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PARTIE 3:QUI EST CETTE "SUPERCASTE" D’ULTRA RICHES ET PUISSANTS DONT ON NE DOIT DIRE MOT? – PARTIE III (3 de 3)

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"Celui qui paie l’orchestre choisit la musique."

Plus que tout autre enjeu, la négociation du pouvoir et de la richesse entre une minorité de possédants et une majorité de gouvernés a marqué les derniers millénaires de l’humanité. Quand l’équilibre de la répartition des ressources est rompu dans cette lutte des classes, les empires tombent et se succèdent. Bien imparfaitement, nous savons notre époque ne fait pas exception à la règle.

Un agenda dystopique maintenant explicite

De tous les pouvoirs que détient cette supercaste d’ultra riches et puissants, le plus évident et le plus marquant est la capacité d’imposer un agenda idéologique, politique, économique et social au reste d’entre nous. Au sein de leurs organisations, en position d’autorité, les membres de cette classe peuvent déterminer les priorités, guider les décisions d’allocation des ressources, déterminer qui parmi les subalternes auront le plus d’influence et mener des campagnes d’ingénierie sociale, telle une fabrique du consentement, visant à façonner les pensées. Depuis des décennies, cet agenda a transformé les ressources naturelles et humaines du globe en matières premières à dérober et les besoins humains en marchés lucratifs à exploiter.

Professeur en sciences politiques et journaliste américain, David Rothkopf rapportait en 2008 les propos de David E. Sanger, correspondant en chef du New York Times à Washington, qui admettait d’ailleurs que la détermination d’un agenda est le rôle central que jouent les médias corporatifs dans la société. Par les tribunes dont ils disposent, les dirigeants et les journalistes de ces organisations déterminent les positions idéologiques prônées, les nouvelles et les informations jugées prioritaires, lesquelles feront l’objet d’une couverture et sous quel angle. Ils détiennent le pouvoir d’amener à l’œil du public les enjeux du jour sélectionnés via les reportages et les éditoriaux de leurs sbires et décident des voix qui se verront donner un droit de parole et lesquelles seront censurées, voire excommuniées.

Parallèlement, dans le contexte de rencontres telles que le Forum économique mondial à Davos, les dirigeants des grandes entités corporatives et institutionnelles peuvent, à titre de commanditaires, contribuer à dresser une programmation événementielle, alignée sur leurs intérêts stratégiques, permettant d’imposer aux participants leur vision des enjeux du moment de même que de les séduire vers les orientations préconisées. De tels moyens d’influer facilitent ainsi l’adhésion au consensus d’un agenda que suivront plus facilement les représentants des entreprises, des institutions et des gouvernements présents à l’événement.

Ces quelques milliers de membres de cette caste ont entre les mains les plus importants leviers de pouvoir et d’influence du globe. Tous connectés étroitement les uns avec les autres, ils partagent des communautés d’intérêts sur tout le vaste spectre des activités humaines : de la régulation des marchés à la taxation en passant par des plans de sauvegarde de firmes financières "too big to fail" et jusqu’à l’endettement public et des ménages ou de la place qu’occupent les principes de droits et de libertés des gens du peuple aux moyens dont disposent l’État pour mater leurs contestations. De l’immigration massive de réfugiés en passant par la destruction des identités nationales, jusqu’à l’accès à une main-d’œuvre bon marché. Depuis l’avènement, en Occident, de l’hégémonie anglo-américaine au 19e siècle, cette supercaste s’est accaparée pour elle-même, au fil des générations, des continents entiers qu’elle a saccagés et industriellement pillés, soumettant leurs habitants, Peuples de la terre, à leur civilisation.

Plus que jamais, instrumentalisant le prétexte d’une crise sanitaire et du climat, les gens les plus riches et puissants du monde — mutuellement dépendants et globalement actifs et collaboratifs — sont orientés vers une vision globalisée et technocratique du futur de ce monde. La direction qu’ils tentent de nous faire prendre est devenue claire et explicite.

Comme si la désacralisation du vivant par sa marchandisation n’était pas assez, ils veulent aujourd’hui le digitaliser. À l’aube de ce que le fondateur du Forum économique mondiale (FEM), Klaus Schwabb, appelle parmi d’autres la 4e révolution industrielle, les changements prophétisés ne ressembleront en rien, dans leur importance, leur portée et leur complexité, à ce que l’humanité a pu connaître jusqu’alors.

Caractérisée par une fusion des technologies et de nouveaux réseaux digitaux qui gomment les frontières entre les sphères physique, numérique et biologique, cette révolution bouleverse déjà presque tous les secteurs d’activité, partout dans le monde. L’ampleur et l’importance de ces changements annoncent la transformation de systèmes entiers de production, de gestion et de gouvernance. Ces perspectives sont encore démultipliées par l’émergence de technologies novatrices dans les domaines de l’intelligence artificielle, la robotique, l'internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage de l’énergie et l’informatique quantique.

Ajoutons à cela l’intelligence artificielle qui est déjà à l’œuvre pour conduire des drones ou des voitures autonomes, tout autant que pour traduire ou effectuer des investissements à l’aide d’assistants virtuels et logiciels.

Ces dernières années, la croissance exponentielle de la puissance de calcul informatique et la mise à disposition d’énormes volumes de données ont permis d’immenses progrès en matière d’intelligence artificielle. Dans le même temps, les ingénieurs, les créateurs et les architectes associent conception informatique, ingénierie des matériaux et biologie synthétique afin de créer une symbiose entre les microorganismes, notre corps, les produits que nous consommons et même les bâtiments dans lesquels nous vivons.

