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Les Néerlandais ont encore le choix
C’est une longue histoire. En Novembre 2023, le PVV Parti pour la Liberté de Geert Wilders remporte les élections. Normalement, Geert aurait dû être appelé à former et diriger le gouvernement. Au lieu de ça, après de laborieuses tractations où l’Eurocrature intervient une fois de plus dans les affaires intérieures d’un État souverain, on lui offre en juin 2024 un lot de consolation.
Cinq places de ministres pour des membres de son parti, chacun doublé par un technocrate soi-disant neutre, sous réserve d’acceptation par Bruxelles. Dans un gouvernement dont lui même est exclu. Néanmoins, il accepte cette cohabitation injuste dans l’intérêt national. Jusqu’à ce que l’assemblage hétéroclite imposé par la bande à Pustula se disloque. Sur les questions migratoires puisque les autres partis refusent de l’aborder autrement que par la doctrine du « toujours plus ! »
Ils ont bonne mine maintenant, tous les euro-islamo-mondialistes à fustiger Wilders pour sa prétendue irresponsabilité ! Ces canailles ont du mal à admettre que, si des patriotes peuvent se montrer conciliants sur des sujets mineurs, ils ne se laissent pas manipuler comme les autres partis. Par intérêt, contre leurs convictions, en reniant leur programme et en trahissant leurs électeurs.
Le programme de Geert Wilders, fustigé par les médias, mérite le détour. Et explique pourquoi tout rapprochement avec les traîtres à notre civilisation est voué à l’échec.
Sur le Grand Remplacement, casus belli N° 1 :
Le PVV demande l’arrêt immédiat de l’immigration en provenance des pays musulmans et l’expulsion des migrants illégaux. L’interdiction de construire de nouvelles mosquées, la fermeture de toutes les écoles coraniques, la prohibition de la burqa dans les lieux publics et le bannissement du « mein korampf ». Avec l’interdiction de l’abattage et de la commercialisation de la viande halal.
La réponse des usagers de la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix) a été conforme à ce qu’on en attendait : une avalanche de fatwas suivies d’une douzaine de tentatives d’assassinat ourdies par ceux qui n’acceptent pas qu’on entrave leur objectif de conquête multi séculaire.
Geert Wilders est placé depuis 2004 sous protection policière renforcée. Ce qui n’empêche pas le mufti Muhsin Köktas de clamer dans les médias connivents que la vie des mahométans serait menacée aux Pays-Bas. Les crétins goitreux de gauche versent leur larmichette.
Cerise sur le gâteau, Geert demande l’inscription dans la constitution de la primauté de la culture judéo chrétienne, le rejet de la double nationalité, l’expulsion des binationaux condamnés pour crimes violents, et des poursuites contre les ministres qui ont favorisé l’immigration islamique au détriment de leur propre peuple. Accessoirement, au plan administratif, il envisage de légaliser les statistiques ethno-religieuses.
Sur l’Eurocrature, casus belli N° 2 :
Il prône le Nexit : Priorité à la sortie de l’UE, retour du florin comme monnaie nationale et rejet de toutes les juridictions supranationales qui s’immiscent dans les affaires judiciaires des États souverains. Et qu’on cesse d’appeler «État de droit» une dictature de néonazis déguisés en humanistes.
Particularité locale, le PVV propose la constitution par référendum d’un ensemble ethno culturel associant la Flandre Belge et les Pays-Bas.
Au plan international, comme partout, une kyrielle de désaccords irréductibles opposent les patriotes aux mondialistes :
Après avoir accepté les fuyards ukrainiens par souci d’humanité, Wilders veut renvoyer chez eux ces gens qui ne sont pas des réfugiés politiques mais des profiteurs des largesses de son pays. Comme tant d’autres…
Il s’est prononcé contre les sanctions économiques et diplomatiques infligées à la Russie, et contre l’aide militaire et financière démesurée à l’Ukraine, « pour une guerre qui n’est pas la nôtre ».
