à cela ne tienne, Mediapart a mené l’enquête sur la façon dont il met sa fortune "au service de l’extrême droite", en multipliant les initiatives contre l’avortement et pour la "remigration".

Enquête également de nos confrères de France Info, qui rapportent que le président de cette commission d'enquête déplore que le milliardaire "se place au-dessus, comme (s’il) n'était pas soumis aux mêmes règles que tout le monde", et annonce avoir saisi la justice.

La Hongrie se retire de la CPI

En Hongrie, le parlement a voté hier en faveur de son retrait de la Cour pénale internationale.

Le Monde rappelle que cette mesure avait été annoncée au début du mois dernier par le Premier ministre Viktor Orban, lors d’une visite à Budapest de son homologue israélien Benjamin Netanyahu, en réaction au mandat d’arrêt émis contre lui par la CPI pour "crimes de guerre" et "crimes contre l’humanité" à Gaza.

Le gouvernement de Viktor Orban, dont Le Figaro raconte la décision de nationaliser les cliniques privées, pour rendre totalement gratuits les traitements par fécondation in vitro et relancer une natalité en berne. Le journal s’étonne de ce que le Fidesz de Viktor Orban "déroule le tapis rouge à des groupes de pression anti-IVG lors de congrès internationaux des familles", tout en "assumant" son refus d’interdire l’avortement. Une situation dans laquelle le journal dit voir "une forme de contradiction".

Un "casse du siècle" en Égypte

Un mot, à présent, d’un "casse du siècle" en Égypte : le cambriolage de la villa d’une universitaire cairote, comparée par ses compatriotes à la "caverne d’Ali Baba".

Selon le rapport de police cité par Watan, un site d’info arabo-américain, les biens volés à Nawal El-Degwi, figure emblématique du parti au pouvoir en Égypte, comprenaient, entre autres, 3 millions de dollars américains, 350 000 livres sterling en espèces, et 15 kilos d'or. Un trésor qui provoque beaucoup de questions.

Pourquoi Nawal el-Degwi avait-elle stocké une telle fortune chez elle ? Et surtout, comment cette fortune a-t-elle été accumulée ? Le site fait état de la colère, sur les réseaux sociaux, de ses compatriotes, qui voient en Nawal el-Degwi un symbole de la corruption du régime d’Abdel Fattah al-Sissi.

Les animaux de compagnie à l'honneur au "Pet Gala"

On reste dans le monde des riches, avec la version alternative du Met Gala, le prestigieux rendez-vous new-yorkais de la mode, dédiée aux animaux de compagnie.

Tout comme son double humain, le "Pet Gala" figure en bonne place dans la Bible de la mode, le très glamour magazine Vogue, qui indique que le créateur Anthony Rubio, à l’origine de ce Gala, a créé des tenues personnalisées, inspirées de celles des célébrités du Met Gala.

Ma préférée est celle d’un loulou de Poméranie, en Diana Ross dont la ressemblance avec la tenue portée par Diana Ross est absolument stupéfiante.

Retrouvez tous les matins sur France 24 la Revue de presse (du lundi au vendredi, à 7h20 et 9h20 heure de Paris). Suivez également tous les week-ends en multidiffusion la Revue des Hebdos.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway