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Benoit aurait dû fêter ses 18 ans ce vendredi 6 juin avec sa famille et ses amis. Mais lors de la finale de la Coupe d’Europe, le samedi 31 mai, alors qu’il regardait tranquillement le match dans un quartier tranquille de Dax, un personnage a voulu lui voler sa casquette. Il s’est défendu, et il est mort, poignardé de plus plusieurs coups de couteau. Un crime signé, seules les racailles musulmanes agissent ainsi, quoi qu’en disent les ordures de gauche qui essaient de nous faire passer pour des racistes et de nous faire pleurer parce que deux musulmans sont morts en un mois, quand des centaines des nôtres tombent à cause de leurs coreligionnaires.
Apparemment, il n’y a pas eu de marche blanche, pas de bougies, pas de minutes de silence, mais un discours très fort de Thierry, le père de Benoit, dont voici un extrait.
🔴 « J’ai la haine »
À Dax, le discours poignant du père de Benoît, mortellement poignardé par « un réfugié », samedi dernier. Un hommage lui est rendu. Benoît devait fêter ses 18 ans, ce vendredi.@Valeurs pic.twitter.com/ORhGnQ9l3w
— Nicolas Boutin (@NicolasBoutin11) June 6, 2025
Voici l’intégralité de ses propos. « Merci d’être tous venus pour Benoît. C’était un garçon très gentil, généreux, discret, plein de vie et courageux aussi. Il avait tout l’avenir devant lui, il venait juste de passer son CAP. Il allait avoir ses résultats en juin. Il avait passé son code. Il allait ensuite commencer les heures de conduite, il s’en faisait une joie, d’ailleurs. Il avait beaucoup travaillé pour mettre de l’argent de côté et pour acheter sa voiture (…) »
Le père de la victime dit également sa colère : « On a une douleur immense. Je ne vous cache pas que j’ai la rage. J’ai envie de tuer de mes propres mains ce type. Car il ne vaut rien ce type-là, c’est un lâche. (…) »
« D’après le policier que j’ai eu, c’est un réfugié. Donc en France, on accueille les réfugiés, ils sont hébergés, nourris et après ils tuent nos enfants. C’est la France aujourd’hui. J’espère qu’elle changera un jour, parce que ça ne peut plus durer ça, il faut que ça s’arrête. Ce n’est plus possible. » (…)
Il a également remercié les personnes présentes : « Je tiens vraiment à vous remercier tous, tous ceux qui n’ont pas pu venir, et tous ceux qui sont présents. Je vous remercie du fond du cœur, avec Maeva et Marina, pour Benoît, notre enfant, notre fils, qui allait avoir 18 ans aujourd’hui. Il a fallu qu’une « racaille de merde » vienne lui enlever la vie. Voilà, je pense que je vais arrêter là. Et encore une pensée très forte pour Benoît et encore merci, merci beaucoup à tous d’être venus. »
Certes, ce n’est pas du Antoine Leiris très fier de se vanter de ne pas avoir de haine contre les assassins islamistes de sa femme, mère de son enfant. C’est carrément du Patrick Jardin. Thierry assume sa haine de celui qui a volé la vie de son fils, il l’insulte grossièrement, il exprime son envie de tuer cette ordure, il explique que c’est un migrant, ce que tout le monde avait compris.
Disons-le clairement, d’autres, et nous sommes bien placés pour le savoir, se sont retrouvés devant la 17e chambre pour bien moins que cela. Oseront-ils déposer plainte contre Thierry, les magistrats du parquet, les pourris de l’antiracisme sélectif et les ordures de gauche ?
Le pire est que c’est possible.
On pense très fort à Benoit, qui promettait d’être un adulte accompli, à ce que vivent ses parents, ses frère et sœur, et tous ses amis. Et à tous les Français qui ont perdu un proche, dans des circonstances similaires.
Et surtout à tous les salauds qui ont fait venir l’assassin à Dax, et tous les autres criminels en France. On espère vraiment qu’un jour, ils vont payer cher pour le sang qu’ils ont sur les mains.
Paul Le Poulpe