La Quatrième révolution industrielle ne modifiera pas seulement ce que nous faisons, mais aussi ce que nous sommes. Elle affectera notre identité et toutes les questions qui y sont associées : notre sentiment d'intimité, notre notion de la propriété, nos modes de consommation, la façon dont nous faisons des rencontres et nous entretenons des relations. Elle modifie déjà notre santé et elle pourrait nous mener plus vite que nous ne le croyons à l’émergence d’un nouveau type d’humains "augmentés", marquant du même coup un schisme social historique et sans précédent qui, en principe, laisserait derrière les masses primitives d’homo sapiens. Dans un monde où la vie privée des gens du peuple n’existe plus, car surveillée en permanence dans toutes les sphères de leurs vies, la Quatrième révolution industrielle a donc le potentiel de littéralement robotiser l’humanité et de nous déposséder de notre cœur et de notre âme.

Depuis le printemps 2020, les efforts de cet establishment ont marqué un point tournant dans l’équilibre du pouvoir que nous connaissions depuis les dernières décennies, transférant rapidement le pouvoir démocratique des peuples et la défense des intérêts nationaux vers une gouvernance globale et un contrôle social centralisé soutenu par une classe d’experts, de fonctionnaires et de technocrates grassement rémunérés.

Tous les membres de l’Establishment occidental s’entendent aujourd’hui sur cet "Agenda 2030" promu depuis quelques années par l’ONU et ses 17 objectifs de développement durable pour un monde "de paix et sans pauvreté". Sous l’impulsion, encore lui, de Klaus Schabb et du FEM, la "grande réinitialisation" (Great Reset) – visant à nous faire glisser vers une abolition progressive du principe de propriété privée au nom de la sauvegarde des économies du globe, du bien commun et de la régulation du climat – semble elle aussi faire l’unanimité. Rappelons-nous cette célèbre phrase cauchemardesque lancée en 2017 dans le cadre du sommet du FEM : "You will own nothing and you will be happy." Il faut alors se poser la question, si nous devenons les locataires de nos terres et de nos vies, qui diable en seront les propriétaires? Bienvenue en 1984.

Cette direction, utopique en principe, mais dystopique dans son application, invite à une gestion planétaire des ressources centralisée entre leurs mains. Un monde néo-féodal où les peuples n’ont plus leur mot à dire, car dirigés par ces "élites" illuminées et administrés par leurs vassaux technocratiques bien-pensants. Préambule à un apartheid, un monde de ségrégation sous prétexte sanitaire où une injection, dépeinte à tort comme une panacée, est devenue le nouveau dénominateur commun de conformité accordant désormais le "privilège" de participer à notre société.

Le plus tôt nous réaliserons que nous sommes plongés dans une guerre implacable menée par une supercaste assoiffée de contrôle et pressée de nous faire basculer dans un régime totalitaire globalisé d’inspiration sino-communiste, le plus tôt nous réaliserons que cet ordre des choses doit être renversé à tout prix et que notre trajectoire doit bifurquer à 180 degrés.

La balle est dans notre camp

La réalisation de cette réalité n’est pas sans conséquence pour celles et ceux qui s’en saisissent, alors que le vertige et un sentiment angoissant d’impuissance peuvent devenir leurs inconfortables compagnons au quotidien. Pour retrouver nos esprits, nos forces et reprendre notre pouvoir individuel et collectif, il est alors impératif de passer à l'acte créateur, ici et maintenant, du monde dans lequel nous voulons vivre.

Comme le disait le visionnaire de génie Buckminster Fuller : « On ne change pas les choses en combattant la réalité existante, mais en construisant un nouveau modèle qui rendra l'ancien obsolète. » Pour ce faire, au-delà de toutes les formes bien nécessaires que peut prendre notre résistance devant cet assaut sur les vies que nous avions, nous devons plus que tout bâtir de nouvelles communautés solidaires, résilientes et autonomes et se réapproprier des milieux de vie à notre image respectant notre Mère-Terre qui nous sustente.



Alors que les grands centres urbains sont aujourd’hui sous l’emprise de cet agenda globaliste, au Québec, nous comptons plus de 700 villages de moins de 1 000 habitants et plus de 1 200 municipalités de moins de 5 000 répartis dans toutes les régions de notre pays si vaste et riche d’abondances de tout ce qu’il nous faut pour vivre dignement. C’est d’ailleurs grâce au labeur et à la résilience de nos ancêtres — depuis plus de 400 ans — que ces terroirs furent défrichés et développés et que leurs infrastructures furent construites. N’existe-t-il pas de plus belle et puissante façon d’honorer leur mémoire et leur œuvre que de réinvestir ces espaces et de se les réapproprier?

En plusieurs de ces lieux, la Renaissance a déjà débuté et une nouvelle culture se dessine notamment par des modes émergents de gouvernance citoyenne au service des communautés, par des économies locales et circulaires et par des circuits d'échanges de proximité, par des mouvements de coopération et de solidarité dans toutes les sphères de l’activité humaine, par des nouveaux canaux de transmission de connaissance, par une éducation des prochaines générations qui les mette en relation saine avec le vivant sous toutes ses formes ou par de l’art engagé nous inspirant vers le meilleur de nous-mêmes.

Les pistes de solution sont nombreuses et c’est par la force du nombre qu'elles pourront prospérer. Réensauvageons et solidarisons-nous.

Wake up Neo.

Sources :

"La Quatrième révolution industrielle : ce qu’elle implique et comment y faire face", Klaus Schwabb, Forum économique mondial, 25 octobre 2017.

“8 predictions for the world in 2030”, World Economic Forum, 6 février 2017.

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