Au Proche Orient, il veut en finir avec les soutiens financiers aux organisations terroristes se réclamant d’un Palestine qui n’existe que dans leur imagination. Le Renvoi des Gazaouis en Jordanie ou en Égypte, leurs vrais pays, serait la meilleure solution pour eux comme pour Israël.
En Afrique du Sud, il soutient les Afrikamers, ces citoyens d’origine néerlandaise, brimés, dépouillés, persécutés, et de plus en plus souvent assassinés, parce qu’ils sont Blancs.
Quant au réchauffisme, il demande que son pays cesser de participer aux institutions internationales qui prospèrent sur un ramassis d’inepties qui coûtent très cher, et servent à enrichir les oligarques de la mafia du capitalisme vert.
Les points d’entente avec les « progressistes »:
Égalité juridique et économique des sexes biologiques, et respect des droits des LGBTQ.
La crise politique couvait depuis des mois aux Pays-Bas. Cette fois, l’abcès est percé et il en coule un torrent de pus.
Geert Wilders reproche à ses partenaires de ne pas soutenir son nouveau plan migratoire, conformément aux assurances verbales qui lui avaient été données. Puisque les trois autres partis, le libéral VVD, le NSC centriste, et le BBB agrarien, font la sourde oreille, il en tire les conséquences en claquant la porte.
Le Parti pour la liberté (PVV) se retire de la coalition au pouvoir depuis onze mois, et le gouvernement de Dick Schoof privé de majorité démissionne. De nouvelles élections auront lieu à l’automne, dans un pays où les questions migratoires dominent le débat politique. Schoof expédiera les affaires courantes jusqu’au prochain scrutin.
Il est permis de se demander quelles pressions ont été exercées sur le premier ministre pour qu’il renie ses engagements.
Voilà un homme qui a été depuis 1999 directeur général du service de l’immigration, puis coordinateur national pour la sécurité et la lutte anti-terroriste, avant d’exercer les fonctions de directeur général du Service du renseignement et de la sécurité. A priori il connaît bien son sujet et ne s’est jamais signalé par un laxisme excessif. Et voilà que, brusquement, il vire de bord !
Le plan en dix points présenté fin mai par Geert Wilders préconisait, entre autres mesures de protection, la mobilisation de l’armée pour sécuriser les frontières, la fermeture des centres d’hébergement pour pseudo-réfugiés et le renvoi systématique des Syriens qui n’ont plus l’excuse de fuir Bachar Al Assad. Ses «partenaires» ont refusé de seulement en discuter.
Cette fois, c’est le quitte ou double pour Wilders. Et l’heure de vérité pour ses compatriotes. Ou ils se ressaisissent au prochain vote et lui donnent une majorité absolue pour appliquer son programme. Ou ils acceptent, dans la peur et la résignation leur dhimmitude, et leur pays sera une théocratie islamique de plus.
Allié européen de Marine, d’Orban et de Salvini, Geert Wilders justifie sa stratégie en brandissant des sondages montrant que ses propositions recueillent l’adhésion d’une large majorité des Néerlandais, y compris dans les autres partis de l’éphémère coalition. Dans un contexte européen plus large, marqué par la montée des partis anti-immigration. Comme en Allemagne avec l’AfD et la victoire de Karol Nawrocki en Pologne. Et comme en France où le RN a totalisé plus de 10 millions de voix l’an dernier, quand ses adversaires les mieux placés n’en ont obtenu que sept, mais ont fusionné au second tour dans une alliance contre nature Macron-Mélenchon.
Le niveau de réponse des détracteurs de Wilders est pitoyable. Faute d’arguments défendables, la caste politico-médiatique se gausse de sa tignasse peroxydée comme naguère ils se moquaient de la mèche de Trump. Les chantres de l’anti racisme vont même jusqu’à reprocher à Geert d’avoir une mère eurasienne ! Mais ces bouffons sont dangereux, ils l’ont prouvé. Ils pourraient truquer les prochaines élections ou payer un sniper « déséquilibré». Avec ces crapules, le pire est toujours possible.
Christian Navis