NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway

AFP or licensors
Article abonné
À l’occasion de la parution du livret que les éditions de L’Herne lui consacrent, « Marianne » a rencontré Philippe Descola. L’anthropologue nous partage son analyse de la reconfiguration contemporaine du monde et s’interroge sur la profonde mutation anthropologique induite par l’essor des nouvelles technologies.
Philippe Descola, aux éditions de l'Herne, réunit un ensemble de contributions de penseurs tels que Jacques Rancière, Jérôme Baschet ou encore Georges Didi-Huberman, qui mettent en lumière la richesse théorique de la pensée de l'anthropologue Philippe Descola. Certains, à l’instar d’Eduardo Viveiros de Castro ou de Bruno Latour, y livrent des témoignages personnels, revenant sur des moments marquants de son parcours intellectuel.
Le volume comprend également des textes inédits – conférences, discours et essais – ainsi qu’un extrait du carnet de terrain tenu par Philippe Descola, lors d’une expédition chez les Achuar, un peuple amazonien, dans les années 1970, accompagné de fac-similés du manuscrit original et de photographies. Marianne est allé à sa rencontre.
Marianne : On vous a reproché d’avoir déconstruit la notion de « nature » au détriment des luttes écologiques, qu’en pensez-vous ?